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« Let there be light » : différence entre les versions
De MedFilm PPRD
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|Titre=Let there be light | |Titre=Let there be light | ||
|anneeProd=1946 | |anneeProd=1946 | ||
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|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=Le film débute avec deux cartons : le premier superpose son titre (« ''Let There Be Light'' ») sur un plan fixe de l’entrée de l’hôpital militaire Mason General. Le deuxième résume son contexte sur un lent enchainement de deux plans qui nous montrent des bateaux militaires en mer. Le complément textuel défile comme suit : « ''Environ 20% de tous les blessés au combat dans l'armée américaine pendant la Seconde Guerre mondiale étaient de nature neuropsychiatrique. Les méthodes de traitement spéciales présentées dans ce film, telles que l'hypnose et la narco-synthèse, ont été particulièrement efficaces dans les cas aigus comme la névrose de combat. Le même succès n'est pas à attendre lorsqu'il s'agit de névroses de paix qui sont généralement de nature chronique. | |Texte=Le film débute avec deux cartons : le premier superpose son titre (« ''Let There Be Light'' ») sur un plan fixe de l’entrée de l’hôpital militaire Mason General. Le deuxième résume son contexte sur un lent enchainement de deux plans qui nous montrent des bateaux militaires en mer. Le complément textuel défile comme suit : « ''Environ 20% de tous les blessés au combat dans l'armée américaine pendant la Seconde Guerre mondiale étaient de nature neuropsychiatrique. Les méthodes de traitement spéciales présentées dans ce film, telles que l'hypnose et la narco-synthèse, ont été particulièrement efficaces dans les cas aigus comme la névrose de combat. Le même succès n'est pas à attendre lorsqu'il s'agit de névroses de paix qui sont généralement de nature chronique. Il n’y a aucune mise en scène. Les caméras ont simplement enregistré ce qui se passait dans un hôpital militaire ». Le générique d’ouverture se clôt avec une voix over qui commente le retour des soldats américains sur le continent après la fin de la Seconde Guerre Mondiale. | ||
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|Résumé={{HTRés | |Résumé={{HTRés | ||
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|Texte=Ce film fait partie d'un vaste corpus de films consacrés aux troubles psychologiques et psychiatriques des soldats tournés par la ''Navy'' ou d'autres divisions de l'armée américaine dans les années 1940 et 1950. | |Texte=''Production du film''<br> | ||
Ce film fait partie d'un vaste corpus de films consacrés aux troubles psychologiques et psychiatriques des soldats tournés par la ''Navy'' ou d'autres divisions de l'armée américaine dans les années 1940 et 1950. | |||
Ce corpus comprend :<br /> | Ce corpus comprend :<br /> | ||
[[Combat Exhaustion]] (1943)<br /> | [[Combat Exhaustion]] (1943)<br /> | ||
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[[Shades of grey]] (1948)<br /> | [[Shades of grey]] (1948)<br /> | ||
[[Combat Psychiatry - The Battalion Medical Officer]] (1954)<br /> | [[Combat Psychiatry - The Battalion Medical Officer]] (1954)<br /> | ||
[[Combat Psychiatry - The Division Psychiatrist]] (1954) | [[Combat Psychiatry - The Division Psychiatrist]] (1954)<br> | ||
Ce film fait partie d’un corpus filmiques traitant des troubles psychologiques et psychiatriques des soldats mandatés par la Navy ou d’autres divisions de l’armée américaine dans les années 1940 et 1950. En effet, après les bombardements de Pearl Harbour en 1941, les forces armées prennent la décision de commissionner des professionnels de l’industrie cinématographique pour produire plusieurs types de documentaires destinés à la fois, à l’éducation de leurs enrôlés et du grand public, mais aussi à entretenir le soutien civil pour « l’effort de guerre » . Deux sections au sein de l’armée seront créées dans ce but : la First Motion Picture Unit, qui appartient à l’armée de l’air, ainsi que le Signal Corps Army Pictorial Service. Le réalisateur John Huston, appelé à faire partie de la sélection des cinéastes militaires, produira alors trois films documentaires pour l’armée : ''Report from the Aleutians'' en 1943, ''The Battle of San Pietro'' en 1945, ainsi que ''Let There Be Light'' en 1946. | |||
''Un film durablement frappé par la censure''<br> | |||
La première projection de ''Let There Be Light'' a lieu dans le cadre privé de l’armée au Pentagone, séance à laquelle John Huston n’assiste pas. S’ensuit de nombreuses controverses au sein des autorités militaires, certains accusant le long métrage de faire de la propagande pacifiste, en cherchant, entre autres, à décourager de potentielles nouvelles recrues. L’armée choisit d’annuler l’avant-première publique initialement planifiée au Musée d’Art Moderne de New York et interdit ensuite toute exploitation publique du film de John Huston . Malgré les protestations pour lever l’interdiction de diffusion du film, la censure durera trente-cinq ans. Durant cette période, quelques rares projections privées seront données devant des associations de santé mentale , toujours dans le cadre strictement privé de l’armée. | |||
Les raisons d’une telle censure restent encore aujourd’hui sujet à discussion, d’autant plus que John Huston répond parfaitement à la commande qui consistait à faire un film de propagande au bénéfice de l’armée. A l’effet potentiellement démoralisateur sur les futures recrues est un argument récurrent dans la littérature critique et académique, s’ajoutent d'autres raisons : l’armée aurait voulu préserver l’identité des personnes filmées, alors que Huston avait obtenu d’elles leur accord signé (mais ces documents semblent avoir mystérieusement disparu au moment où le cinéaste se défend d’avoir commis une faute éthique) (voir Edgerton cité en réf. dans la fiche Medfilm) ; le film mettrait trop frontalement en question le mythe du soldat américain, fort et viril ; il développerait un discours contradictoire, partagé entre célébration de la psychiatrie moderne et mise en évidence de la fragilité des soldats, entre efficacité d’une cure-éclair de huit semaines et insistance sur la longévité nécessaire du processus de guérison (voir Köhne, cité en réf. dans la fiche Medfilm). Selon Richard Ledes, les choses sont encore plus complexes : la conception essentiellement psychique du trauma défendue par le film – qui se réfère à la théorie freudienne selon laquelle, derrière une névrose de guerre se cache un trauma personnel plus profond, lié à la vie affective et sexuelle – ne correspond pas au modèle de trauma que la nouvelle psychiatrie psychanalytique souhaite promouvoir après la guerre. Soucieux d’acclimater les préceptes psychanalytiques à la culture américaine d’après-guerre, les psychiatres américains défendent une conception sociale et environnementale des troubles psychiques. Leur pragmatisme les pousse en effet à mettre l’accent davantage sur les causes extérieures du trauma que sur les conflits psychiques internes à l’individu, l’enjeu consistant à maintenir le paradigme de l’intégration, de la réconciliation et de l’adaptation sociale qui sera au cœur de la psychologie du moi des années 1950. | |||
''Un remake fictionnalisé de ''Let there be light''''<br> | |||
''Shades of Grey'' réalisé en 1947le remake fictionnalisé de ''Let There Be Light'' réalisé en 1947, oriente l’opinion publique vers une image plus flatteuse du soldat fragilisé par la guerre. Il s’agit donc de défendre des valeurs patriotiques, des intérêts politiques , ainsi que la réputation de l’armée dont l’héroïsme doit rester intact aux yeux des civils . ''Shade Of Grey'' s’emploie en effet à alimenter le mythe du guerrier à l’esprit indestructible, en présentant le champ de bataille comme un simple stimulus réveillant des peurs inhérentes à chaque homme. Le soldat traumatisé n’a plus alors qu’à s’en remettre au psychiatre qui bénéficie d’un pouvoir magique de guérison, ce qui permet au passage de mettre en exergue le caractère passager et remédiable de la névrose de guerre. | |||
''La prise en charge psychiatrique en 1946''<br> | |||
Le psychiatre (le colonel Benjamin Simon, directeur de l’hôpital) est désigné comme un médecin de l’esprit qui pratique la psychothérapie à travers la cure par la parole, mais qui administre aussi à ses patients des médicaments pour les calmer ou les faire parler, le choc nerveux induisant des amnésies passagères que la narcothérapie permet de débloquer. Découvert au début des années 1930 le sodium amytal ou sodium penthotal permet de provoquer un état dans lequel le patient est plus relaxé et communicatif. Appelée aussi l’ivresse au pentothal ou l’hypnose chimique, cette substance agit comme une sorte de sérum de vérité induisant une relaxation du système nerveux central (mise en veille du cerveau), une hypotonie musculaire (ralentissements de mouvements) et une dépression respiratoire (ralentissements des mouvements respiratoires). Utilisé dans le contexte de conflits militaires pour obtenir des informations d’un sujet non consentant, comme les prisonniers des armées ennemies, la narcosynthèse est créditée dans le cinéma d’une efficacité magique puisqu’elle offre la possibilité de faire dire la vérité à des sujets qui la dissimulent ou qui l’ont oubliée suite à un choc nerveux. Dans la réalité, les études montrent que l’information obtenue sous l’effet de cette drogue chimique n’est pas fiable puisque le sujet interrogé mélange souvent faits réels et imaginaires, sans compter que chaque individu réagit différemment au produit selon sa sensibilité. | |||
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|Direction regard spectateur={{HTDirige | |Direction regard spectateur={{HTDirige | ||
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|Présentation médecine={{HTPrés | |Présentation médecine={{HTPrés | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=Le personnel soignant est présenté comme une entité compétente qui maîtrise les outils de la psychiatrie moderne : la caméra filme le thérapeute dans une perspective de valorisation de son savoir-faire, mettant l’accent sur sa parole, ses gestes, ses interactions avec les patients, ainsi que sur l’emploi de diverses méthodes (test de Rorschach, hypnose, thérapie de groupe, ergothérapie, etc.). Ses compétences et leur mise en pratique supplantent dès lors son individualité et son identité, lesquelles ne jouent pas un rôle essentiel dans le cadre du film (la voix | |Texte=Le personnel soignant est présenté comme une entité compétente qui maîtrise les outils de la psychiatrie moderne : la caméra filme le thérapeute dans une perspective de valorisation de son savoir-faire, mettant l’accent sur sa parole, ses gestes, ses interactions avec les patients, ainsi que sur l’emploi de diverses méthodes (test de Rorschach, hypnose, thérapie de groupe, ergothérapie, etc.). Ses compétences et leur mise en pratique supplantent dès lors son individualité et son identité, lesquelles ne jouent pas un rôle essentiel dans le cadre du film (la voix de commentaire ne donne d’ailleurs pas les noms du personnel soignant). La maladie et le récit des malades sont alors privilégiés, le soignant ayant comme mission de guider ces soldats sur le chemin de la guérison. | ||
Les patients sont présentés comme des hommes meurtris par les horreurs de la guerre (« the names and the places are different, the circumstances are different. But through all the stories runs one thread – death and the fear of death »). Leur vie | Les patients sont présentés comme des hommes meurtris par les horreurs de la guerre (« the names and the places are different, the circumstances are different. But through all the stories runs one thread – death and the fear of death »). Leur vie personnelle est placée au cœur du récit, suscitant l’identification du spectateur grâce à un ensemble d’éléments familiers comme la visite de leurs proches. | ||
''Let There Be Light'', dans sa dimension profondément humaine, accorde une place significative à la famille : les patients admis à l’hôpital Mason General ont le droit, avant leur première nuit, à de longs appels téléphoniques sans frais avec leurs proches (« after months and years of silence, familiar voices are heard once again »), tandis que la journée des visiteurs montre les soldats passant du temps avec des membres de la famille dans les jardins de l’hôpital. | ''Let There Be Light'', dans sa dimension profondément humaine, accorde une place significative à la famille : les patients admis à l’hôpital Mason General ont le droit, avant leur première nuit, à de longs appels téléphoniques sans frais avec leurs proches (« after months and years of silence, familiar voices are heard once again »), tandis que la journée des visiteurs montre les soldats passant du temps avec des membres de la famille dans les jardins de l’hôpital. | ||
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|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=Il n'a jamais été diffusé car il a été censuré par l'armée. | |Texte=Il n'a jamais été diffusé car il a été censuré par l'armée. | ||
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|Communications et événements associés au film={{HTCom | |Communications et événements associés au film={{HTCom | ||
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|Texte=Le ministère des affaires militaires aspire à éduquer le grand public américain vis-à-vis de la réalité des psychonévroses de guerre, en ciblant tout particulièrement les industries : l’armée souhaitait en effet démontrer aux employeurs que les soldats blessés psychiquement peuvent réintégrer la vie civile en ayant suivi un traitement psychothérapeutique adapté et rendu possible par la psychiatrie moderne . L’inquiétude remonte à la Première Guerre mondiale, lorsque l’on constate que de nombreux | |Texte=Le ministère des affaires militaires aspire à éduquer le grand public américain vis-à-vis de la réalité des psychonévroses de guerre, en ciblant tout particulièrement les industries : l’armée souhaitait en effet démontrer aux employeurs que les soldats blessés psychiquement peuvent réintégrer la vie civile en ayant suivi un traitement psychothérapeutique adapté et rendu possible par la psychiatrie moderne . L’inquiétude remonte à la Première Guerre mondiale, lorsque l’on constate que de nombreux soldats marqués psychiquement par les combats, sont très difficilement embauchés, et ce en raison d’une méconnaissance de la névrose réduite souvent à un état dépressif ou à une instabilité . | ||
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|Texte=Dès les premières minutes du film, John Huston ne fait aucun éloge de l’art de la guerre et des forces armées malgré la victoire des alliés, concentrant son regard sur des hommes meurtris par des horreurs contre lesquelles personne n’est naturellement préparé. Le discours de la voix | |Texte=Dès les premières minutes du film, John Huston ne fait aucun éloge de l’art de la guerre et des forces armées malgré la victoire des alliés, concentrant son regard sur des hommes meurtris par des horreurs contre lesquelles personne n’est naturellement préparé. Le discours de la voix de commentaire est éloquent sur ce point : la guerre a causé les troubles qui paralysent le psychisme des survivants. La caméra montre des vétérans la tête baissée, le visage sans expression et le regard perdu (« born and bred in peace, educated to hate war, they were overnight plunged into sudden and terrible situations. Every man has his breaking point »). Ce regard empathique permet non seulement une identification au soldat, mais aussi une remise en question de l’image traditionnelle du guerrier vaillant et victorieux. | ||
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|Notes complémentaires={{HTNotes | |Notes complémentaires={{HTNotes | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=En 2006, La ''National Film Preservation Foundation'' procède à une importante restauration visuelle et sonore de ''Let There Be Light''. En 2012, le film est entièrement remasterisé. | |Texte=En 2006, La ''National Film Preservation Foundation'' procède à une importante restauration visuelle et sonore de ''Let There Be Light''. En 2012, le film est entièrement remasterisé. Dimitri Tiomkins y est crédité pour la musique ; Stanley Cortez pour la photographie ; Walter Huston (père de John Huston) pour la lecture du commentaire. Cf. HAMMEN, Scott, « At war with the army : John Huston made a great war trilogy. Now if we could just see it », ''Film Comment'', vol. 16, no2, mars-avril 1980, pp.19-23. | ||
HAMMEN, Scott, « At war with the army : John Huston made a great war trilogy. Now if we could just see it », ''Film Comment'', vol. 16, no2, mars-avril 1980, pp.19-23. | |||
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|Références={{HTRéf | |Références={{HTRéf | ||
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SIMMON, Scott, « ''Let There Be Light'' (1946) et its Restoration », ''Filmpreservation'', 2012 [en ligne], URL : https://www.filmpreservation.org/ | SIMMON, Scott, « ''Let There Be Light'' (1946) et its Restoration », ''Filmpreservation'', 2012 [en ligne], URL : https://www.filmpreservation.org/ | ||
https://www.egora.fr/actus-pro/societe/nevrose-de-guerre-et-fatigue-de-combat-la-face-cachee-du-debarquement-en | |||
Dans [https://www.youtube.com/watch?v=GDIWjlqauNk l'épisode du 22 juillet 2025 du podcast That Was Us], l'acteur Griffin Dunne explique qu'il a regardé le film ''Let There Be Light'' pour se préparer à jouer le rôle de Nicky Pearson, un vétéran de la guerre du Vietnam qui souffre du syndrome de stress post-traumatique dans la série [https://www.imdb.com/fr/title/tt5555260/ This Is Us]. (Consulté le 30 juillet 2030.) | |||
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Dernière version du 26 août 2025 à 15:05
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Titre :
Let there be light
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Durée :
58 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 35 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Archives détentrices :
Corpus :
Générique principal
Contenus
Thèmes médicaux
- Traumatismes. Lésions. Blessures
- Processus régressifs et réparateurs
- Troubles nerveux
- Aspects divers de la maladie, du patient et de l'intervention médicale
- Séméiologie générale. Symptomatologie. Signes et symptômes. Examens. Diagnostic. Propédeutique
- Traitement
- Psychiatrie. Pathologies psychiatriques. Psychopathologie. Phrénopathies. Psychoses. Anomalies mentales. États psychiques et mentaux morbides. Désordres émotionnels et comportementaux
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Oui.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Audrey Beeler
- Transcription Anglais : Séverine George, William Sabot
- Sous-titres Français : Harry Freyburger

