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« Peut-on jouer au docteur » : différence entre les versions
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|Texte=L'auto-médication, ses dangers, ses risques, ses conséquences et le rapport des | |Texte=L'auto-médication, ses dangers, ses risques, ses conséquences et le rapport des Français par rapport à cette pratique. | ||
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|Texte=L’auto-médication est une pratique qui consiste à se soigner seul, sans avis médical avec des médicaments vendus sans ordonnance en pharmacie. Ces médicaments sont normalement disponibles car ils sont utilisables pour des maux bénins et facilement diagnosticables par le patient. Ils sont destinés à des symptômes courants mais surtout, pour une courte période. Ils sont évidemment contrôlés par l'Agence française de sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé avant la mise sur le marché. Pour être en vente libre, un médicament doit cibler une pathologie courante et bénigne, ne nécessitant pas un suivi médical particulier et le patient doit toujours rester averti de la nécessité éventuelle de consulter un médecin si certains symptômes persistent ou apparaissent par la notice et les mentions de l’étiquetage. <br />L'auto-médication est une pratique courante dans les années 80, et pour preuve, une proposition de définition de spécialité avait été proposée en 1985. En effet, la commission d'Autorisation de Mise sur le Marché souhaitait créer une spécialité de médicament à utiliser sans l'avis du médecin. Cela posait beaucoup de | |Texte=L’auto-médication est une pratique qui consiste à se soigner seul, sans avis médical avec des médicaments vendus sans ordonnance en pharmacie. Ces médicaments sont normalement disponibles car ils sont utilisables pour des maux bénins et facilement diagnosticables par le patient. Ils sont destinés à des symptômes courants mais surtout, pour une courte période. Ils sont évidemment contrôlés par l'Agence française de sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé avant la mise sur le marché. Pour être en vente libre, un médicament doit cibler une pathologie courante et bénigne, ne nécessitant pas un suivi médical particulier et le patient doit toujours rester averti de la nécessité éventuelle de consulter un médecin si certains symptômes persistent ou apparaissent par la notice et les mentions de l’étiquetage. <br />L'auto-médication est une pratique courante dans les années 80, et pour preuve, une proposition de définition de spécialité avait été proposée en 1985. En effet, la commission d'Autorisation de Mise sur le Marché souhaitait créer une spécialité de médicament à utiliser sans l'avis du médecin. Cela posait beaucoup de questions par rapport à la durée adaptée de tels traitements, la nécessité ou non de consulter un professionnel de la santé et la définition précise des cas où le patient pouvait se traiter seul sans risques. Cette proposition a finalement été rejetée. <br />Les sondages montrent qu'en France dans la fin des années 80, ce sont davantage les femmes qui pratiquent l'auto-médication car ce sont elles qui achetaient les médicaments sans ordonnance pour toute la famille. Le premier enfant est souvent moins l’objet de l'automédication par rapport aux frères et sœurs qui suivent car la mère acquiert plus d'expérience. Ces sondages sont alors assez représentatifs de ce que l'on peut voir à travers les témoignages de cette émission.<br />Enfin, il est important de noter que la consommation de médicaments sans ordonnance est plus basse en France que dans la plupart des autres pays développés, contrairement à ce qu'on pourrait penser. | ||
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|Direction regard spectateur={{HTDirige | |Direction regard spectateur={{HTDirige | ||
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|Texte=L'émission a pour but d'alerter les | |Texte=L'émission a pour but d'alerter les Français sur les pratiques de l'auto-médication. Dès le titre, on utilise l'expression « jouer au docteur », montrant le non-sérieux d'une pratique telle que l'auto-médication. On veut montrer que les médicaments ont des effets sur la santé, qui ne sont pas uniquement que bénéfiques. Si l'on prend un mauvais médicament ou un médicament inutile, cela peut aussi avoir l'effet inverse de l'effet recherché, c'est à dire un effet négatif. Il est donc important de comprendre ce que cela produit sur notre corps. Pour aider à la compréhension, en supplément de cette émission, les téléspectateurs sont largement invités à communiquer davantage avec les spécialistes de la santé comme les médecins ou les pharmaciens. Toutes les invitées sur le plateau réalisent une auto-médication très réduite et s'informent énormément dans les livres et auprès des spécialistes. C'est cette attitude que l'émission encourage. | ||
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|Présentation médecine={{HTPrés | |Présentation médecine={{HTPrés | ||
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Mulot, Marie-Antoinette. ''Les secrets d'une herboriste, 250 plantes médicinales'', Editions du Dauphin, 1984. | Mulot, Marie-Antoinette. ''Les secrets d'une herboriste, 250 plantes médicinales'', Editions du Dauphin, 1984. | ||
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Version du 23 mars 2023 à 09:46
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Titre :
Peut-on jouer au docteur
Série :
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Durée :
60 minutes
Format :
Parlant - Couleur - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Archives détentrices :
Générique principal
Contenus
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Non.
- Images en plateau : Oui.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Oui.
- Cartons : Non.
- Animateur : Oui.
- Voix off : Non.
- Interview : Oui.
- Musique et bruitages : Non.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Marie Janot

