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Une "convention de production" tripartite lie le laboratoire Delagrange, l'Institut Mérieux et Les films Art et Science pour encadrer la production du film. nous remarquons cependant que les génériques de début et de fin du film mentionnent uniquement l'Institut Mérieux. A partir de sa signature, un délai de 3 mois est donné à la société de production pour le réaliser sur support 16 mm couleur. Sa durée prévue est d'"environ 20 mns". Son scénario est basé sur les documents fournis à la société par les Pr. Anselme (sic) et le Dr. Glodewski ; il emploie "les éléments rassemblés pour l'Exposition 'Claude Bernard et son temps' et 'des Entretiens de Bichat' donnés en 1957 (Les Entretiens de Bichat sont un événement annuel qui réunit les plus spécialistes de la science médicale autour de sujets d'actualité, avec conférences et projections) ; le film met aussi à profit la maison de Claude Bernard de St-Julien comme cadre de tournage (point 1). L'apport financier de l'Institut Mérieux et des Laboratoires Delagrange est de 600 000 francs chacun (point 2). Il est convenu que le générique mentionne ainsi la coproduction : "une coproduction Laboratoires Delagrange - Institut Mérieux - Films Art et Science" : il s'agit d'afficher une même implication de la firme, de l'Institut et de la société de production pour ce projet de film ; c'est aussi un témoignage sur l'enjeu publicitaire que celui-ci constitue aux yeux des responsables de la coproduction (point 4). L'Institut et le Laboratoire expriment, par les termes de la convention, un désir de contrôle sur le plan éditorial et celui de la diffusion. La rédaction du commentaire doit se faire sous le contrôle des Pr. Anselme (sic) et Dr. Glodewski (point 5). La diffusion est destinée au "Corps médical" et elle sera "assurée" par le Laboratoire et de l'Institut. Les diffusions souhaitées par Art et Science ou le Centre International du Film médical seront mises en oeuvre sous le contrôle du Laboratoire et de l'Institut (point 6). (Fonds Duvivier, Archives DHVS - Faculté de médecine de l'Université de Strasbourg).
Une "convention de production" tripartite lie le laboratoire Delagrange, l'Institut Mérieux et Les films Art et Science pour encadrer la production du film. nous remarquons cependant que les génériques de début et de fin du film mentionnent uniquement l'Institut Mérieux. A partir de sa signature, un délai de 3 mois est donné à la société de production pour le réaliser sur support 16 mm couleur. Sa durée prévue est d'"environ 20 mns". Son scénario est basé sur les documents fournis à la société par les Pr. Anselme (sic) et le Dr. Glodewski ; il emploie "les éléments rassemblés pour l'Exposition 'Claude Bernard et son temps' et 'des Entretiens de Bichat' donnés en 1957 (Les Entretiens de Bichat sont un événement annuel qui réunit les plus spécialistes de la science médicale autour de sujets d'actualité, avec conférences et projections) ; le film met aussi à profit la maison de Claude Bernard de St-Julien comme cadre de tournage (point 1). L'apport financier de l'Institut Mérieux et des Laboratoires Delagrange est de 600 000 francs chacun (point 2). Il est convenu que le générique mentionne ainsi la coproduction : "une coproduction Laboratoires Delagrange - Institut Mérieux - Films Art et Science" : il s'agit d'afficher une même implication de la firme, de l'Institut et de la société de production pour ce projet de film ; c'est aussi un témoignage sur l'enjeu publicitaire que celui-ci constitue aux yeux des responsables de la coproduction (point 4). L'Institut et le Laboratoire expriment, par les termes de la convention, un désir de contrôle sur le plan éditorial et celui de la diffusion. La rédaction du commentaire doit se faire sous le contrôle des Pr. Anselme (sic) et Dr. Glodewski (point 5). La diffusion est destinée au "Corps médical" et elle sera "assurée" par le Laboratoire et de l'Institut. Les diffusions souhaitées par Art et Science ou le Centre International du Film médical seront mises en oeuvre sous le contrôle du Laboratoire et de l'Institut (point 6). (Fonds Duvivier, Archives DHVS - Faculté de médecine de l'Université de Strasbourg).
Georges Theurier, opérateur sur le film, a collaboré en 1957 avec Jean Brérault, pionnier du film pédagogique à l'usage des écoles, sur les films ''Le charbon de bois'' et ''Distillation industrielle du bois.''
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Version du 17 février 2025 à 16:27



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Titre :
Claude Bernard
Année de production :
Réalisation :
Conseil scientifique :
Format :
Parlant - Noir et blanc - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :

Générique principal

Gén. Début : "A l'occasion du centenaire de la mort de Claude Bernard la Fondation Mérieux présente... / 'J'habite sur les coteaux du Beaujolais' (Claude Bernard) / Direction scientifique - Professeur Julien Besançon, Paris - Jean Enselme, Lyon / avec la collaboration des - Professeur ag Pierre Barbier, Paris - Professeur ag. Jean-François Cier, Lyon / et les documents réunis par le Dr. Guy Godlewski et Jacqueline Sonolet / Commentaire dit par Guy Jacquet et Stéphane Audel / Images - Georges Theurier / Musique de Jean Wiener / réalisation - Eric Duvivier."

Gén. fin : "Fondation Mérieux"

Contenus

Sujet

La vie et l'oeuvre de Claude Bernard.

Genre dominant

Résumé

Contexte

La production du film

Une "convention de production" tripartite lie le laboratoire Delagrange, l'Institut Mérieux et Les films Art et Science pour encadrer la production du film. nous remarquons cependant que les génériques de début et de fin du film mentionnent uniquement l'Institut Mérieux. A partir de sa signature, un délai de 3 mois est donné à la société de production pour le réaliser sur support 16 mm couleur. Sa durée prévue est d'"environ 20 mns". Son scénario est basé sur les documents fournis à la société par les Pr. Anselme (sic) et le Dr. Glodewski ; il emploie "les éléments rassemblés pour l'Exposition 'Claude Bernard et son temps' et 'des Entretiens de Bichat' donnés en 1957 (Les Entretiens de Bichat sont un événement annuel qui réunit les plus spécialistes de la science médicale autour de sujets d'actualité, avec conférences et projections) ; le film met aussi à profit la maison de Claude Bernard de St-Julien comme cadre de tournage (point 1). L'apport financier de l'Institut Mérieux et des Laboratoires Delagrange est de 600 000 francs chacun (point 2). Il est convenu que le générique mentionne ainsi la coproduction : "une coproduction Laboratoires Delagrange - Institut Mérieux - Films Art et Science" : il s'agit d'afficher une même implication de la firme, de l'Institut et de la société de production pour ce projet de film ; c'est aussi un témoignage sur l'enjeu publicitaire que celui-ci constitue aux yeux des responsables de la coproduction (point 4). L'Institut et le Laboratoire expriment, par les termes de la convention, un désir de contrôle sur le plan éditorial et celui de la diffusion. La rédaction du commentaire doit se faire sous le contrôle des Pr. Anselme (sic) et Dr. Glodewski (point 5). La diffusion est destinée au "Corps médical" et elle sera "assurée" par le Laboratoire et de l'Institut. Les diffusions souhaitées par Art et Science ou le Centre International du Film médical seront mises en oeuvre sous le contrôle du Laboratoire et de l'Institut (point 6). (Fonds Duvivier, Archives DHVS - Faculté de médecine de l'Université de Strasbourg).

Georges Theurier, opérateur sur le film, a collaboré en 1957 avec Jean Brérault, pionnier du film pédagogique à l'usage des écoles, sur les films Le charbon de bois et Distillation industrielle du bois.

Éléments structurants du film

  • Images de reportage : Non.
  • Images en plateau : Non.
  • Images d'archives : Oui.
  • Séquences d'animation : Non.
  • Cartons : Oui.
  • Animateur : Non.
  • Voix off : Oui.
  • Interview : Non.
  • Musique et bruitages : Oui.
  • Images communes avec d'autres films : Non.

Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?

Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?

Diffusion et réception

Où le film est-il projeté ?

Circuit des rencontres de professionnels de la médecine

Communications et événements associés au film

Public

Professionnels de santé

Audience

Descriptif libre

Sur les premiers cartons du générique, les mentions infographiées se détachent sur des vues de jardin botanique, de bâtiment massif ceint d'un parc, et d'intérieurs de laboratoires. Les cartons suivants consistent en un lettrage 'à l'ancienne' avec pleins et déliés, imitant le manuscrit de parchemin, avec des ornements autour du texte. Musique au piano, mélodie solennelle aux accords appuyés.



Fonds Duvivier code 199

Notes complémentaires

Références et documents externes

Contributeurs