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« Eyes that hear » : différence entre les versions
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|Titre=Eyes that hear | |Titre=Eyes that hear | ||
|anneeProd=1946 | |anneeProd=1946 | ||
|formatFilm=16 mm | |||
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|Audience=Inconnue | |Audience=Inconnue | ||
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|Musique et bruitages=Oui | |Musique et bruitages=Oui | ||
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|admNotice=Ninon Scieux; Gwendoline Pitiot | |||
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|Sujet={{HTSujet | |||
|Langue=fr | |||
|Texte=Le court métrage "Eyes That Hear" montre comment une éducation spécialisée permet aux enfants sourds de progresser, de gagner en autonomie et de trouver leur place dans la société, au sein de l'école Lexington à New York, aux Etats-Unis. | |||
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|Générique principal={{HTGén | |Générique principal={{HTGén | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
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|Contexte={{HTCont | |Contexte={{HTCont | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=Le film a été produit au milieu du XXème siècle, en 1946, à une époque où la prise en charge des enfants sourds et leur intégration dans la société étaient encore très limitées. Le film reflète les perceptions et les méthodes éducatives de l’époque, s’inscrivant dans un temps où la surdité était souvent perçue comme un handicap majeur, et où les options pour l’éducation des sourds étaient bien moins développées qu’aujourd’hui. En effet, cette époque est associée à une très faible tolérance de la différence et où il est nécessaire de se conformer aux normes sociales. De plus, à cette période, la société tentait de faire oublier l’identité sourde par le rejet de la langue des signes. Effectivement au cours de ce siècle, la langue des signes est perçue comme un obstacle important dans l’intégration de la personne sourde au sein de la société et les méthodes alternatives présentées dans le film apparaissent comme une solution nouvelle. | |Texte=Le film a été produit au milieu du XXème siècle, en 1946, à une époque où la prise en charge des enfants sourds et leur intégration dans la société étaient encore très limitées. Le film reflète les perceptions et les méthodes éducatives de l’époque, s’inscrivant dans un temps où la surdité était souvent perçue comme un handicap majeur, et où les options pour l’éducation des sourds étaient bien moins développées qu’aujourd’hui. En effet, cette époque est associée à une très faible tolérance de la différence et où il est nécessaire de se conformer aux normes sociales. | ||
De plus, à cette période, la société tentait de faire oublier l’identité sourde par le rejet de la langue des signes. Effectivement au cours de ce siècle, la langue des signes est perçue comme un obstacle important dans l’intégration de la personne sourde au sein de la société et les méthodes alternatives présentées dans le film apparaissent comme une solution nouvelle. | |||
En outre, le film met également l’accent sur la difficulté sociale et la charge mentale des parents d’enfants sourds. En effet, dans les années 1940, ils se retrouvaient souvent seuls face à la découverte de cette réalité et avaient peu de ressources pour savoir comment élever et soutenir efficacement leurs enfants. | |||
Par ailleurs, à cette époque, l’éducation des enfants sourds se faisait principalement dans des écoles spécialisées, comme la Lexington School for the Deaf aux Etats-Unis (New York), où l’on utilisait des méthodes de communication telles que la lecture labiale et l’enseignement de la parole pour aider les enfants à interagir avec le monde des entendants. Le film montre les premières étapes du développement des compétences de communication et les progrès réalisés grâce à ces techniques. | Par ailleurs, à cette époque, l’éducation des enfants sourds se faisait principalement dans des écoles spécialisées, comme la Lexington School for the Deaf aux Etats-Unis (New York), où l’on utilisait des méthodes de communication telles que la lecture labiale et l’enseignement de la parole pour aider les enfants à interagir avec le monde des entendants. Le film montre les premières étapes du développement des compétences de communication et les progrès réalisés grâce à ces techniques. | ||
En effet, un choix pédagogique très spécifique a été fait en faveur de l'oralisation, c'est-à-dire l'apprentissage de la lecture labiale, plutôt que de la langue des signes. En effet, l’oralisation est étroitement liée à l’apprentissage de la lecture labiale car un enfant sourd a généralement beaucoup de difficultés à prononcer les sons et à adopter un langage oral fluide puisqu’il n’a pas ou que très peu entendu de sons. L’oralisation vise à permettre aux personnes sourdes de mieux s'adapter à la communication avec les entendants, facilitant ainsi leur intégration dans un environnement majoritairement entendant. L’usage de cette méthode permet une communication plus fluide avec les personnes entendantes, en réduisant les barrières sociales et linguistiques, et en favorisant une meilleure inclusion dans des contextes où la langue des signes n’est pas couramment utilisée. | En effet, un choix pédagogique très spécifique a été fait en faveur de l'oralisation, c'est-à-dire l'apprentissage de la lecture labiale, plutôt que de la langue des signes. En effet, l’oralisation est étroitement liée à l’apprentissage de la lecture labiale car un enfant sourd a généralement beaucoup de difficultés à prononcer les sons et à adopter un langage oral fluide puisqu’il n’a pas ou que très peu entendu de sons. L’oralisation vise à permettre aux personnes sourdes de mieux s'adapter à la communication avec les entendants, facilitant ainsi leur intégration dans un environnement majoritairement entendant. L’usage de cette méthode permet une communication plus fluide avec les personnes entendantes, en réduisant les barrières sociales et linguistiques, et en favorisant une meilleure inclusion dans des contextes où la langue des signes n’est pas couramment utilisée. | ||
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Par ailleurs, le court métrage est une archive appartenant à “United States National Library of Medicine” puisque le film a été tourné au sein de l’école Lexington, située à New York (Etats-Unis). La United States National Library of Medicine est une bibliothèque nationale spécialisée en médecine et rattachée aux Instituts américains de la santé. Le contenu est à la fois disponible sur leur site mais aussi sur leur chaîne YouTube en accès libre. | Par ailleurs, le court métrage est une archive appartenant à “United States National Library of Medicine” puisque le film a été tourné au sein de l’école Lexington, située à New York (Etats-Unis). La United States National Library of Medicine est une bibliothèque nationale spécialisée en médecine et rattachée aux Instituts américains de la santé. Le contenu est à la fois disponible sur leur site mais aussi sur leur chaîne YouTube en accès libre. | ||
Chaîne youtube National Library of Medicine : https://www.youtube.com/watch?v=E0Zpfg_z6eA | Chaîne youtube National Library of Medicine : https://www.youtube.com/watch?v=E0Zpfg_z6eA | ||
Site Internet National Library of Medicine : https://www.nlm.nih.gov/ | - Site Internet National Library of Medicine : https://www.nlm.nih.gov/ | ||
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|Communications et événements associés au film={{HTCom | |Communications et événements associés au film={{HTCom | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=Il n'y a pas d'informations disponibles concernant des projections publiques ou des événements associés au film "Eyes That Hear". Étant donné sa nature éducative et son époque de production, il est probable que sa diffusion ait été limitée à des institutions spécialisées dans l'éducation des personnes sourdes ou à des archives cinématographiques. | |||
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|Public={{HTPub | |||
|Langue=fr | |||
|Texte=Nous pouvons supposer que le court métrage "Eyes That Hear" (1946) est principalement destiné à un public éducatif et professionnel, notamment : enseignants spécialisés dans l’éducation des enfants sourds ou malentendants, professionnels de santé impliqués dans la rééducation auditive et la pédagogie adaptée, étudiants en orthophonie ou en médecine, institutions éducatives et écoles spécialisées, pour sensibiliser et former. | |||
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|Descriptif libre={{HTDesc | |Descriptif libre={{HTDesc | ||
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|Texte=Le film se termine sur ''My Country Tis of Thee'', l'ancien hymne américain (dont la mélodie est celle de ''God Save the Queen/King'', l'hymne britannique). ''The Star-Spangled Banner'' ayant été adopté comme hymne national en 1931, on est un peu étonné de trouver l'hymne précédent dans une production de 1946. | |Texte=Le film se termine sur ''My Country Tis of Thee'', l'ancien hymne américain (dont la mélodie est celle de ''God Save the Queen/King'', l'hymne britannique). ''The Star-Spangled Banner'' ayant été adopté comme hymne national en 1931, on est un peu étonné de trouver l'hymne précédent dans une production de 1946. | ||
'''1 - Une Entrée dans un Monde de Silence Vivant''' | '''1 - Une Entrée dans un Monde de Silence Vivant''' : | ||
Le court-métrage Eyes That Hear débute en nous immergeant dans l’univers quotidien des enfants sourds. Dans la cour de récréation de l’école Lexington, des enfants interagissent joyeusement avec leurs camarades, dans un silence perceptible mais non pesant. La bande sonore douce et le commentaire bienveillant du narrateur créent une ambiance chaleureuse. Les visages souriants des enfants (expressions et émotions) capturés en gros plan montrent qu’au-delà de leur surdité, ils vivent pleinement leur enfance. | Le court-métrage Eyes That Hear débute en nous immergeant dans l’univers quotidien des enfants sourds. Dans la cour de récréation de l’école Lexington, des enfants interagissent joyeusement avec leurs camarades, dans un silence perceptible mais non pesant. La bande sonore douce et le commentaire bienveillant du narrateur créent une ambiance chaleureuse. Les visages souriants des enfants (expressions et émotions) capturés en gros plan montrent qu’au-delà de leur surdité, ils vivent pleinement leur enfance. | ||
Cette introduction pose les bases du regard que le film souhaite porter : celui d’une normalité différente, où le handicap n’empêche ni la joie ni la communication. | Cette introduction pose les bases du regard que le film souhaite porter : celui d’une normalité différente, où le handicap n’empêche ni la joie ni la communication. | ||
2 - L’École Lexington : Inclusion, Égalité et Bienveillance | '''2 - L’École Lexington : Inclusion, Égalité et Bienveillance''' : | ||
Le film développe ensuite une présentation approfondie de l’école Lexington, un établissement spécialisé où les enfants sourds grandissent dans un environnement adapté à leurs besoins. | Le film développe ensuite une présentation approfondie de l’école Lexington, un établissement spécialisé où les enfants sourds grandissent dans un environnement adapté à leurs besoins. | ||
Le narrateur insiste : "They’re all deaf, so no one’s an outcast." Cette phrase résume l’essence de l’établissement : ici, l’égalité règne car chacun partage la même condition. | Le narrateur insiste : "They’re all deaf, so no one’s an outcast." Cette phrase résume l’essence de l’établissement : ici, l’égalité règne car chacun partage la même condition. | ||
L’école est présentée comme un modèle d’inclusion, où les enfants sont encouragés, valorisés et acceptés. L’objectif n’est pas de “gommer” leur surdité, mais de leur offrir les moyens de s’exprimer et d’apprendre comme tout autre enfant. | |||
3 - Apprendre à Communiquer : Lecture Labiale, Miroir et Audiomètre | '''3 - Apprendre à Communiquer : Lecture Labiale, Miroir et Audiomètre''' : | ||
Le cœur pédagogique du film montre les différentes méthodes d’apprentissage de la parole et de la communication. | Le cœur pédagogique du film montre les différentes méthodes d’apprentissage de la parole et de la communication. | ||
Les enfants sourds apprennent principalement à lire sur les lèvres. Effectivement, dans le film, on peut remarquer des séquences où les élèves font le lien entre les mouvements des lèvres et les noms d’objets énoncés par la maîtresse. Les élèves imitent les mouvements labiaux et associent ces mots aux objets: c’est le début de la lecture labiale. Cela leur permet de décoder des informations verbales, même si elles ne sont pas audibles. Grâce à la lecture des lèvres, ils accèdent à une forme de compréhension plus sensorielle et intime du langage. | Les enfants sourds apprennent principalement à lire sur les lèvres. Effectivement, dans le film, on peut remarquer des séquences où les élèves font le lien entre les mouvements des lèvres et les noms d’objets énoncés par la maîtresse. Les élèves imitent les mouvements labiaux et associent ces mots aux objets: c’est le début de la lecture labiale. Cela leur permet de décoder des informations verbales, même si elles ne sont pas audibles. Grâce à la lecture des lèvres, ils accèdent à une forme de compréhension plus sensorielle et intime du langage. | ||
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Ce processus est patient, individualisé et progressif, mêlant technologies et gestes simples pour développer chez l’enfant une autonomie langagière. On découvre une pédagogie adaptée et respectueuse des rythmes d'apprentissage. | Ce processus est patient, individualisé et progressif, mêlant technologies et gestes simples pour développer chez l’enfant une autonomie langagière. On découvre une pédagogie adaptée et respectueuse des rythmes d'apprentissage. | ||
4- L’Apprentissage Global : Langue, Mathématiques, Géographie et Sciences Sociales | '''4 - L’Apprentissage Global : Langue, Mathématiques, Géographie et Sciences Sociales''' : | ||
Le court-métrage Eyes That Hear montre que l’apprentissage chez les enfants sourds ne se limite pas à la parole : il est global et profondément structuré, englobant plusieurs disciplines fondamentales. | Le court-métrage Eyes That Hear montre que l’apprentissage chez les enfants sourds ne se limite pas à la parole : il est global et profondément structuré, englobant plusieurs disciplines fondamentales. | ||
À travers des approches visuelles et interactives, les enfants acquièrent des compétences solides en langue, en mathématiques, en géographie et en sciences sociales. | À travers des approches visuelles et interactives, les enfants acquièrent des compétences solides en langue, en mathématiques, en géographie et en sciences sociales. | ||
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Ainsi, le film illustre que l’apprentissage global des enfants sourds repose sur une approche complète, qui combine les savoirs scolaires classiques (langue, mathématiques, géographie, sciences sociales) avec des ouvertures concrètes sur le monde extérieur, favorisant une éducation riche, accessible et épanouissante. L’attention portée à l’expression, notamment chez les filles séparées des garçons à partir d’un certain âge, montre aussi la précision et la rigueur avec lesquelles elles développent leur élocution et leur compréhension du monde. | Ainsi, le film illustre que l’apprentissage global des enfants sourds repose sur une approche complète, qui combine les savoirs scolaires classiques (langue, mathématiques, géographie, sciences sociales) avec des ouvertures concrètes sur le monde extérieur, favorisant une éducation riche, accessible et épanouissante. L’attention portée à l’expression, notamment chez les filles séparées des garçons à partir d’un certain âge, montre aussi la précision et la rigueur avec lesquelles elles développent leur élocution et leur compréhension du monde. | ||
5 - Vers l’Autonomie : Compétences Pratiques et Vie Professionnelle | '''5 - Vers l’Autonomie : Compétences Pratiques et Vie Professionnelle''' : | ||
L’un des moments majeurs du film est la transition vers l’éducation professionnelle. Les enfants apprennent la cuisine, la couture, la reliure, l'artisanat, ou encore la mécanique… | L’un des moments majeurs du film est la transition vers l’éducation professionnelle. Les enfants apprennent la cuisine, la couture, la reliure, l'artisanat, ou encore la mécanique… | ||
Ces apprentissages pratiques ont une double finalité : ils permettent aux enfants de se préparer à une vie active, mais aussi de trouver leur place dans la société, en devenant autonomes et capables de contribuer par leur travail. | Ces apprentissages pratiques ont une double finalité : ils permettent aux enfants de se préparer à une vie active, mais aussi de trouver leur place dans la société, en devenant autonomes et capables de contribuer par leur travail. | ||
Le film montre que l’école Lexington prépare les enfants non seulement à la vie scolaire, mais aussi à leur futur rôle dans le monde adulte et dans la participation active de la société. | |||
6 - Citoyenneté, Inclusion et Espoir : Une Conclusion Symbolique | '''6 - Citoyenneté, Inclusion et Espoir : Une Conclusion Symbolique''' : | ||
Le film se termine par une scène symbolique où les enfants chantent l’hymne américain, symbole fort de leur intégration dans la société. Ce geste patriotique représente non seulement leur apprentissage, mais aussi leur reconnaissance en tant que citoyens à part entière. | Le film se termine par une scène symbolique où les enfants chantent l’hymne américain, symbole fort de leur intégration dans la société. Ce geste patriotique représente non seulement leur apprentissage, mais aussi leur reconnaissance en tant que citoyens à part entière. | ||
En concluant sur cette image, le film affirme avec force que la surdité n’empêche ni la participation, ni l’expression, ni la contribution à la communauté. | En concluant sur cette image, le film affirme avec force que la surdité n’empêche ni la participation, ni l’expression, ni la contribution à la communauté. | ||
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|Références={{HTRéf | |Références={{HTRéf | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=Campus Film Productions : Société de production responsable du film. | |||
Lexington School for the Deaf : Établissement éducatif impliqué dans la production du film. | |||
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Dernière version du 12 mai 2025 à 14:54
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Titre :
Eyes that hear
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Durée :
15 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Archives détentrices :
Corpus :
Générique principal
Contenus
Thèmes médicaux
- Système nerveux. Organes des sens
- Troubles des fonctions et du métabolisme
- Aspects divers de la maladie, du patient et de l'intervention médicale
- Personnes et caractéristiques personnelles en pathologie. Caractéristiques du patient
- Corrective and protective appliances, aids etc.
- Machines and mechanical apparatus
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Oui.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Ninon Scieux, Gwendoline Pitiot
- Transcription Anglais : Loïse Poinsot
- Sous-titres Français : Loïse Poinsot

