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« The British way of health » : différence entre les versions
De MedFilm PPRD
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|Texte=Le film s'ouvre sur une séquence qui lie les deux extrémités de la vie : scène d'accouchement et scène de vieille femme avançant avec un déambulateur. Elle rappelle que pour beaucoup d'entre nous, on naît comme on meurt à l'hôpital. Générique. | |Texte=Le film s'ouvre sur une séquence qui lie les deux extrémités de la vie : scène d'accouchement et scène de vieille femme avançant avec un déambulateur. Elle rappelle que pour beaucoup d'entre nous, on naît comme on meurt à l'hôpital. Générique. | ||
Gros plan sur le visage d'un homme que ses propos désigneront comme un médecin. Pour lui, le système de santé permet cette "merveilleuse" liberté de soigner un patient sans se préoccuper de savoir si celui-ci peut se le permettre économiquement. Deux autres médecins, interrogés à leur tour, appuient son propos. L'un d'entre eux est un chirurgien esthétique qui cite un cas particulièrement poignant : celui d'une fillette gravement brûlée qui a dû subir plusieurs opérations et qui en subira encore un certain nombre dans les années à venir mais qui n'aurait pas pu bénéficier de ces traitements si sa famille avait dû les payer, en raison de leur pauvreté. Ce montage d'entretiens permet de faire l'économie d'un commentaire expliquant la valeur de solidarité qui fonde ce système public spécifique. Un homme blessé à la tête au bord de la route, visiblement victime d'un accident. Un autre homme panse son crâne ouvert. Un plan au cadre plus large montre qu'un véhicule de police et une ambulance sont stationnés auprès du site de l'accident. Le commentaire explique que c'est un exemple d'interventions d'urgences qui peut s'enclencher sans vérifier si le blessé peut payer le secours qui lui est offert. Travelling embarqué dans l'ambulance, le conducteur en bord cadre gauche, à travers la ville, au son de la sirène. "En Grande-Bretagne, les ambulances, les médecins, les infirmières, tout est gratuit". Pendant que le blessé est emmené en brancard dans un couloir d'hôpital, le commentaire explique que ce sont les impôts qui permettent cette économie. | Gros plan sur le visage d'un homme que ses propos désigneront comme un médecin. Pour lui, le système de santé permet cette "merveilleuse" liberté de soigner un patient sans se préoccuper de savoir si celui-ci peut se le permettre économiquement. Deux autres médecins, interrogés à leur tour, appuient son propos. L'un d'entre eux est un chirurgien esthétique qui cite un cas particulièrement poignant : celui d'une fillette gravement brûlée qui a dû subir plusieurs opérations et qui en subira encore un certain nombre dans les années à venir mais qui n'aurait pas pu bénéficier de ces traitements si sa famille avait dû les payer, en raison de leur pauvreté. Ce montage d'entretiens permet de faire l'économie d'un commentaire expliquant la valeur de solidarité qui fonde ce système public spécifique. Un homme blessé à la tête au bord de la route, visiblement victime d'un accident. Un autre homme panse son crâne ouvert. Un plan au cadre plus large montre qu'un véhicule de police et une ambulance sont stationnés auprès du site de l'accident. Le commentaire explique que c'est un exemple d'interventions d'urgences qui peut s'enclencher sans vérifier si le blessé peut payer le secours qui lui est offert. Travelling embarqué dans l'ambulance, le conducteur en bord cadre gauche, à travers la ville, au son de la sirène. "En Grande-Bretagne, les ambulances, les soins hospitaliers, les médecins, les infirmières, les spécialistes, tout est gratuit". Pendant que le blessé est emmené en brancard dans un couloir d'hôpital, le commentaire explique que ce sont les impôts qui permettent cette économie. | ||
'''Le médecin généraliste, 'the family doctor'''' | '''Le médecin généraliste, ''the family doctor''''' | ||
Un homme quadragénaire, d'allure énergique, habillé strictement et sans ostentation, avance à grands pas dans une rue (un panneau indique "St Stephen's gardens"), un cartable à la main. C'est le médecin généraliste, "the family doctor", "le pilier du système", explique le commentaire. Le commentaire précise qu'il est rémunéré selon le nombre de patients dont il a la charge. Un travelling insiste sur les façades géorgiennes d'aspect défraîchi que le médecin longe. "il n'était pas obligé de travailler dans ce quartier, il l'a choisi par vocation." Pour gagner le dernier étage de l'immeuble où il a pénétré, le médecin monte un escalier étroit aux couleurs criardes. Il entre dans un logis tout aussi étroit, dont les meubles sont près de se toucher. Il examine un bébé métis, s'adresse à ses jeunes parents, un homme noir et une femme blanche. Tout le long du film, les séquences mettent en jeu la diversité, y compris ethnique, de la population anglaise. Le médecin s'entretient avec le jeune couple de leurs conditions de vie et leur propose de démarcher en leur nom pour un appartement plus grand. Le commentaire couvre sa voix pour rappeler que le médecin généraliste joue un rôle très important dans le système de sécurité sociale. Dans un entretien, le médecin explique qu'il est très fier d'accomplir sa tâche, et heureux d'être rémunéré à ce titre. Après les visites, les consultations. Le même médecin que dans la séquence précédente traverse la salle d'attente de son cabinet. Au téléphone, il commande l'envoi d'une ambulance pour un de ses patients. Il explique qu'il peut demander à des aides-soignantes de faire des visites à domicile. Plans de coupe dans la salle d'attente : une jeune femme lit dans un canapé ; un vieil homme est assis à ses côtés, gros plan sur ses mains aux doigts blêmes et raides. Toujours le souci de montrer la diversité de la patientèle que le médecin rencontre au quotidien. Il joue avec un enfant de bas âge de couleur comme dans la séquence précédente. (06:20) | Un homme quadragénaire, d'allure énergique, habillé strictement et sans ostentation, avance à grands pas dans une rue (un panneau indique "St Stephen's gardens"), un cartable à la main. C'est le médecin généraliste, "the family doctor", "le pilier du système", explique le commentaire. Le commentaire précise qu'il est rémunéré selon le nombre de patients dont il a la charge. Un travelling insiste sur les façades géorgiennes d'aspect défraîchi que le médecin longe. "il n'était pas obligé de travailler dans ce quartier, il l'a choisi par vocation." Pour gagner le dernier étage de l'immeuble où il a pénétré, le médecin monte un escalier étroit aux couleurs criardes. Il entre dans un logis tout aussi étroit, dont les meubles sont près de se toucher. Il examine un bébé métis, s'adresse à ses jeunes parents, un homme noir et une femme blanche. Tout le long du film, les séquences mettent en jeu la diversité, y compris ethnique, de la population anglaise. Le médecin s'entretient avec le jeune couple de leurs conditions de vie et leur propose de démarcher en leur nom pour un appartement plus grand. Le commentaire couvre sa voix pour rappeler que le médecin généraliste joue un rôle très important dans le système de sécurité sociale. Dans un entretien, le médecin explique qu'il est très fier d'accomplir sa tâche, et heureux d'être rémunéré à ce titre. Après les visites, les consultations. Le même médecin que dans la séquence précédente traverse la salle d'attente de son cabinet. Au téléphone, il commande l'envoi d'une ambulance pour un de ses patients. Il explique qu'il peut demander à des aides-soignantes de faire des visites à domicile. Plans de coupe dans la salle d'attente : une jeune femme lit dans un canapé ; un vieil homme est assis à ses côtés, gros plan sur ses mains aux doigts blêmes et raides. Toujours le souci de montrer la diversité de la patientèle que le médecin rencontre au quotidien. Il joue avec un enfant de bas âge de couleur comme dans la séquence précédente. (06:20) | ||
Version du 13 mai 2024 à 10:46
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Titre :
The British way of health
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Durée :
38 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Commanditaires :
Archives détentrices :
Générique principal
Contenus
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Non.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Joël Danet
- Sous-titres Français : Wendy Ploix

