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« Le monde du schizophrène » : différence entre les versions
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|Detail images communes avec d'autres films=La toute dernière séquence (tête de cire qui fond, à partir de 19'43) se retrouve inversée dans ''Autoportrait d'un schizophrène'' [(08'05)-(08'24)] | |Detail images communes avec d'autres films=La toute dernière séquence (tête de cire qui fond, à partir de 19'43) se retrouve inversée dans ''Autoportrait d'un schizophrène'' [(08'05)-(08'24)] | ||
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|Texte=Le préambule, lu en hors-champ sur des images d'œuvres d'art, tant littéraires que picturales, associe irrémédiablement schizophrénie et art (préambule qui, lui-même, ressemble à un poème). Le générique et sa musique semblent introduire un drame. Le début de l'action est très mélancolique, devient étrange pour se terminer dans une atmosphère d'horreur. Aucun commentaire n'accompagne l'action ; la caméra suit l'homme et le spectateur est plongé dans l'ambiance et confronté directement à ces visions. | |Texte=Le préambule, lu en hors-champ sur des images d'œuvres d'art, tant littéraires que picturales, associe irrémédiablement schizophrénie et art (préambule qui, lui-même, ressemble à un poème). Le générique et sa musique semblent introduire un drame. Le début de l'action est très mélancolique, devient étrange pour se terminer dans une atmosphère d'horreur. Aucun commentaire n'accompagne l'action ; la caméra suit l'homme et le spectateur est plongé dans l'ambiance et confronté directement à ces visions. | ||
''Didier-Jacques Duché à propos de son implication dans l'écriture de films sur la psychiatrie''<br> | |||
" L'enseignement de la psychiatrie bénéficie des enregistrements filmiques des malades s'exprimant devant la caméra. Ceci permet à l'étudiant d'assister à ces examens en dehors de la présence physique du patient. (cf. La série de films de 'Séméiologie psychiatrique' et de 'séméiologie pédopsychiatrique'). Tout autre est le projet de montrer par l'image ce qu'est le malade ou mieux encore ce qu'il ressent. Dans le premier cas il sera demandé à l'acteur de jouer tel personnage dont le comportement exprimera les troubles dont il souffre. Tel le mythomane, le dépressif, le maniaque, le pervers, l'obsessionnel ; de montrer le phobique en proie à ses angoisses d'impulsion (cf. les films 'Auto stop','les autopathes', 'phobie d'impulsion'). Dans le second cas, il s'agit de projeter le vécu du patient, d'illustrer son délire, ses pulsions, de montrer son onirisme, de projeter ses hallucinations (cf. les films 'Le monde du schizophrène', 'Ballet sur un thème paraphrénique', 'auto-portrait d'un schizophrène'). <br> | |||
Lorsqu' Oreste poursuivi par les Erinyes, hurle en sa démence 'pourquoi sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes', c'est au spectateur d'imaginer ce qu' Oreste voit. Par l'image filmique l'on se propose de représenter ces sensations de déréalisation, de dédoublement de soi, de dépersonnalisation, d'illusions de toutes sortes. Procédé certes discutable puisque parfaitement artificiel, puisqu'aussi bien on n'hallucine pas le spectateur, mais qui a le mérite de faire pressentir - dans une certaine mesure - ce que vit le patient". "Image et psychiatrie" par Didier-Jacques Duché dans ''L'image médicale'', n°1, juin 1990, p. 28. (Tous les termes de la citation sont restitués selon le texte original). | |||
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|Présentation médecine={{HTPrés | |Présentation médecine={{HTPrés | ||
Dernière version du 24 mars 2025 à 13:19
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Titre :
Le Monde du schizophrène
Série :
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Conseil scientifique :
Durée :
21 minutes
Format :
Parlant - Couleur - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Commanditaires :
Archives détentrices :
Corpus :
Générique principal
Contenus
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Non.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Oui.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Non.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Oui. La toute dernière séquence (tête de cire qui fond, à partir de 19'43) se retrouve inversée dans Autoportrait d'un schizophrène [(08'05)-(08'24)]
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Caroline Ruebrecht

