{{#widget:Qwant}}
« Combat Fatigue Irritability » : différence entre les versions
De MedFilm PPRD
(Enregistré en utilisant le bouton "Sauvegarder et continuer" du formulaire) |
(Enregistré en utilisant le bouton "Sauvegarder et continuer" du formulaire) |
||
| Ligne 99 : | Ligne 99 : | ||
'''Flashback : la permission de Lucas'''<br /> | '''Flashback : la permission de Lucas'''<br /> | ||
(Dans cette séquence, le spectateur apprend le prénom de Lucas : Bob.) Lucas arrive chez lui en train. Ses parents et sa fiancée, Sue, l'attendent sur le quai de la gare. Retrouvailles joyeuses et émues. Ils ne s'étaient pas revus depuis plus de deux ans. Pendant le diner, en tout point conforme à ce dont Lucas avait rêvé depuis tout ce temps, les parents se réjouissent que tout soit redevenu "comme au bon vieux temps" (''just like old times, just like it used to be''). Lucas se fige alors un court instant. Manifestement, cette réflexion le trouble. Mais il se lève de table vivement comme pour évacuer cette émotion et remercie sa mère sur un ton humoristique : "Excellent frichti, Maman. Presque aussi bon que celui de la Navy" (''That sure was some chow, Mum. Almost as good as Navy chow''). Toute la famille passe au salon. Les parents parlent du rationnement, notamment en essence, qui les oblige à limiter leurs déplacements et leur complique la vie. Il semble que le responsable du comité de rationnement ait refusé un passe-droit à M. Lucas père en raison d'une vieille rancœur (c'est du moins l'explication qu'en donne M. Lucas). Gros plan sur le visage de Lucas qui essaie de maîtriser son trouble et de faire preuve d'empathie. Il commence probablement à éprouver le sentiment d'hostilité envers les civils dont il est question dans le groupe de parole (voir plus haut). Ce sentiment naît à la fois de l'impression de décalage qu'éprouve Lucas par rapport à sa famille et de son incapacité à exprimer ce qu'il a vécu et ressenti lors de l'attaque de son sous-marin. Les soucis des civils lui paraissent ridicules et anodins. (13'40)<br /> | (Dans cette séquence, le spectateur apprend le prénom de Lucas : Bob.) Lucas arrive chez lui en train. Ses parents et sa fiancée, Sue, l'attendent sur le quai de la gare. Retrouvailles joyeuses et émues. Ils ne s'étaient pas revus depuis plus de deux ans. Pendant le diner, en tout point conforme à ce dont Lucas avait rêvé depuis tout ce temps, les parents se réjouissent que tout soit redevenu "comme au bon vieux temps" (''just like old times, just like it used to be''). Lucas se fige alors un court instant. Manifestement, cette réflexion le trouble. Mais il se lève de table vivement comme pour évacuer cette émotion et remercie sa mère sur un ton humoristique : "Excellent frichti, Maman. Presque aussi bon que celui de la Navy" (''That sure was some chow, Mum. Almost as good as Navy chow''). Toute la famille passe au salon. Les parents parlent du rationnement, notamment en essence, qui les oblige à limiter leurs déplacements et leur complique la vie. Il semble que le responsable du comité de rationnement ait refusé un passe-droit à M. Lucas père en raison d'une vieille rancœur (c'est du moins l'explication qu'en donne M. Lucas). Gros plan sur le visage de Lucas qui essaie de maîtriser son trouble et de faire preuve d'empathie. Il commence probablement à éprouver le sentiment d'hostilité envers les civils dont il est question dans le groupe de parole (voir plus haut). Ce sentiment naît à la fois de l'impression de décalage qu'éprouve Lucas par rapport à sa famille et de son incapacité à exprimer ce qu'il a vécu et ressenti lors de l'attaque de son sous-marin. Les soucis des civils lui paraissent ridicules et anodins. (13'40)<br /> | ||
Mme Lucas exprime de nouveau son bonheur de revoir son fils assis près de Sue. Cette fois-ci, Lucas lui répond de façon assez vive que c'est la dixième fois qu'elle le dit. Mme Lucas et Sue le regardent d'un air surpris et baissent les yeux. Sue veut changer de conversation et annonce que Burt Haskins, manifestement un de leurs amis, vient de rentrer. Lucas demande s'il est en permission. Sue répond qu'il est rentré d'Allemagne puis baisse les yeux, gênée. Il y a manifestement quelque chose qu'elle ne dit pas. Lucas s'en rend compte mais l'interprète mal. Il accuse sa famille de le traiter comme un étranger. Sa mère est choquée mais son père admet qu'il leur ait un peu étranger (''Maybe you're right. You are a bit of a stranger'') parce qu'il a beaucoup voyagé et qu'il a vu "des tas de choses qui [leur] sont inconnues". Cette phrase accentue le décalage entre les deux hommes parce qu'ils ne lui attribuent pas le même sens. M. Lucas père n'est pas loin de se représenter la vie de son fils comme celle d'un touriste qui a la chance | Mme Lucas exprime de nouveau son bonheur de revoir son fils assis près de Sue. Cette fois-ci, Lucas lui répond de façon assez vive que c'est la dixième fois qu'elle le dit. Mme Lucas et Sue le regardent d'un air surpris et baissent les yeux. Sue veut changer de conversation et annonce que Burt Haskins, manifestement un de leurs amis, vient de rentrer. Lucas demande s'il est en permission. Sue répond qu'il est rentré d'Allemagne puis baisse les yeux, gênée. Il y a manifestement quelque chose qu'elle ne dit pas. Lucas s'en rend compte mais l'interprète mal. Il accuse sa famille de le traiter comme un étranger. Sa mère est choquée mais son père admet qu'il leur ait un peu étranger (''Maybe you're right. You are a bit of a stranger'') parce qu'il a beaucoup voyagé et qu'il a vu "des tas de choses qui [leur] sont inconnues". Cette phrase accentue le décalage entre les deux hommes parce qu'ils ne lui attribuent pas le même sens. M. Lucas père n'est probablement pas loin de se représenter la vie de son fils comme celle d'un touriste qui a la chance de découvrir toutes sortes d'endroits exotiques. Pour Lucas lui-même, ces "choses inconnues" sont plutôt les difficultés et les horreurs de la guerre, ainsi que le naufrage qu'il a vécu même si, à ce stade du film, le spectateur n'a encore que très peu d'informations à ce sujet.<br /> | ||
Après quelques instants où les parents se vantent des changements que la ville est en train de connaître et de la présence d'une grande usine de production de tanks à proximité (la guerre semble avoir un impact positif sur leur communauté), ils interrogent Lucas sur ce qu'il a vécu pendant ses 18 mois en mer et sur le naufrage. Il commence par leur répondre sur un ton calme mais la naïveté de leurs questions et son impossibilité à parler de cette expérience passée le mettent en colère. En hurlant, il leur ordonne de se taire et quitte la maison. La honte l'envahit, ses mains tremblent, son estomac est en feu. En ''voice over'', il explique qu'il n'a pas compris pourquoi sur le moment mais que maintenant il le sait. Le docteur Bush lui demande des précisions. "Ça m'a fait repenser à ces satanées valves. Je me suis retrouvé tendu comme un arc. (...) la terreur m'aveuglait." Le médecin précise que cette terreur est un élément important (''That being scared is certainly part of it.'')<br /> | Après quelques instants où les parents se vantent des changements que la ville est en train de connaître et de la présence d'une grande usine de production de tanks à proximité (la guerre semble avoir un impact positif sur leur communauté), ils interrogent Lucas sur ce qu'il a vécu pendant ses 18 mois en mer et sur le naufrage. Il commence par leur répondre sur un ton calme mais la naïveté de leurs questions et son impossibilité à parler de cette expérience passée le mettent en colère. En hurlant, il leur ordonne de se taire et quitte la maison. La honte l'envahit, ses mains tremblent, son estomac est en feu. En ''voice over'', il explique qu'il n'a pas compris pourquoi il avait ces manifestations désagréables sur le moment mais que maintenant il le sait. Le docteur Bush lui demande des précisions. "Ça m'a fait repenser à ces satanées valves. Je me suis retrouvé tendu comme un arc. (...) la terreur m'aveuglait." Le médecin précise que cette terreur est un élément important (''That being scared is certainly part of it.'')<br /> | ||
Lucas marche dans la neige pendant longtemps sans arriver à mettre de l'ordre dans ses émotions. Il ne se comprend plus lui-même, il ne comprend plus sa famille et il est persuadé que c'est réciproque. Il ne voit plus qu'une | Lucas marche dans la neige pendant longtemps sans arriver à mettre de l'ordre dans ses émotions. Il ne se comprend plus lui-même, il ne comprend plus sa famille et il est persuadé que c'est réciproque. Il ne voit plus qu'une issue à la situation : se saouler. Comme il est le dernier client du bar ce jour-là, le barman a envie de bavarder et lui pose de nombreuses questions. Cette séquence permet au spectateur d'avoir la confirmation que Lucas a effectivement beaucoup voyagé : "zone continentale", Afrique, Pacifique. Cependant, la conversation tourne court parce que Lucas pense que le barman se moque de lui. Il l'agresse physiquement mais le barman a le dessus et le jette dehors en lui recommandant d'aller se réconcilier avec sa famille ou sa bonne amie. Cette séquence contient l'un des messages importants du film à l'adresse des soldats : "si vous vous sentez mal et en décalage avec votre entourage, l'alcool ne résoudra rien."<br /> | ||
Lucas rentre chez lui en titubant et va se coucher. Ses parents sont déjà au lit mais encore réveillés. L'incompréhension et l'inquiétude se lisent sur leur visage. Sur leur lit, un quilt en patchwork à blocs Nine-Patch et Lemoyne Star contribue à suggérer une atmosphère douillette et des valeurs familiales traditionnelles. Gros plan de six secondes sur le visage troublé de Lucas. (19'45)<br /> | Lucas rentre chez lui en titubant et va se coucher. Ses parents sont déjà au lit mais encore réveillés. L'incompréhension et l'inquiétude se lisent sur leur visage. Sur leur lit, un quilt en patchwork à blocs ''Nine-Patch'' et ''Lemoyne Star'' contribue à suggérer une atmosphère douillette et des valeurs familiales traditionnelles. Gros plan de six secondes sur le visage troublé de Lucas. (19'45)<br /> | ||
Dans les jours suivants, la moindre contrariété fait réagir Lucas avec violence. Il manque notamment de patience avec les petits frères de Sue. Il ne sent bien qu'avec ses copains revenus de la guerre. Le mystère qui entourait Burt Haskins est éclairci. Ce dernier a perdu un bras en Allemagne mais la famille de Lucas n'a pas voulu le lui dire pour le "ménager" (''They thought they'd spare my feelings''). Dans un bar, Lucas discute avec trois copains (dont Burt) revenus de la guerre ou en permission. Ils prévoient de louer un local pour créer une sorte de club (d'anciens combattants) où ils pourraient "discuter, avoir un bar, organiser des fêtes" (''shooting the breeze, have a bar, throw parties'') lorsqu'ils seront plus nombreux à être rentrés. Cette séquence peut être | Dans les jours suivants, la moindre contrariété fait réagir Lucas avec violence. Il manque notamment de patience avec les petits frères de Sue. Il ne se sent bien qu'avec ses copains revenus de la guerre. Le mystère qui entourait Burt Haskins est éclairci. Ce dernier a perdu un bras en Allemagne mais la famille de Lucas n'a pas voulu le lui dire pour le "ménager" (''They thought they'd spare my feelings''). Dans un bar, Lucas discute avec trois copains de lycée (dont Burt) revenus de la guerre ou en permission. Ils prévoient de louer un local pour créer une sorte de club (d'anciens combattants) où ils pourraient "discuter, avoir un bar, organiser des fêtes" (''shooting the breeze, have a bar, throw parties'') lorsqu'ils seront plus nombreux à être rentrés. Cette séquence peut être rapprochée de l'une de celles du film [[Assignment Home]] (09'37) où le médecin propose à Henry de prendre part au club qu'il anime tous les mercredis pour discuter de ce qui pourrait être fait pour faire progresser leur communauté (''Henry, we’ve got a little local club around here that meets every Wednesday night. A bunch of the fellows get together and discuss plans to improve the community. Like to have you come over.'') L'objectif de se genre d'initiatives est de reprendre des relations sociales et de se conduire en membre actif de sa communauté. (20:45)<br> | ||
Dans une église, Lucas, ses parents et Sue assistent à un service religieux ou à un concert. En voix off, Lucas explique que "ça ne collait plus" entre Sue et lui (''We couldn't hit it off anymore'', "Ça ne collait plus entre nous"), sauf quand ils n'avaient pas besoin de parler. Effectivement, tant qu'ils sont dans l'incapacité de parler à l'église, ils échangent des regards complices et se tiennent la main. Les parents de Lucas le remarquent et se regardent d'un air attendri et heureux. Le choix du poème chanté par les deux solistes, ''The Glories of Our Blood and State'', extrait de la pièce de théâtre ''The Contention of Ajax and Ulysses" de James Shirley (1596-1666), surprend dans un film militaire dans la mesure où il dénonce la vacuité des exploits guerriers et les souffrances liées à la guerre. La fin de la deuxième strophe en particulier (elle n'est pas chantée dans le film) résonne d'une façon particulière par rapport au thème de l'épuisement au combat : ''their strong nerves at last must yield'' ("Finalement, leurs solides nerfs doivent céder.").<br> | Dans une église, Lucas, ses parents et Sue assistent à un service religieux ou à un concert. En voix off, Lucas explique que "ça ne collait plus" entre Sue et lui (''We couldn't hit it off anymore'', "Ça ne collait plus entre nous"), sauf quand ils n'avaient pas besoin de parler. Effectivement, tant qu'ils sont dans l'incapacité de parler à l'église, ils échangent des regards complices et se tiennent la main. Les parents de Lucas le remarquent et se regardent d'un air attendri et heureux. Le choix du poème chanté par les deux solistes, ''The Glories of Our Blood and State'', extrait de la pièce de théâtre ''The Contention of Ajax and Ulysses" de James Shirley (1596-1666), surprend dans un film militaire dans la mesure où il dénonce la vacuité des exploits guerriers et les souffrances liées à la guerre. La fin de la deuxième strophe en particulier (elle n'est pas chantée dans le film) résonne d'une façon particulière par rapport au thème de l'épuisement au combat : ''their strong nerves at last must yield'' ("Finalement, leurs solides nerfs doivent céder.").<br> | ||
En revanche, lorsque Lucas et Sue se retrouvent en promenade à l'extérieur, ils ont du mal à se comprendre. Sue se remémore des souvenirs de lycée, notamment la demande en mariage de Lucas. Il lui reproche d'avoir mis du temps à accepter. Sue explique qu'ils étaient trop jeunes à ce moment-là mais Bob regrette le temps perdu : ils pourraient être déjà mariés. Sue pense que la guerre ne durera plus très longtemps et que tout redeviendra comme avant. Ce n'est pas l'avis de Bob qui lui rappelle avec un peu d'agressivité que leur ami Burt ne pourra plus venir nager avec leur bande comme avant la guerre. Les deux jeunes gens se disputent. Sue a besoin de s'accrocher à son point de vue pour garder l'espoir alors que Bob est conscient du fait que lui-même ou l'un de leurs camarades pourrait ne pas revenir de la guerre. Sue lui demande de se reprendre (''You've got to get hold of yourself'') et lui fait remarquer que depuis son retour, il n'a pas arrêté d'être brusque avec elle (''eversince you've been home, you've been snapping at me''). Effectivement, il lui répond d'un ton désagréable qu'elle a changé puis la laisse plantée là en lui disant qu'il veut rester seul. Dans un commentaire en voix off correspondant au récit qu'il fait aux autres membres de son groupe de parole, il explique qu'il ne s'était jamais senti aussi mal de toute sa vie mais qu'il ne savait pas quoi y faire. (23:48)<br> | En revanche, lorsque Lucas et Sue se retrouvent en promenade à l'extérieur, ils ont du mal à se comprendre. Sue se remémore des souvenirs de lycée, notamment la demande en mariage de Lucas. Il lui reproche d'avoir mis du temps à accepter. Sue explique qu'ils étaient trop jeunes à ce moment-là mais Bob regrette le temps perdu : ils pourraient être déjà mariés. Sue pense que la guerre ne durera plus très longtemps et que tout redeviendra comme avant. Ce n'est pas l'avis de Bob qui lui rappelle avec un peu d'agressivité que leur ami Burt ne pourra plus venir nager avec leur bande comme avant la guerre. Les deux jeunes gens se disputent. Sue a besoin de s'accrocher à son point de vue pour garder l'espoir alors que Bob est conscient du fait que lui-même ou l'un de leurs camarades pourrait ne pas revenir de la guerre. Sue lui demande de se reprendre (''You've got to get hold of yourself'') et lui fait remarquer que depuis son retour, il n'a pas arrêté d'être brusque avec elle (''eversince you've been home, you've been snapping at me''). Effectivement, il lui répond d'un ton désagréable qu'elle a changé puis la laisse plantée là en lui disant qu'il veut rester seul. Dans un commentaire en voix off correspondant au récit qu'il fait aux autres membres de son groupe de parole, il explique qu'il ne s'était jamais senti aussi mal de toute sa vie mais qu'il ne savait pas quoi y faire. (23:48)<br> | ||
Version du 18 janvier 2023 à 11:49
Avertissement : cette fiche n'a pas encore été relue et peut se révéler incomplète ou inexacte.
Si vous rencontrez un problème d'affichage du film ou des sous-titres , veuillez essayer un autre navigateur.
Titre :
Combat Fatigue Irritability
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Interprétation :
Durée :
35 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 35 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Commanditaires :
Archives détentrices :
Corpus :
Générique principal
Contenus
Thèmes médicaux
- Risques professionnels. Santé et hygiène professionnelle
- Traumatismes. Lésions. Blessures
- Aspects divers de la maladie, du patient et de l'intervention médicale
- Séméiologie générale. Symptomatologie. Signes et symptômes. Examens. Diagnostic. Propédeutique
- Psychiatrie. Pathologies psychiatriques. Psychopathologie. Phrénopathies. Psychoses. Anomalies mentales. États psychiques et mentaux morbides. Désordres émotionnels et comportementaux
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Non.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Non.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Élisabeth Fuchs, Ivan Melnik
- Transcription Anglais : Nicolas Guechi
- Sous-titres Français : Élisabeth Fuchs, Nicolas Guechi

