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« Il était une fois trois amis » : différence entre les versions
De MedFilm PPRD
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|Titre=Il était une fois trois amis | |Titre=Il était une fois trois amis | ||
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|stesProd=Edition Française Cinématographique | |commanditaires=Ministère de l'Agriculture | ||
|commanditaires=Ministère de l'Agriculture | |archives=Cinémathèque du Ministère de l'Agriculture; INA | ||
|archives= | |acteurs=Angèle Decori; Camille Bert; Louis Dornel; Luis Cari; Raffels | ||
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|Musique et bruitages=Non | |Musique et bruitages=Non | ||
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|admNotice=Christian Bonah; Emmanuel Nuss; Géraldine Delay | |||
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|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte= | |Texte=''La maladie et sa prise en charge'' | ||
Affection microbienne contagieuse, la syphilis a pour agent le tréponème pâle et se transmet par les rapports sexuels. Son évolution se fait en trois phases successives : le stade primaire au bout de trois semaines avec l’apparition d’un chancre et de ganglions non douloureux, le stade secondaire entre six semaines et trois ans avec des lésions cutanées, le stade tertiaire avec une dégradation générale de l’organisme puis du système nerveux. | |||
Cependant les évolutions médicales pour la soigner sont de plus en plus perfectionnées. L'intervention des pouvoirs publics par la surveillance sanitaire des marins, des soldats et des prostituées, ainsi que l'introduction de nouvelles thérapeutiques comme l'iodure de potassium, et ceux de l'hygiène, font sensiblement reculer toutes les maladies vénériennes entre le milieu du siècle et 1880. Dès 1905, les Allemands Fritz Richard Schaudinn et Paul Erich Hoffmann découvrent l'agent de la syphilis, un spirille nommé "tréponèm pâle". La même année, Wassermann met au point un séro-diagnostic qui permet d'identifier la maladie dès ses premiers stades. Pour le mettre en évidence, ils emploient le le microscope à fond noir mis au point par Siedentopf et Zsigmondy en 1903. En 1909, Jean Comandon mobilise ce même microscope pour réaliser dans l'Hôpital Saint-Louis des prises de vue micro-cinématographiques du même spirille. | |||
En 1910, Paul Ehrlich et Sahachiro Hatta découvrent l'arsphénamine ou '606' (le produit sera commercialisé sous le nom de Salvarsan). Viendront le '914' ou Néo-Salvarsan puis le '910' ou Stovarsol. Les numéros correspondent à ceux des dossiers dans l'ordre des expérimentations animales. En 1921, Ernest Fourneau, met au point un dérivé de l'arsenic à l'institut Pasteur : le Stovarsol. Ce dérivé est plus stable et se prend par voie orale. En 1934 le principe actif du Salvarsan, découvert en 1920 par Carl Voegtlin et Homer Smith, est introduit par le traitement de la syphilis sous le nom de Mapharsen. L'arrivée des traitements par sulfamides puis par antibiotiques a donné l'espoir de pouvoir éradiquer, sinon toutes, du moins les plus graves des MST, et jusque vers 1965, la diminution continue des nouvelles contaminations l'a laissé espérer. | |||
''L'organisation de l'information et de la prévention publique'' | |||
Par le décret du 27 janvier 1920, Millerand crée le ministère de l'Hygiène, de l'Assistance et de la Prévoyance sociale, à la suite d'une pétition déposée à la Chambre des députés le 27 février 1919 par les associations de lutte contre les fléaux sociaux et les groupes parlementaires qui les représentent. La création de ce nouveau département résulte de la juxtaposition des services du ministère de l'Intérieur, notamment ceux de l'assistance et de l'hygiène, et de ceux du ministère de la Santé, et les services du ministère du Travail, en particulier ceux de la mutualité et de la prévoyance. Mais le ministère de l'Hygiène est peu doté et le ministère du Travail s'oppose au projet et refuse de débloquer les fonds nécessaires. Lorsque, en 1924, le ministère de l'Assistance, de l'Hygiène et de la Prévoyance sociale disparaît et est absorbé par le ministère du Travail, il n'y a plus de place pour le projet. Justin Godard, radical-socialiste déjà engagé dans la lutte contre les fléaux sociaux et M. Gunn de la Fondation Rockefeller élaborent un projet d'Office destiné à coordonner les activités des services d'hygiène et de santé publique. Le 4 décembre 1924, l'Office national d'Hygiène sociale est créé, sous la direction de Jules Brisac, ancien directeur de l'hygiène au ministère de l'Intérieur. Il marque l'institutionnalisation bureaucratique des fléaux sociaux, sous l'influence américaine, puisque les trois quarts du budget du nouvel Office sont consacrés à la lutte contre les maladies infectieuses. Les trois quarts du budget du nouvel Office sont d'origine américaine suite à l'implication de la Mission Rockfeller. Ce n'est que quatre ans plus tard que le budget français dépasse celui de la fondation philanthropique. L'objectif de l'Office était de "rassembler et mettre à jour la documentation sur la situation sanitaire de la France, " en inventoriant les documents relatifs à l'hygiène, aux maladies sociales et à leur prophylaxie ; d'assurer la coordination des efforts entre les pouvoirs publics et les organismes sociaux " Plusieurs services sont créés : Études techniques, Enquêtes départementales, Documentation et statistiques. Enquêtes, documentation et statistiques départementales. Les principales associations y sont représentées : la CNDT, la Ligue contre le péril vénérien, la Ligue nationale contre l'alcoolisme, le Comité national de l'Enfance, la Ligue contre le cancer... Mais la crise économique et les restrictions ont conduit à la suppression de l'Office le 4 avril 1934. | |||
''Syphilis et cinéma'' | |||
Tout le temps où la syphilis s'est imposée comme fléau social, Le problème des médecins demeure l'ignorance de la population devant la menace qu'elle représente. Les campagnes d'information ne parviennent pas à la sensibiliser de façon déterminante. D'où le recours de plus en plus fréquent au cinéma : ce médium attire les foules et présente un réel potentiel pédagogique en présentant des agencements de vues réelles, de schémas animés et d'images microcinématographiques. | |||
Le Dr André Cavaillon, responsable au Ministère de l'Hygiène publique, spécialisé dans la prévention du péril vénérien, en est convaincu. Le film Il était une fois trois amis lui paraît exemplaire à ce titre, par l'efficacité de son exposé et son choix de la fiction pour le présenter : "Ce n'est pas uniquement le genre documentaire qui doit uniquement instruire le public. Il faut faire en sorte que le public soit presque inconscient qu'il est en train d'assister à un film d'instruction. Quoique des films dramatiques de ce type soient difficiles à faire, ils peuvent être faits, comme le prouve l'expérience (ainsi Il était une fois trois amis, œuvre du Dr Devraigne, chef de la maternité Laribosière, et de Benoit-Lévy.)" (Dr André Cavaillon, ''Le cinéma et les campagnes contre les maladies vénériennes''). | |||
''Syphilis et contexte militaire'' | |||
Avec la Première Guerre mondiale, la recrudescence de pathologies infectieuses dans le milieu militaire comme la blennorragie et la syphilis a imposé d’ajouter, au moyen de la propagande sanitaire, une nouvelle guerre à celle qui se traduit par le conflit armé. La peur de la sanction ou de la stigmatisation poussait les soldats infectés à ne pas déclarer leur situation, différant de cette façon le traitement nécessaire et favorisant le cycle de contamination. Afin de les inviter à se manifester, les autorités ont senti la nécessité d’adopter un discours compréhensif à leur égard, compte tenu de leur éloignement de leurs familles. | |||
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|Notes complémentaires={{HTNotes | |Notes complémentaires={{HTNotes | ||
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|Texte=1. Selon le Dr. Cavaillon, ''Il était une fois trois amis'' montre que la fiction est un registre à privilégier pour sensibiliser le public contre le péril vénérien<br />Au moment où il est diffusé dans les salles de cinéma, le film ''Il était une fois trois amis'' est chaleureusement salué par le Dr. André Cavaillon, alors responsable au ministère de l'Hygiène publique. Dans un article intitulé "Le cinéma et les campagnes contre les dangers des maladies vénériennes", il rappelle d'abord son enjeu : convaincre toute personne qui pense avoir été exposée à la contamination d'aller se faire dépister, même dans le doute. Puis il écrit : " Je ne pense pas qu'on puisse exprimer cinématographiquement ce message hygiénique, lequel pourrait sauver des milliers de jeunes vies, avec autant de subtilité, de sensibilité et d'efficacité que dans ''Il était une fois trois amis.'' La consultation à l'hôpital pour les mères et leurs enfants est un chef-d’œuvre de sentiment et de vérité." Plus loin, le Dr. Cavaillon témoigne de l'effet que la séquence d'animation conçue par Mourlan a produit sur le public. "La musique a cessé ; dans un silence solennel, le public suit le surlignage à l'écran montrant la contamination qui passe des veines et artères au fœtus, au moment où la mère est rendue malade par le travail des tréponèmes." Selon Cavaillon, la démarche du film est une réussite. "''Il était une fois trois amis'' (...) traite le sujet de la syphilis héréditaire avec la forme vivante d'une histoire et non avec le registre aride du documentaire." Benoit-lévy a su toucher le public français, particulièrement amateur de cinéma, par un discours à la fois franc et délicat. "Le public français aime qu'on lui parle franchement et sans dissimulation, mais sans vulgarité ni brutalité."<br />(Dr. André Cavaillon : 'The cinema and the campaign against the danger of venereal diseases')<br />2. Selon une enquête des années vingt sur la réception des films de propagande antisyphilitique, le registre fictionnel n'est pas opérant. <br />Dans son étude sur le cinéma médical, Adolf Nichtenhauser décrit la mise en place d'une enquête, commandée aux États-Unis au début des années vingt, sur la réception des films de prévention contre les maladies vénériennes. Elle est confiée à des psychologues, supervisée par le "Inter-departemental Social Hygiene Board". Il a été décidé de tester sur le public les effets d'un film en particulier, ''Fit to win'' (1919), extension du ''Fit to fight'' d'Edward Griffith (1917), avec davantage de vues cliniques. Le film a été montré à 4 800 personnes, de toutes origines sociales, avec des projections spécifiques pour les ouvriers, les marins, les médecins. Ils devaient remplir un questionnaire après la projection.<br />- premier constat : très peu de personnes, même parmi les plus éduquées, étaient convenablement informées sur les maladies vénériennes.<br />- la plupart estiment que les informations données par le film sont authentiques, très peu pensent qu'il s'agit d'un prétexte pour un discours moralisateur.<br />- la plupart acceptent les recommandations de continence<br />- la plupart ignoraient les risques de contracter la maladie par la prostitution<br />La suite de l'enquête a montré que, bien que la peur suscitée par le film ait provoqué la résolution d'un changement de comportement, celui-ci n'a pas eu lieu de manière déterminante. Alors que les événements marquants du film sont restés dans les mémoires cinq mois plus tard, l'intérêt qu'il a provoqué a fondu en moins de six semaines.<br />- la prise en charge n'a pas varié d'intensité avant et après le film<br />- l'effet le plus sérieux a consisté en une certaine inhibition des publics adolescents après la projection<br />D'après ces données, les enquêteurs ont initié une réflexion pour les films à venir :<br />- il est nécessaire de transmettre une information basée sur les faits et expliquée avec clarté<br />- la dramatisation fictionnelle n'apporte pas de plus grande efficacité. Le public retient les séquences purement informatives aussi bien que celles qui s'appuient sur une histoire. Les émotions tiennent davantage à des scènes isolées, sans tenir compte du fil qui les tiendrait. Les deux enquêteurs recommandent par conséquent de continuer la production de films antivénériens à la condition qu'elle propose des contenus purement informatifs, non fictionnels.<br />Pour Adolf Nichtenhauser, qui écrit dans les années quarante, les données engrangées par cette enquête restent utiles, dans les trente ans à venir, pour les éducateurs et les réalisateurs.<br />(d'après Adolf NICHTENHAUSER, ''A history of motion pictures in medicine'', manuscrit non publié, ca 1950, | |Texte=1. Selon le Dr. Cavaillon, ''Il était une fois trois amis'' montre que la fiction est un registre à privilégier pour sensibiliser le public contre le péril vénérien<br />Au moment où il est diffusé dans les salles de cinéma, le film ''Il était une fois trois amis'' est chaleureusement salué par le Dr. André Cavaillon, alors responsable au ministère de l'Hygiène publique. Dans un article intitulé "Le cinéma et les campagnes contre les dangers des maladies vénériennes", il rappelle d'abord son enjeu : convaincre toute personne qui pense avoir été exposée à la contamination d'aller se faire dépister, même dans le doute. Puis il écrit : " Je ne pense pas qu'on puisse exprimer cinématographiquement ce message hygiénique, lequel pourrait sauver des milliers de jeunes vies, avec autant de subtilité, de sensibilité et d'efficacité que dans ''Il était une fois trois amis.'' La consultation à l'hôpital pour les mères et leurs enfants est un chef-d’œuvre de sentiment et de vérité." Plus loin, le Dr. Cavaillon témoigne de l'effet que la séquence d'animation conçue par Mourlan a produit sur le public. "La musique a cessé ; dans un silence solennel, le public suit le surlignage à l'écran montrant la contamination qui passe des veines et artères au fœtus, au moment où la mère est rendue malade par le travail des tréponèmes." Selon Cavaillon, la démarche du film est une réussite. "''Il était une fois trois amis'' (...) traite le sujet de la syphilis héréditaire avec la forme vivante d'une histoire et non avec le registre aride du documentaire." Benoit-lévy a su toucher le public français, particulièrement amateur de cinéma, par un discours à la fois franc et délicat. "Le public français aime qu'on lui parle franchement et sans dissimulation, mais sans vulgarité ni brutalité."<br />(Dr. André Cavaillon : 'The cinema and the campaign against the danger of venereal diseases')<br />2. Selon une enquête des années vingt sur la réception des films de propagande antisyphilitique, le registre fictionnel n'est pas opérant. <br />Dans son étude sur le cinéma médical, Adolf Nichtenhauser décrit la mise en place d'une enquête, commandée aux États-Unis au début des années vingt, sur la réception des films de prévention contre les maladies vénériennes. Elle est confiée à des psychologues, supervisée par le "Inter-departemental Social Hygiene Board". Il a été décidé de tester sur le public les effets d'un film en particulier, ''Fit to win'' (1919), extension du ''Fit to fight'' d'Edward Griffith (1917), avec davantage de vues cliniques. Le film a été montré à 4 800 personnes, de toutes origines sociales, avec des projections spécifiques pour les ouvriers, les marins, les médecins. Ils devaient remplir un questionnaire après la projection.<br />- premier constat : très peu de personnes, même parmi les plus éduquées, étaient convenablement informées sur les maladies vénériennes.<br />- la plupart estiment que les informations données par le film sont authentiques, très peu pensent qu'il s'agit d'un prétexte pour un discours moralisateur.<br />- la plupart acceptent les recommandations de continence<br />- la plupart ignoraient les risques de contracter la maladie par la prostitution<br />La suite de l'enquête a montré que, bien que la peur suscitée par le film ait provoqué la résolution d'un changement de comportement, celui-ci n'a pas eu lieu de manière déterminante. Alors que les événements marquants du film sont restés dans les mémoires cinq mois plus tard, l'intérêt qu'il a provoqué a fondu en moins de six semaines.<br />- la prise en charge n'a pas varié d'intensité avant et après le film<br />- l'effet le plus sérieux a consisté en une certaine inhibition des publics adolescents après la projection<br />D'après ces données, les enquêteurs ont initié une réflexion pour les films à venir :<br />- il est nécessaire de transmettre une information basée sur les faits et expliquée avec clarté<br />- la dramatisation fictionnelle n'apporte pas de plus grande efficacité. Le public retient les séquences purement informatives aussi bien que celles qui s'appuient sur une histoire. Les émotions tiennent davantage à des scènes isolées, sans tenir compte du fil qui les tiendrait. Les deux enquêteurs recommandent par conséquent de continuer la production de films antivénériens à la condition qu'elle propose des contenus purement informatifs, non fictionnels.<br />Pour Adolf Nichtenhauser, qui écrit dans les années quarante, les données engrangées par cette enquête restent utiles, dans les trente ans à venir, pour les éducateurs et les réalisateurs.<br />(d'après Adolf NICHTENHAUSER, ''A history of motion pictures in medicine'', manuscrit non publié, ca 1950, p. 87-88). | ||
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|Description=Cette brève indique que le film a un intérêt pour tous les publics et spécialement pour la jeunesse. Il souligne la netteté du scénario, la qualité des prises de vue et l’excellent traitement du sujet. Une photographie, représentant le médecin (interprété par Camille Bert) racontant l’histoire des trois amis à son fils, complète la brève. | |Description=Cette brève indique que le film a un intérêt pour tous les publics et spécialement pour la jeunesse. Il souligne la netteté du scénario, la qualité des prises de vue et l’excellent traitement du sujet. Une photographie, représentant le médecin (interprété par Camille Bert) racontant l’histoire des trois amis à son fils, complète la brève. | ||
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Dernière version du 27 août 2025 à 14:16
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Titre :
Il était une fois trois amis
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Conseil scientifique :
Interprétation :
Durée :
53 minutes
Format :
Muet - Noir et blanc - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Commanditaires :
Archives détentrices :
Corpus :
Générique principal
Contenus
Thèmes médicaux
- Prévention et contrôle des maladies infectieuses et contagieuses. Prévention des épidémies
- Maladies infectieuses et contagieuses, fièvres
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Non.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Oui.
- Cartons : Oui.
- Animateur : Non.
- Voix off : Non.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Non.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
- Cinémagazine n°001 p.34 (04/01/1929)
Ce petit article signé Robert Frances met en avant le caractère pédagogique du film dans la lutte antisyphilitique à travers les trois cas qui y sont présentés. Il considère comme important que cette réalisation soit diffusée le plus largement possible. - La Vie Saine n°58 p.7 (05/1928)
Cette brève indique que le film a un intérêt pour tous les publics et spécialement pour la jeunesse. Il souligne la netteté du scénario, la qualité des prises de vue et l’excellent traitement du sujet. Une photographie, représentant le médecin (interprété par Camille Bert) racontant l’histoire des trois amis à son fils, complète la brève.
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Christian Bonah, Emmanuel Nuss, Géraldine Delay

