{{#widget:Qwant}}
« Le mal des urgents » : différence entre les versions
De MedFilm PPRD
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
| (2 versions intermédiaires par le même utilisateur non affichées) | |||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{ficheFilm | {{ficheFilm | ||
|Titre=Le mal des urgents | |Titre=Le mal des urgents | ||
|anneeProd= | |anneeProd=1979 | ||
|formatFilm=16 mm | |formatFilm=16 mm | ||
|formatCouleur=Couleur | |formatCouleur=Couleur | ||
|formatSon=Parlant | |formatSon=Parlant | ||
|realisateurs=Éric Duvivier | |realisateurs=Éric Duvivier | ||
|referents= | |referents=Jean-Marc Alby | ||
|paysProd=France | |paysProd=France | ||
|languesOrigine=fr | |languesOrigine=fr | ||
| Ligne 46 : | Ligne 44 : | ||
|Contexte={{HTCont | |Contexte={{HTCont | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=''Une contractualisation de Art et science avec les Laboratoires Delagrange'' | |||
Le dossier de production du film informe d'un délai de 9 mois pour la réalisation à partir de la signature de la convention de production entre les deux partis. Il indique ques les laboratoires Delagrange prévoient un soutien à hauteur de 75000 F. L'intervenant scientifique, le Dr. Alby, sera rémunéré à hauteur de 7500 F. Le dossier indique aussi que ''La psychiatrie des urgences'' était le titre initialement prévu pour ce film. | |||
''La psychiatrie des urgences'' | |||
Dans son ouvrage "Grandeur de la folie", paru en 2012, le Dr. Henri Grivois, référent scientifique dans Les pièges de l'urgence, revient sur la naissance de "la garde psychiatrique" en hôpital. "Aux États-Unis, depuis belle lurette, les psychiatres étaient présents aux urgences. Ainsi, l'organisation à l'Hôtel-Dieu dût-elle beaucoup à Lise Cousineau que j'allais épouser. Elle avait travaillé au New York Metropolitan Hospital, situé en bordure de Harlem (...) À l'Hôtel-Dieu, au kilomètre 0 de la France, le nombre des urgences, le recrutement médico-judiciaire, et la salle Cusco de la Préfecture de police rendaient indispensable une présence psychiatrique. Sur l'île de la Cité, l'Hôtel-Dieu est à portée de voix de Notre-Dame, du Palais de Justice et de la Préfecture de police. Il accueille des hommes et des femmes en détresse. Son recrutement national et international, et son pôle médico-légal faisaient échapper en outre à toute sectorisation. Une présence psychiatrique vingt-quatre heures sur vingt-quatre à peine mise en place, d'autres hôpitaux réclamèrent un psychiatre de garde. En 1974, la crise pétrolière ralentit ces créations. En 1978, Les pièges de l'urgence, film d'Éric Duvivier tourné aux urgences de l'Hôtel-Dieu, fut diffusé auprès des psychiatres et des médecins. En collaboration avec ses confrères, le psychiatre y avait souvent un rôle majeur. La violence, la confusion et le silence de certains patients cachaient parfois une urgence médicale, hypoglycémie, intoxication par oxyde de carbone, accident vasculaire cérébral. Le psychiatre évitait les transferts et les hospitalisations inutiles. Le temps qu'il passait auprès des patients permettait au médecin de se consacrer aux urgences vitales. (...) La psychiatrie à l'hôpital général est un acquis définitif. Je me réjouis de la présence des psychiatres mais cependant avec quelques réserves. Médecins et chirurgiens assumaient jadis le mal de vivre de leurs malades. Ils adressent désormais aux psychiatres des malades déprimés ou angoissés. Plus qu'un avis ou des conseils, certains réclament aussi d'être déchargés de ceux qu'ils supportent mal. Est-ce vraiment un progrès ?" (Henri Grivois, Grandeur de la folie, Paris, 2012) | |||
}} | }} | ||
|Direction regard spectateur={{HTDirige | |Direction regard spectateur={{HTDirige | ||
Dernière version du 4 octobre 2024 à 12:30
Pour voir ce film dans son intégralité veuillez vous connecter.
Si vous rencontrez un problème d'affichage du film ou des sous-titres , veuillez essayer un autre navigateur.
Titre :
Le mal des urgents
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Conseil scientifique :
Durée :
36 minutes
Format :
Parlant - Couleur - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Commanditaires :
Archives détentrices :
Générique principal
Contenus
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Oui.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Oui.
- Animateur : Oui.
- Voix off : Oui.
- Interview : Oui.
- Musique et bruitages : Non.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Caroline Ruebrecht

