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« Un jour comme les autres » : différence entre les versions
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|paysProd=France | |paysProd=France | ||
|languesOrigine=fr | |languesOrigine=fr | ||
|stesProd=Films Jacqueline Jacoupy; Intermondia | |stesProd=Films Jacqueline Jacoupy; Intermondia films; J.P. Guibert | ||
|commanditaires=Institut National de Sécurité | |commanditaires=Institut National de Sécurité | ||
|acteurs=Jacques Marin; Jaqueline Gaudin; Bugette | |acteurs=Jacques Marin; Jaqueline Gaudin; Bugette | ||
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|Clé de tri=Un jour comme les autres | |Clé de tri=Un jour comme les autres | ||
|Audience=Nationale | |Audience=Nationale | ||
|etatFiche= | |etatFiche=Validée | ||
|Orthographe=Non | |||
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|Images de reportage=Oui | |Images de reportage=Oui | ||
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|Musique et bruitages=Oui | |Musique et bruitages=Oui | ||
|Images communes avec d'autres films=Non | |Images communes avec d'autres films=Non | ||
|admNotice=Emmanuel Nuss | |||
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|Générique principal={{HTGén | |Générique principal={{HTGén | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=Ce film a été produit pour le | |Texte=« Ce film a été produit pour le comte de l’Institut National de Sécurité ; avec le concours de l’Organisme Professionnel de Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics. Les Films Jaqueline Jacoupy, et Intermondia Films J.P. Guibert présentent. Un film de Georges Rouquier. avec Jacques Marin, Jaqueline Gaudin. et Bugette. Images de Georges Delaunay ; Assistant, Louis Scossa. Ingénieur du son, René Lecuyer ; Assisté de Lucien Moreau, et Constantin Kostromine ; Son, Studios Marignan. Montage, Daniel Lecomte ; Laboratoire, Eclair Epinay ». | ||
Un film de | |||
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|Contexte={{HTCont | |Contexte={{HTCont | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=Les révolutions industrielles de XIXe siècle ont permis à la France de se doter d’une industrie lourde à l’image du Royaume-Uni ou de l’Allemagne. En même temps que la taille des usines, les risques auxquels sont exposés les ouvriers qui y travaillent s’accroissent. Dès cette époque, des politiques de régulations sont tentées par les pouvoirs publics. Après la loi Le Chapelier du 17 juin 1791 qui supprimait les corporations, la loi du 22 mars 1841 interdit le travail au-dessous de l’âge de huit ans. La loi Waldeck-Rousseau autorise les syndicats en 1884, puis celle du 13 juillet 1906 institue le repos hebdomadaire. La loi des huit heures est adoptée en 1919 et celle instaurant deux semaines de congés payés et les conventions collectives en 1936. | |Texte=''Encadrement législatif du secteur industriel'' | ||
Les révolutions industrielles de XIXe siècle ont permis à la France de se doter d’une industrie lourde à l’image du Royaume-Uni ou de l’Allemagne. En même temps que la taille des usines, les risques auxquels sont exposés les ouvriers qui y travaillent s’accroissent. Dès cette époque, des politiques de régulations sont tentées par les pouvoirs publics. Après la loi Le Chapelier du 17 juin 1791 qui supprimait les corporations, la loi du 22 mars 1841 interdit le travail au-dessous de l’âge de huit ans. La loi Waldeck-Rousseau autorise les syndicats en 1884, puis celle du 13 juillet 1906 institue le repos hebdomadaire. La loi des huit heures est adoptée en 1919 et celle instaurant deux semaines de congés payés et les conventions collectives en 1936. | |||
''Mesures sécuritaires'' | |||
Simultanément, la question de la protection physique des ouvriers gagne en importance. La loi du 2 novembre 1892, crée le corps des inspecteurs du travail et celle du 12 juin 1893 sur l’hygiène et la sécurité des travailleurs dans les établissements industriels constitue le socle fondateur de la législation sur la sécurité au travail. Au cours des décennies suivantes, les employeurs eux-mêmes se penchent sur le problème, qui est dans l’intérêt du maintien de la force de travail des ouvriers et in fine de la productivité de l’entreprise. | Simultanément, la question de la protection physique des ouvriers gagne en importance. La loi du 2 novembre 1892, crée le corps des inspecteurs du travail et celle du 12 juin 1893 sur l’hygiène et la sécurité des travailleurs dans les établissements industriels constitue le socle fondateur de la législation sur la sécurité au travail. Au cours des décennies suivantes, les employeurs eux-mêmes se penchent sur le problème, qui est dans l’intérêt du maintien de la force de travail des ouvriers et in fine de la productivité de l’entreprise. | ||
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|Direction regard spectateur={{HTDirige | |Direction regard spectateur={{HTDirige | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=Le film repose sur un scénario fictionnel et cependant très réaliste. Un jour qui commence « comme les autres » pour un ouvrier et sa famille jusqu’à ce qu’un événement imprévu manque de tout bouleverser et aboutit à une profonde remise en question chez le principal protagoniste de l’histoire. La scène de l’accident constitue une véritable césure entre la première partie du film, assez banale, et la seconde partie empreinte de gravité. | |Texte=Le film repose sur un scénario fictionnel et cependant très réaliste. Un jour qui commence « comme les autres » pour un ouvrier et sa famille jusqu’à ce qu’un événement imprévu manque de tout bouleverser et aboutit à une profonde remise en question chez le principal protagoniste de l’histoire. La scène de l’accident constitue une véritable césure entre la première partie du film, assez banale, et la seconde partie empreinte de gravité. Le récit du film emploie le conditionnel : "que serait-il passé si...". Pour intensifier son message sécuritaire, il montre deux fois la même scène où l'ouvrier s'expose à l'accident : une première version, correspondant à la situation réelle, montre l'accident évité, une seconde montre l'accident qui se produit réellement, actualisant la situation tragique à laquelle l'ouvrier imprudent a échappé. Cependant, en mettant en images la seconde version, le film lui donne une réalité équivalente aux regard du spectateur. Le cinéma ne peut pas présenter des situations conjuguées au conditionnel sa grammaire reposant non sur des symboles mais sur des incarnations de réel. Rouquier en joue pour donner plus d'impact à la mise en garde dont il a la charge. | ||
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|Présentation médecine={{HTPrés | |Présentation médecine={{HTPrés | ||
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|Lieu projection={{HTProj | |Lieu projection={{HTProj | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=Cinémas d'exploitants, milieux professionnels. | |||
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|Communications et événements associés au film={{HTCom | |Communications et événements associés au film={{HTCom | ||
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|Public={{HTPub | |Public={{HTPub | ||
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|Texte=Ouvriers du bâtiment | |Texte=Ouvriers du bâtiment, tout public | ||
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|Descriptif libre={{HTDesc | |Descriptif libre={{HTDesc | ||
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Autre plan général et plan d’ensemble. Le tronçon rectiligne d’une ligne de chemin de fer à double voie dans une tranchée bordée d’immeubles. Un train composé de voitures de voyageurs et tracté par une locomotive-tender à vapeur s’avance face à la caméra avec un panache de fumée. Celui-ci s’élève entre les maisons au passage du convoi. Autre plan d’ensemble et plan moyen. Un immeuble parmi d’autres. La cloche déjà entendue précédemment sonne le quart d’heure. Une lumière est visible à travers une fenêtre. | Autre plan général et plan d’ensemble. Le tronçon rectiligne d’une ligne de chemin de fer à double voie dans une tranchée bordée d’immeubles. Un train composé de voitures de voyageurs et tracté par une locomotive-tender à vapeur s’avance face à la caméra avec un panache de fumée. Celui-ci s’élève entre les maisons au passage du convoi. Autre plan d’ensemble et plan moyen. Un immeuble parmi d’autres. La cloche déjà entendue précédemment sonne le quart d’heure. Une lumière est visible à travers une fenêtre. | ||
Nouveau plan d’ensemble. Une jeune femme ouvre la porte de la chambre à coucher où dort son mari. Elle secoue celui-ci : « Pierre. Allez, Pierre ! Tu vas être en retard, le quart a sonné depuis un bon moment ». Elle retire les draps et ajoute : « Dépêche-toi, le café est prêt ». Elle quitte ensuite la pièce tandis que son mari, s’asseyant au bord du lit, se gratte les cheveux et baille, encore à moitié endormi. Autre plan d’ensemble. S’étant levé, il va à la fenêtre, soulève le rideau pour jeter un regard au-dehors et le laisse retomber. Il se retourne et ramasse l’ours en peluche de sa fille qui trainait par terre et le dépose sur le lit de celle-ci qui dort encore. Plan moyen. Il se penche sur elle et dit : « T’en | Nouveau plan d’ensemble. Une jeune femme ouvre la porte de la chambre à coucher où dort son mari. Elle secoue celui-ci : « Pierre. Allez, Pierre ! Tu vas être en retard, le quart a sonné depuis un bon moment ». Elle retire les draps et ajoute : « Dépêche-toi, le café est prêt ». Elle quitte ensuite la pièce tandis que son mari, s’asseyant au bord du lit, se gratte les cheveux et baille, encore à moitié endormi. Autre plan d’ensemble. S’étant levé, il va à la fenêtre, soulève le rideau pour jeter un regard au-dehors et le laisse retomber. Il se retourne et ramasse l’ours en peluche de sa fille qui trainait par terre et le dépose sur le lit de celle-ci qui dort encore. Plan moyen. Il se penche sur elle et dit : « T’en as d’la veine, toi ». Il lui baise la main gauche et ajoute : « T’as raison va. Profites-en ». | ||
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Autres plans moyens. Dans la cuisine, sa femme a dressé la table pour le petit déjeuner et beurre le pain. Puis elle prend le pantalon de Pierre qui se trouve sur une chaise, l’examine et le repose sur une autre chaise : il est bien usé. Elle prend ensuite la casserole de café et en verse le contenu dans le bol de Pierre qui arrive dans la cuisine et l’embrasse sur la joue. « Tu piques ! Quand tu seras rasé » lui dit-elle en l’écartant de la main. Il n’insiste pas et s’assied. Après avoir posé la casserole et s’être elle-aussi assise, elle lui fait observer qu’il lui faudrait un nouveau pantalon | Autres plans moyens. Dans la cuisine, sa femme a dressé la table pour le petit déjeuner et beurre le pain. Puis elle prend le pantalon de Pierre qui se trouve sur une chaise, l’examine et le repose sur une autre chaise : il est bien usé. Elle prend ensuite la casserole de café et en verse le contenu dans le bol de Pierre qui arrive dans la cuisine et l’embrasse sur la joue. « Tu piques ! Quand tu seras rasé » lui dit-elle en l’écartant de la main. Il n’insiste pas et s’assied. Après avoir posé la casserole et s’être elle-aussi assise, elle lui fait observer qu’il lui faudrait un nouveau pantalon car celui-ci est trop usé. Face à son peu de réaction (« On verra »), elle insiste en se demandant ce que les gens vont penser d’elle. Il lui répond qu’il a « une gueule sympathique » et que les gens ne le regardent pas « de dos ». Plan rapproché taille. « Têtu, va » lui rétorque-t-elle en le prenant par la tignasse. Il lui fait remarquer qu’elle a aussi un vieux manteau. « Ah non ! Tu ne vas pas recommencer » le rabroue-t-elle. « Ah ! tu vois comme tu es de mauvaise foi ! » lui répond-t-il. Elle se plaint de devoir penser à tout et lui rappelle qu’il y a la mensualité des meubles à payer « la semaine prochaine » et le gaz aujourd’hui même. Pierre lui demande si elle aura assez d’argent. Plan rapproché poitrine de profil gauche de sa femme qui lui répond qu’elle se débrouillera. Pour la rassurer, il lui rappelle qu’il a des heures supplémentaires. Elle ajoute qu’il lui faudra bientôt penser à leur fille. Retour au plan rapproché taille. Ils poursuivent leur conversation tout en mangeant leurs tartines et en buvant leurs bols de café. Elle pense qu’ils n’auraient pas dû acheter à crédit, d’autant qu’il y a aussi le terrain. Il en convient mais considère que son travail marche bien. « Tu verras après… Quand le terrain sera à nous… » dit-il en souriant et en clignant de l’œil. La cloche sonne la demi-heure. Il se lève précipitamment et court finir de se préparer. | ||
[04’30] | [04’30] | ||
Plans américains. Tout en se rasant et en se brossant les dents, il lui dit qu’une fois le terrain payé, ils pourront, grâce à la loi Loucheur, être propriétaires en payant leur loyer et que ce sera autre chose que cette « maison en papier ». Affairée au rangement de la table, elle tempère son enthousiasme : « on n’y est pas encore ». « Ça viendra » lui répondit-il avant de lui demander à combien de mensualités ils en sont pour les meubles. C’est d’après elle la vingt-sixième. Il constate joyeusement qu’il n’en reste plus que la moitié. « T’es pas pessimiste, toi » ironise-t-elle avant de lui demander s’il n’aurait pas pu dire qu’un bouton manquait. Tout en mettant et en boutonnant sa chemine, il revient dans la cuisine et reconnait qu’il n’y avait pas pensé. Il la presse pour avoir son « froc » ; elle lui tend ce sale pantalon. Tout en l’enfilant et en le boutonnant, il lui demande de s’approcher de lui pour une « petite bise ». Ils s’embrassent et se sourient. | Plans américains. Tout en se rasant et en se brossant les dents, il lui dit qu’une fois le terrain payé, ils pourront, grâce à la loi Loucheur, être propriétaires en payant leur loyer et que ce sera autre chose que cette « maison en papier ». Affairée au rangement de la table, elle tempère son enthousiasme : « on n’y est pas encore ». « Ça viendra » lui répondit-il avant de lui demander à combien de mensualités ils en sont pour les meubles. C’est d’après elle la vingt-sixième. Il constate joyeusement qu’il n’en reste plus que la moitié. « T’es pas pessimiste, toi » ironise-t-elle avant de lui demander s’il n’aurait pas pu lui dire qu’un bouton manquait. Tout en mettant et en boutonnant sa chemine, il revient dans la cuisine et reconnait qu’il n’y avait pas pensé. Il la presse pour avoir son « froc » ; elle lui tend ce sale pantalon. Tout en l’enfilant et en le boutonnant, il lui demande de s’approcher de lui pour une « petite bise ». Ils s’embrassent et se sourient. | ||
Plan rapproché poitrine en plongée. Le sommeil de leur fille, qui dans son lit bouge la tête de gauche à droite puis se tourne entièrement à droite et remonte ses draps, | Plan rapproché poitrine en plongée. Le sommeil de leur fille, qui dans son lit bouge la tête de gauche à droite puis se tourne entièrement à droite et remonte ses draps, semble déjà plus que léger. Hors champ, Pierre et sa femme chuchotent. Elle lui remet ses chaussures. Il demande son « cuir » en parlant plus fort. Elle le lui donne aussi en lui disant de ne pas crier pour ne pas réveiller leur fille. | ||
Plan américain. Tous deux sont dans le couloir. S’apprêtant à sortir, il se retourne vers elle et lui dit de demander à « Mme Hénin » de garder leur fille ce soir pendant qu’ils iront au cinéma. Ouvrant la porte et mettant à l’épaule sa besace qu’elle lui tend, il ajoute qu’il leur faut se distraire car ils ne sortent pas beaucoup. Il jette un coup d’œil sous sa robe de chambre ; elle le réprimande gentiment. Ils s’embrassent et se disent « au revoir ». Elle lui adresse un petit salut de la main alors qu’il descend l’escalier et referme la porte. | Plan américain. Tous deux sont dans le couloir. S’apprêtant à sortir, il se retourne vers elle et lui dit de demander à « Mme Hénin » de garder leur fille ce soir pendant qu’ils iront au cinéma. Ouvrant la porte et mettant à l’épaule sa besace qu’elle lui tend, il ajoute qu’il leur faut se distraire car ils ne sortent pas beaucoup. Il jette un coup d’œil sous sa robe de chambre ; elle le réprimande gentiment. Ils s’embrassent et se disent « au revoir ». Elle lui adresse un petit salut de la main alors qu’il descend l’escalier et referme la porte. | ||
Dernière version du 21 octobre 2024 à 09:37
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Titre :
Un jour comme les autres
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Interprétation :
Durée :
24 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Commanditaires :
Générique principal
Contenus
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Non.
- Animateur : Non.
- Voix off : Non.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Emmanuel Nuss

