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|Texte=Blackhawk Films presents / The temple of Moloch<br / A Red Cross Seal Story / Use limited to home and nontheatrical distribution
THE TEMPLE OF MOLOCH<br />
A Red Cross Seal Story<br />
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|Texte=Le propriétaire d'une fabrique de poteries nie les dangers des conditions de travail pour ses employés. L'un deux contracte la tuberculose et, du fait notamment du manque de précautions et de salubrité de son logement, perd un bébé. Les enfants du propriétaire contractent à leur tour la maladie, amenant le potier à se repentir et à améliorer les conditions de travail dans sa poterie.
Les enfants du propriétaire contractent à leur tour la maladie, amenant le potier à se repentir et à améliorer les conditions de travail dans sa poterie.
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La tuberculose était l’une des principales causes de décès aux États-Unis au début du XX<sup>e</sup> siècle. En 1915, la prévalence des décès liés à la tuberculose est estimée à 146 décès pour 100 000 habitants. À cette époque, le traitement contre la tuberculose consistait principalement en des séjours dans des sanatoriums en plein air, offrant du repos, des soins pour pallier les différents symptômes et une alimentation saine. Les premiers sanatoriums ont été construits en Europe. C’est Edward Livingstone Trudeau qui construit le premier sanatorium américain en 1885. Ce n’est qu’en 1945 qu’un traitement antibiotique est découvert.
La tuberculose était l’une des principales causes de décès aux États-Unis au début du XX<sup>e</sup> siècle. En 1915, la prévalence des décès liés à la tuberculose est estimée à 146 décès pour 100 000 habitants. À cette époque, le traitement contre la tuberculose consistait principalement en des séjours dans des sanatoriums en plein air, offrant du repos, des soins pour pallier les différents symptômes et une alimentation saine. Les premiers sanatoriums ont été construits en Europe. C’est Edward Livingstone Trudeau qui construit le premier sanatorium américain en 1885. Ce n’est qu’en 1945 qu’un traitement antibiotique est découvert.
En 1908, 85 villes obligeaient les médecins à déclarer leurs patients atteints de tuberculose, ce qui dissuadait les malades de demander une assistance médicale par peur de se voir discriminés.
En 1908, 85 villes obligeaient les médecins à déclarer leurs patients atteints de tuberculose, ce qui dissuadait les malades de demander une assistance médicale par peur de se voir discriminés.<br>


''Edison et le cinéma social''  
''Edison et le cinéma social''<br>
Le film est basé sur un livre de Thomas Crawford publié en 1915, ''T.B.: Playing the Lone Game: Consumption.''
 
Un carton liminaire (rédigé en 1960?) rappelle le souci de discours social porté par les productions Edison : "L'Edison company est l'une des rares firmes des débuts du cinéma à avoir eu une conscience sociale. ''Child who Labor'', film anti-travail des enfants, sort en 1912, ''The price of human lives'' en 1913, et The temple of Moloch en 1914. Ces deux films, approuvés par la National Association for the prevention of tuberculosis, rappellent qu'au début du siècle, la tuberculose est une cause de décès majeure. Le temple de Moloch montre pourquoi le taux de mortalité chez les ouvriers est 7 fois plus élevé que dans d'autres professions. Les tabous de l'époque empêchent de dire que ce taux est encore plus élevé chez les ouvriers non-blancs. Malgré son contenu propagandiste, le film est bien reçu. The Moving picture world le décrit
Un carton liminaire, rédigé (en 1960?) par l'historien britannique du cinéma Anthony Slide, rappelle le souci de discours social porté par les productions Edison : "L'Edison company est l'une des rares firmes des débuts du cinéma à avoir eu une conscience sociale. ''Child who Labor'', film anti-travail des enfants, sort en 1912, ''The price of human lives'' en 1913, et The temple of Moloch en 1914. Ces deux films, approuvés par la National Association for the prevention of tuberculosis, rappellent qu'au début du siècle, la tuberculose est une cause de décès majeure. Le temple de Moloch montre pourquoi le taux de mortalité chez les ouvriers est 7 fois plus élevé que dans d'autres professions. Les tabous de l'époque empêchent de dire que ce taux est encore plus élevé chez les ouvriers non-blancs. Malgré son contenu propagandiste, le film est bien reçu. The Moving picture world le décrit comme "un aperçu réjouissant de ce qui émeut le coeur et l'esprit. Voilà ce que serait le cinéma s'il était vu comme l'expression de notions qui en valent la peine."
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|Texte=Quelques informations concernant les autres films :<br />
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''Red Cross Seal''<br />
''Red Cross Seal''<br />
Aucune copie de ce film n'a été conservée. Datant de 1910, il mettait en scène une jeune femme confrontée à des difficultés financières. Elle gagne un prix pour réaliser la vignette de bienfaisance de la Croix-Rouge mais offre cet argent à un jeune garçon, atteint de tuberculose, pour qu'il puisse se soigner.<br /><br />
Aucune copie de ce film n'a été conservée. Datant de 1910, il mettait en scène une jeune femme confrontée à des difficultés financières. Elle gagne un prix pour réaliser la vignette de bienfaisance de la Croix-Rouge mais offre cet argent à un jeune garçon, atteint de tuberculose, pour qu'il puisse se soigner.<br /><br />
''The Awakening of John Bond''<br />
''The Awakening of John Bond''<br />
Ce film, dont le scénario a été rédigé par Bannister Merwin, présente un propriétaire qui prend conscience de l'importance de la salubrité des logements qu'il possède lorsque sa femme contracte la tuberculose. Le film a été projeté notamment dans des parcs de New York.<br /><br />
Ce film, dont le scénario a été rédigé par Bannister Merwin, présente un propriétaire qui prend conscience de l'importance de la salubrité des logements qu'il possède lorsque sa femme contracte la tuberculose. Le film a été projeté notamment dans des parcs de New York.<br />
 
''Hope''<br />
''Hope''<br />
Ce film a été réalisé par Charles J. Barbin, et son scénario a été écrit par James Oppenheim.
Ce film a été réalisé par Charles J. Barbin, et son scénario a été écrit par James Oppenheim.
Le film ''Hope'', datant de 1912, a été reproduit depuis le négatif d'origine par le ''Museum of Modern Art'' de New York, avec le financement du ''National Endowment for the Arts'' et du ''Celeste Bartos Film Preservation Fund''.
Le film ''Hope'', datant de 1912, a été reproduit depuis le négatif d'origine par le ''Museum of Modern Art'' de New York, avec le financement du ''National Endowment for the Arts'' et du ''Celeste Bartos Film Preservation Fund''.
À l'époque, le film a été projeté dans des théâtres et dans d'autres salles. Le projet de projeter ce film dans des écoles publiques de Los Angeles a été contré par le mouvement de la Science Chrétienne. Il est sorti le 16 novembre, deux jours avant le début de la campagne de vignettes de bienfaisance de 1912.
À l'époque, le film a été projeté dans des théâtres et dans d'autres salles. Le projet de projeter ce film dans des écoles publiques de Los Angeles a été contré par le mouvement de la Science Chrétienne. Il est sorti le 16 novembre, deux jours avant le début de la campagne de vignettes de bienfaisance de 1912. La ''National Association for the Study and Prevention of Tuberculosis'' a organisé plusieurs projections gratuites en plein air dans les parcs de New York, en collaboration avec le Département de Santé de la ville.<br />
La ''National Association for the Study and Prevention of Tuberculosis'' a organisé plusieurs projections gratuites en plein air dans les parcs de New York, en collaboration avec le Département de Santé de la ville.<br />
Source : https://www.filmpreservation.org/preserved-films/screening-room/hope-a-red-cross-seal-story-1912#<br />
Source : https://www.filmpreservation.org/preserved-films/screening-room/hope-a-red-cross-seal-story-1912#<br />
Lors de la sortie du film, la tuberculose était toujours un problème de santé important et des idées préconçues la définissaient comme une "maladie de ville".
Lors de la sortie du film, la tuberculose était toujours un problème de santé important et des idées préconçues la définissaient comme une "maladie de ville". Il met en scène un banquier qui, sollicité par la ''National Association for the Study and Prevention of Tuberculosis'', refuse de financer un sanatorium, prétextant que la ville était trop petite pour que des gens soient atteints de tuberculose. La femme qu'il aime tombe alors malade et part, en secret, se soigner à New York, dans un sanatorium. Des manifestations aboutissent à la création d'un sanatorium dans la petite ville, permettant à la jeune femme d'être soignée à proximité de ceux qu'elle aime.<br />
Il met en scène un banquier qui, sollicité par la ''National Association for the Study and Prevention of Tuberculosis'', refuse de financer un sanatorium, prétextant que la ville était trop petite pour que des gens soient atteints de tuberculose. La femme qu'il aime tombe alors malade et part, en secret, se soigner à New York, dans un sanatorium. Des manifestations aboutissent à la création d'un sanatorium dans la petite ville, permettant à la jeune femme d'être soignée à proximité de ceux qu'elle aime.<br />
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''The Price of Human Lives''<br />
''The Price of Human Lives''<br />
Le scénariste de ce film est Epes Winthrop Sargent. Ce film met en scène une jeune femme qui s'engage en service civique contre l'avis de sa famille et de son fiancé. Elle aide deux jeunes tuberculeux, Nell et Edward, qui se soignent grâce à 'Concura', un remède réputé infaillible. Elle se rend alors compte qu'il s'agit d'un faux remède et que son fiancé et son père sont impliqués dans la fabrication de ce remède.<br />
Le scénariste de ce film est Epes Winthrop Sargent. Ce film met en scène une jeune femme qui s'engage en service civique contre l'avis de sa famille et de son fiancé. Elle aide deux jeunes tuberculeux, Nell et Edward, qui se soignent grâce à 'Concura', un remède réputé infaillible. Elle se rend alors compte qu'il s'agit d'un faux remède et que son fiancé et son père sont impliqués dans la fabrication de ce remède.<br />
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''[[The Lone Game]]''<br />Se référer à la fiche Medfilm.
''[[The Lone Game]]''<br />Se référer à la fiche Medfilm.
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|Langue=fr
|Langue=fr
|Texte=Orgeron M., Streible D., ''Learning with the Lights Off: Educational Film in the United States'', Oxford University Press, 2012
|Texte=Orgeron M., Streible D., ''Learning with the Lights Off: Educational Film in the United States'', Oxford University Press, 2012
<br />National Film Preservation Foundation, ''Hope—A Red Cross Seal Story (1912)'',  https://www.filmpreservation.org/preserved-films/screening-room/hope-a-red-cross-seal-story-1912, [consulté le 10/06/2018]<br />
<br />National Film Preservation Foundation, ''Hope—A Red Cross Seal Story (1912)'',  https://www.filmpreservation.org/preserved-films/screening-room/hope-a-red-cross-seal-story-1912, [consulté le 10/06/2018]<br />
<br />
Drolet, J. G., ''World War I and Tuberculosis: A Statistical Summary and Review'', dans ''American Journal of Public Health'', 1945, p. 690,  https://ajph.aphapublications.org/doi/pdf/10.2105/AJPH.35.7.689 [consulté le 26/06/2018]
Drolet, J. G., ''World War I and Tuberculosis: A Statistical Summary and Review'', dans ''American Journal of Public Health'', 1945, p. 690,  https://ajph.aphapublications.org/doi/pdf/10.2105/AJPH.35.7.689 [consulté le 26/06/2018]
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Dernière version du 4 septembre 2025 à 11:35



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Titre :
The Temple of Moloch
Série :
Red cross seal story
Année de production :
1914
Pays de production :
États-Unis
Réalisation :
Langdon West
Interprétation :
Harold Vosburgh
Warren Cook
Bessie Learn
Yale Boss
Carlson S. King
Mathilde Baring
Durée :
13 minutes
Format :
Muet - Noir et blanc - 35 mm
Langues d'origine :
Anglais
Sous-titrage et transcription :
Français
Sociétés de production :
Edison Manufacturing Company
Commanditaires :
National Tuberculosis Association

Générique principal

Blackhawk Films presents / The temple of Moloch<br / A Red Cross Seal Story / Use limited to home and nontheatrical distribution

Contenus

Thèmes médicaux

Sujet

Les dangers des conditions de travail et de salubrité des habitations dans la lutte contre la tuberculose.

Genre dominant

Résumé

Le propriétaire d'une fabrique de poteries nie les dangers des conditions de travail pour ses employés. L'un deux contracte la tuberculose et, du fait notamment du manque de précautions et de salubrité de son logement, perd un bébé. Les enfants du propriétaire contractent à leur tour la maladie, amenant le potier à se repentir et à améliorer les conditions de travail dans sa poterie.

Contexte

La tuberculose aux EU

La tuberculose était l’une des principales causes de décès aux États-Unis au début du XXe siècle. En 1915, la prévalence des décès liés à la tuberculose est estimée à 146 décès pour 100 000 habitants. À cette époque, le traitement contre la tuberculose consistait principalement en des séjours dans des sanatoriums en plein air, offrant du repos, des soins pour pallier les différents symptômes et une alimentation saine. Les premiers sanatoriums ont été construits en Europe. C’est Edward Livingstone Trudeau qui construit le premier sanatorium américain en 1885. Ce n’est qu’en 1945 qu’un traitement antibiotique est découvert. En 1908, 85 villes obligeaient les médecins à déclarer leurs patients atteints de tuberculose, ce qui dissuadait les malades de demander une assistance médicale par peur de se voir discriminés.

Edison et le cinéma social

Un carton liminaire, rédigé (en 1960?) par l'historien britannique du cinéma Anthony Slide, rappelle le souci de discours social porté par les productions Edison : "L'Edison company est l'une des rares firmes des débuts du cinéma à avoir eu une conscience sociale. Child who Labor, film anti-travail des enfants, sort en 1912, The price of human lives en 1913, et The temple of Moloch en 1914. Ces deux films, approuvés par la National Association for the prevention of tuberculosis, rappellent qu'au début du siècle, la tuberculose est une cause de décès majeure. Le temple de Moloch montre pourquoi le taux de mortalité chez les ouvriers est 7 fois plus élevé que dans d'autres professions. Les tabous de l'époque empêchent de dire que ce taux est encore plus élevé chez les ouvriers non-blancs. Malgré son contenu propagandiste, le film est bien reçu. The Moving picture world le décrit comme "un aperçu réjouissant de ce qui émeut le coeur et l'esprit. Voilà ce que serait le cinéma s'il était vu comme l'expression de notions qui en valent la peine."

Éléments structurants du film

  • Images de reportage : Non.
  • Images en plateau : Non.
  • Images d'archives : Non.
  • Séquences d'animation : Non.
  • Cartons : Non.
  • Animateur : Non.
  • Voix off : Non.
  • Interview : Non.
  • Musique et bruitages : Non.
  • Images communes avec d'autres films : Non.

Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?

Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?

Diffusion et réception

Où le film est-il projeté ?

Cinémas d'exploitant, projections itinérantes

Communications et événements associés au film

Le film est basé sur un livre de Thomas Crawford publié en 1915, T.B.: Playing the Lone Game: Consumption.

Public

Tout public

Audience

Descriptif libre

Notes complémentaires

Quelques informations concernant les autres films :
Red Cross Seal
Aucune copie de ce film n'a été conservée. Datant de 1910, il mettait en scène une jeune femme confrontée à des difficultés financières. Elle gagne un prix pour réaliser la vignette de bienfaisance de la Croix-Rouge mais offre cet argent à un jeune garçon, atteint de tuberculose, pour qu'il puisse se soigner.

The Awakening of John Bond
Ce film, dont le scénario a été rédigé par Bannister Merwin, présente un propriétaire qui prend conscience de l'importance de la salubrité des logements qu'il possède lorsque sa femme contracte la tuberculose. Le film a été projeté notamment dans des parcs de New York.
Hope
Ce film a été réalisé par Charles J. Barbin, et son scénario a été écrit par James Oppenheim. Le film Hope, datant de 1912, a été reproduit depuis le négatif d'origine par le Museum of Modern Art de New York, avec le financement du National Endowment for the Arts et du Celeste Bartos Film Preservation Fund. À l'époque, le film a été projeté dans des théâtres et dans d'autres salles. Le projet de projeter ce film dans des écoles publiques de Los Angeles a été contré par le mouvement de la Science Chrétienne. Il est sorti le 16 novembre, deux jours avant le début de la campagne de vignettes de bienfaisance de 1912. La National Association for the Study and Prevention of Tuberculosis a organisé plusieurs projections gratuites en plein air dans les parcs de New York, en collaboration avec le Département de Santé de la ville.
Source : https://www.filmpreservation.org/preserved-films/screening-room/hope-a-red-cross-seal-story-1912#
Lors de la sortie du film, la tuberculose était toujours un problème de santé important et des idées préconçues la définissaient comme une "maladie de ville". Il met en scène un banquier qui, sollicité par la National Association for the Study and Prevention of Tuberculosis, refuse de financer un sanatorium, prétextant que la ville était trop petite pour que des gens soient atteints de tuberculose. La femme qu'il aime tombe alors malade et part, en secret, se soigner à New York, dans un sanatorium. Des manifestations aboutissent à la création d'un sanatorium dans la petite ville, permettant à la jeune femme d'être soignée à proximité de ceux qu'elle aime.
The Price of Human Lives
Le scénariste de ce film est Epes Winthrop Sargent. Ce film met en scène une jeune femme qui s'engage en service civique contre l'avis de sa famille et de son fiancé. Elle aide deux jeunes tuberculeux, Nell et Edward, qui se soignent grâce à 'Concura', un remède réputé infaillible. Elle se rend alors compte qu'il s'agit d'un faux remède et que son fiancé et son père sont impliqués dans la fabrication de ce remède.
The Lone Game
Se référer à la fiche Medfilm.

Références et documents externes

Orgeron M., Streible D., Learning with the Lights Off: Educational Film in the United States, Oxford University Press, 2012
National Film Preservation Foundation, Hope—A Red Cross Seal Story (1912), https://www.filmpreservation.org/preserved-films/screening-room/hope-a-red-cross-seal-story-1912, [consulté le 10/06/2018]
Drolet, J. G., World War I and Tuberculosis: A Statistical Summary and Review, dans American Journal of Public Health, 1945, p. 690, https://ajph.aphapublications.org/doi/pdf/10.2105/AJPH.35.7.689 [consulté le 26/06/2018]

Contributeurs

  • Sous-titres Français : Timothée Lainé


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