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« Combat Fatigue Irritability » : différence entre les versions
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(Dans cette séquence, le spectateur apprend le prénom de Lucas : Bob.) Lucas arrive chez lui en train. Ses parents et sa fiancée, Sue, l'attendent sur le quai de la gare. Retrouvailles joyeuses et émues. Ils ne s'étaient pas revus depuis plus de deux ans. Pendant le diner, en tout point conforme à ce dont Lucas avait rêvé depuis tout ce temps, les parents se réjouissent que tout soit redevenu "comme au bon vieux temps" (''just like old times, just like it used to be''). Lucas se fige alors un court instant. Manifestement, cette réflexion le trouble. Mais il se lève de table vivement comme pour évacuer cette émotion et remercie sa mère sur un ton humoristique : "Excellent frichti, Maman. Presque aussi bon que celui de la Navy" (''That sure was some chow, Mum. Almost as good as Navy chow''). Toute la famille passe au salon. Les parents parlent du rationnement, notamment en essence, qui les oblige à limiter leurs déplacements et leur complique la vie. Il semble que le responsable du comité de rationnement ait refusé un passe-droit à M. Lucas père en raison d'une vieille rancœur (c'est du moins l'explication qu'en donne M. Lucas). Gros plan sur le visage de Lucas qui essaie de maîtriser son trouble et de faire preuve d'empathie. Il commence probablement à éprouver le sentiment d'hostilité envers les civils dont il est question dans le groupe de parole (voir plus haut). Ce sentiment naît à la fois de l'impression de décalage qu'éprouve Lucas par rapport à sa famille et de son incapacité à exprimer ce qu'il a vécu et ressenti lors de l'attaque de son sous-marin. Les soucis des civils lui paraissent ridicules et anodins. (13'40)<br /> | (Dans cette séquence, le spectateur apprend le prénom de Lucas : Bob.) Lucas arrive chez lui en train. Ses parents et sa fiancée, Sue, l'attendent sur le quai de la gare. Retrouvailles joyeuses et émues. Ils ne s'étaient pas revus depuis plus de deux ans. Pendant le diner, en tout point conforme à ce dont Lucas avait rêvé depuis tout ce temps, les parents se réjouissent que tout soit redevenu "comme au bon vieux temps" (''just like old times, just like it used to be''). Lucas se fige alors un court instant. Manifestement, cette réflexion le trouble. Mais il se lève de table vivement comme pour évacuer cette émotion et remercie sa mère sur un ton humoristique : "Excellent frichti, Maman. Presque aussi bon que celui de la Navy" (''That sure was some chow, Mum. Almost as good as Navy chow''). Toute la famille passe au salon. Les parents parlent du rationnement, notamment en essence, qui les oblige à limiter leurs déplacements et leur complique la vie. Il semble que le responsable du comité de rationnement ait refusé un passe-droit à M. Lucas père en raison d'une vieille rancœur (c'est du moins l'explication qu'en donne M. Lucas). Gros plan sur le visage de Lucas qui essaie de maîtriser son trouble et de faire preuve d'empathie. Il commence probablement à éprouver le sentiment d'hostilité envers les civils dont il est question dans le groupe de parole (voir plus haut). Ce sentiment naît à la fois de l'impression de décalage qu'éprouve Lucas par rapport à sa famille et de son incapacité à exprimer ce qu'il a vécu et ressenti lors de l'attaque de son sous-marin. Les soucis des civils lui paraissent ridicules et anodins. (13'40)<br /> | ||
Mme Lucas exprime de nouveau son bonheur de revoir son fils assis près de Sue. Cette fois-ci, Lucas lui répond de façon assez vive que c'est la dixième fois qu'elle le dit. Mme Lucas et Sue le regardent d'un air surpris et baissent les yeux. Sue veut changer de conversation et annonce que Burt Haskins, manifestement un de leurs amis, vient de rentrer. Lucas demande s'il est en permission. Sue répond qu'il est rentré d'Allemagne puis baisse les yeux, gênée. Il y a manifestement quelque chose qu'elle ne dit pas. Lucas s'en rend compte mais l'interprète mal. Il accuse sa famille de le traiter comme un étranger. Sa mère est choquée mais son père admet qu'il leur ait un peu étranger (''Maybe you're right. You are a bit of a stranger'') parce qu'il a beaucoup voyagé et qu'il a vu "des tas de choses qui [leur] sont inconnues". Cette phrase accentue le décalage entre les deux hommes parce qu'ils ne lui attribuent pas le même sens. M. Lucas père n'est probablement pas loin de se représenter la vie de son fils comme celle d'un touriste qui a la chance de découvrir toutes sortes d'endroits exotiques. Pour Lucas lui-même, ces "choses inconnues" sont plutôt les difficultés et les horreurs de la guerre, ainsi que le naufrage qu'il a vécu même si, à ce stade du film, le spectateur n'a encore que très peu d'informations à ce sujet.<br /> | Mme Lucas exprime de nouveau son bonheur de revoir son fils assis près de Sue. Cette fois-ci, Lucas lui répond de façon assez vive que c'est la dixième fois qu'elle le dit. Mme Lucas et Sue le regardent d'un air surpris et baissent les yeux. Sue veut changer de conversation et annonce que Burt Haskins, manifestement un de leurs amis, vient de rentrer. Lucas demande s'il est en permission. Sue répond qu'il est rentré d'Allemagne puis baisse les yeux, gênée. Il y a manifestement quelque chose qu'elle ne dit pas. Lucas s'en rend compte mais l'interprète mal. Il accuse sa famille de le traiter comme un étranger. Sa mère est choquée mais son père admet qu'il leur ait un peu étranger (''Maybe you're right. You are a bit of a stranger'') parce qu'il a beaucoup voyagé et qu'il a vu "des tas de choses qui [leur] sont inconnues". Cette phrase accentue le décalage entre les deux hommes parce qu'ils ne lui attribuent pas le même sens. M. Lucas père n'est probablement pas loin de se représenter la vie de son fils comme celle d'un touriste qui a la chance de découvrir toutes sortes d'endroits exotiques. Pour Lucas lui-même, ces "choses inconnues" sont plutôt les difficultés et les horreurs de la guerre, ainsi que le naufrage qu'il a vécu même si, à ce stade du film, le spectateur n'a encore que très peu d'informations à ce sujet.<br /> | ||
Après quelques instants où les parents se vantent des changements que la ville est en train de connaître et de la présence d'une grande usine de production de tanks à proximité (la guerre semble avoir un impact positif sur leur communauté), ils interrogent Lucas sur ce qu'il a vécu pendant ses 18 mois en mer et sur le naufrage. Il commence par leur répondre sur un ton calme mais la naïveté de leurs questions et son impossibilité à parler de cette expérience passée le mettent en colère. En hurlant, il leur ordonne de se taire et quitte la maison. La honte l'envahit, ses mains tremblent, son estomac est en feu. En ''voice over'', il explique qu'il n'a pas compris pourquoi il avait ces manifestations désagréables sur le moment mais que maintenant il le sait. Le docteur Bush lui demande des précisions. "Ça m'a fait repenser à ces satanées valves. Je me suis retrouvé tendu comme un arc. (...) la terreur m'aveuglait." Le médecin précise que cette terreur est un élément important (''That being scared is certainly part of it.'')<br /> | Après quelques instants où les parents se vantent des changements que la ville est en train de connaître et de la présence d'une grande usine de production de tanks à proximité (la guerre semble avoir un impact positif sur leur communauté et lui amener une certaine prospérité), ils interrogent Lucas sur ce qu'il a vécu pendant ses 18 mois en mer et sur le naufrage. Il commence par leur répondre sur un ton calme mais la naïveté de leurs questions et son impossibilité à parler de cette expérience passée le mettent en colère. En hurlant, il leur ordonne de se taire et quitte la maison. La honte l'envahit, ses mains tremblent, son estomac est en feu. En ''voice over'', il explique qu'il n'a pas compris pourquoi il avait ces manifestations désagréables sur le moment mais que maintenant il le sait. Le docteur Bush lui demande des précisions. "Ça m'a fait repenser à ces satanées valves. Je me suis retrouvé tendu comme un arc. (...) la terreur m'aveuglait." Le médecin précise que cette terreur est un élément important (''That being scared is certainly part of it.'')<br /> | ||
Lucas marche dans la neige pendant longtemps sans arriver à mettre de l'ordre dans ses émotions. Il ne se comprend plus lui-même, il ne comprend plus sa famille et il est persuadé que c'est réciproque. Il ne voit plus qu'une issue à la situation : se saouler. Comme il est le dernier client du bar ce jour-là, le barman a envie de bavarder et lui pose de nombreuses questions. Cette séquence permet au spectateur d'avoir la confirmation que Lucas a effectivement beaucoup voyagé : "zone continentale", Afrique, Pacifique. Cependant, la conversation tourne court parce que Lucas pense que le barman se moque de lui. Il l'agresse physiquement mais le barman a le dessus et le jette dehors, dans la neige, en lui recommandant d'aller se réconcilier avec sa famille ou sa bonne amie. Cette séquence contient l'un des messages importants du film à l'adresse des soldats : "si vous vous sentez mal et en décalage avec votre entourage, l'alcool ne résoudra rien."<br /> | Lucas marche dans la neige pendant longtemps sans arriver à mettre de l'ordre dans ses émotions. Il ne se comprend plus lui-même, il ne comprend plus sa famille et il est persuadé que c'est réciproque. Il ne voit plus qu'une issue à la situation : se saouler. Comme il est le dernier client du bar ce jour-là, le barman a envie de bavarder et lui pose de nombreuses questions. Cette séquence permet au spectateur d'avoir la confirmation que Lucas a effectivement beaucoup voyagé : "zone continentale", Afrique, Pacifique. Cependant, la conversation tourne court parce que Lucas pense que le barman se moque de lui. Il l'agresse physiquement mais le barman a le dessus et le jette dehors, dans la neige, en lui recommandant d'aller se réconcilier avec sa famille ou sa bonne amie. Cette séquence contient l'un des messages importants du film à l'adresse des soldats : "si vous vous sentez mal et en décalage avec votre entourage, l'alcool ne résoudra rien."<br /> | ||
Lucas rentre chez lui en titubant et va se coucher. Ses parents sont déjà au lit mais encore réveillés. L'incompréhension et l'inquiétude se lisent sur leur visage. Sur leur lit, un quilt en patchwork à blocs ''Nine-Patch'' et ''Lemoyne Star'' contribue à suggérer une atmosphère douillette et des valeurs familiales traditionnelles. Gros plan de six secondes sur le visage troublé de Lucas. (19'45)<br /> | Lucas rentre chez lui en titubant et va se coucher. Ses parents sont déjà au lit mais encore réveillés. L'incompréhension et l'inquiétude se lisent sur leur visage. Sur leur lit, un quilt en patchwork à blocs ''Nine-Patch'' et ''Lemoyne Star'' contribue à suggérer une atmosphère douillette et des valeurs familiales traditionnelles. Gros plan de six secondes sur le visage troublé de Lucas. (19'45)<br /> | ||
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Dans les jours qui suivent, Lucas tourne en rond chez lui. Son père lui propose d'aller chasser pour lui changer les idées. Au début, la sortie se passe très bien. Il y a toujours beaucoup de neige. Bob se remémore de bons souvenirs, il est content du fusil qu'il possède et il apprécie de se promener dans la nature avec son père. Il se sent revigoré. Lorsqu'ils arrivent dans la forêt, M. Lucas dit à Bob de rester dans cette zone pendant qu'il tâchera de rabattre du gibier. Bob rit à une plaisanterie de son père puis fait quelques pas. Musique guillerette sur ce passage. M. Lucas rabat un lapin vers son fils. Ce dernier l'aperçoit et tente de mettre l'animal en joue mais il se met à trembler et se retrouve incapable de tirer. Il jette son arme à terre, reproche à son père de l'avoir emmené chasser et quitte les lieux en jurant. Plan large sur le paysage enneigé qui a perdu son caractère idyllique et paraît presque hostile.<br> | Dans les jours qui suivent, Lucas tourne en rond chez lui. Son père lui propose d'aller chasser pour lui changer les idées. Au début, la sortie se passe très bien. Il y a toujours beaucoup de neige. Bob se remémore de bons souvenirs, il est content du fusil qu'il possède et il apprécie de se promener dans la nature avec son père. Il se sent revigoré. Lorsqu'ils arrivent dans la forêt, M. Lucas dit à Bob de rester dans cette zone pendant qu'il tâchera de rabattre du gibier. Bob rit à une plaisanterie de son père puis fait quelques pas. Musique guillerette sur ce passage. M. Lucas rabat un lapin vers son fils. Ce dernier l'aperçoit et tente de mettre l'animal en joue mais il se met à trembler et se retrouve incapable de tirer. Il jette son arme à terre, reproche à son père de l'avoir emmené chasser et quitte les lieux en jurant. Plan large sur le paysage enneigé qui a perdu son caractère idyllique et paraît presque hostile.<br> | ||
M. Lucas emmène son fils chez le médecin. Celui-ci "dit quelque chose à propos de ses nerfs" (''he said something about my nerves'') et contacte la Croix-Rouge qui a son tour contacte la Navy. (26:05)<br> | M. Lucas emmène son fils chez le médecin. Celui-ci "dit quelque chose à propos de ses nerfs" (''he said something about my nerves'') et contacte la Croix-Rouge qui a son tour contacte la Navy. (26:05)<br> | ||
''' | '''Un effondrement salutaire'''<br> | ||
Retour au groupe de parole ; Lucas a fini de raconter sa permission et les événements qui ont mené à son hospitalisation dans un service de psychiatrie. Il interpelle le soldat qui avait dit au médecin qu'ils iraient tous bien mieux si on les laissait rentrer chez eux en lui recommandant de ne pas essayer de rentrer tant que son état ne se sera pas amélioré. <br> | Retour au groupe de parole ; Lucas a fini de raconter sa permission et les événements qui ont mené à son hospitalisation dans un service de psychiatrie. Il interpelle le soldat qui avait dit au médecin qu'ils iraient tous bien mieux si on les laissait rentrer chez eux en lui recommandant de ne pas essayer de rentrer tant que son état ne se sera pas amélioré. <br> | ||
Le voisin de droite de Lucas ne comprend pas pourquoi ce dernier s'est mis dans un état pareil pour un lapin, étant donné qu'il n'a jamais participé au moindre combat et n'a donc jamais eu besoin de tirer. Le médecin interroge Lucas qui se trouve dans l'incapacité de fournir une explication. Le docteur Bush lui demande de raconter encore une fois le torpillage de son sous-marin. Cette demande surprend Lucas qui se met à trembler. Lorsque le médecin lui demande comment il s'est senti une fois dans l'eau, il s'énerve car il l'a déjà dit cent fois. D'une voix forte et en serrant les mâchoires, il explique qu'il s'est senti soulagé d'être sorti de ce bateau. Le docteur Bush insiste. Selon lui, Lucas a dû ressentir encore autre chose. Finalement, Lucas fond en larmes. Peu de temps après avoir compris qu'il était sain et sauf, il s'est aperçu que nombre de ses camarades étaient en train de mourir autour de lui. Les autres soldats détournent le regard. Lucas s'effondre sur sa petite table. Le médecin s'avance vers lui et pose ses mains sur l'une de ses épaules et sur son dos. Il prononce des paroles de réconfort et fait remarquer qu'il faut beaucoup de courage pour affronter des souvenirs pénibles. Il emmène Lucas dans une pièce de consultation attenante. Il le fait s'allonger sur le lit d'examen, lui explique qu'on ne peut pas faire ressortir des émotions compliquées et profondément ancrées sans douleur (''you can't dislodge deep-seated, sensitive feelings without hurting'') et lui fait prendre un calmant en lui expliquant que tout va être plus facile pour lui à partir de ce moment. Il lui dit de se reposer, lui promet qu'ils reparleront de cette séance quand il se sentira mieux et tire le store pour que Lucas puisse dormir sans être dérangé par la lumière extérieure. (28:41)<br> | Le voisin de droite de Lucas ne comprend pas pourquoi ce dernier s'est mis dans un état pareil pour un lapin, étant donné qu'il n'a jamais participé au moindre combat et n'a donc jamais eu besoin de tirer. Le médecin interroge Lucas qui se trouve dans l'incapacité de fournir une explication. Le docteur Bush lui demande de raconter encore une fois le torpillage de son sous-marin. Cette demande surprend Lucas qui se met à trembler. Lorsque le médecin lui demande comment il s'est senti une fois dans l'eau, il s'énerve car il l'a déjà dit cent fois. D'une voix forte et en serrant les mâchoires, il explique qu'il s'est senti soulagé d'être sorti de ce bateau. Le docteur Bush insiste. Selon lui, Lucas a dû ressentir encore autre chose. Finalement, Lucas fond en larmes. Peu de temps après avoir compris qu'il était sain et sauf, il s'est aperçu que nombre de ses camarades étaient en train de mourir autour de lui. Les autres soldats détournent le regard. Lucas s'effondre sur sa petite table. Le médecin s'avance vers lui et pose ses mains sur l'une de ses épaules et sur son dos. Il prononce des paroles de réconfort et fait remarquer qu'il faut beaucoup de courage pour affronter des souvenirs pénibles. Il emmène Lucas dans une pièce de consultation attenante. Il le fait s'allonger sur le lit d'examen, lui explique qu'on ne peut pas faire ressortir des émotions compliquées et profondément ancrées sans douleur (''you can't dislodge deep-seated, sensitive feelings without hurting'') et lui fait prendre un calmant en lui expliquant que tout va être plus facile pour lui à partir de ce moment. Il lui dit de se reposer, lui promet qu'ils reparleront de cette séance quand il se sentira mieux et tire le store pour que Lucas puisse dormir sans être dérangé par la lumière extérieure. (28:41)<br> | ||
Version du 18 janvier 2023 à 16:22
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Titre :
Combat Fatigue Irritability
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Interprétation :
Durée :
35 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 35 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Commanditaires :
Archives détentrices :
Corpus :
Générique principal
Contenus
Thèmes médicaux
- Risques professionnels. Santé et hygiène professionnelle
- Traumatismes. Lésions. Blessures
- Aspects divers de la maladie, du patient et de l'intervention médicale
- Séméiologie générale. Symptomatologie. Signes et symptômes. Examens. Diagnostic. Propédeutique
- Psychiatrie. Pathologies psychiatriques. Psychopathologie. Phrénopathies. Psychoses. Anomalies mentales. États psychiques et mentaux morbides. Désordres émotionnels et comportementaux
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Non.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Non.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Élisabeth Fuchs, Ivan Melnik
- Transcription Anglais : Nicolas Guechi
- Sous-titres Français : Élisabeth Fuchs, Nicolas Guechi

