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« L'histoire de Marius : un enfant différent » : différence entre les versions
De MedFilm PPRD
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|Texte=En 2003, la rééducation orthophonique en France connaissait un tournant important, à la croisée d’avancées scientifiques et de réalités de terrain encore très contrastées. Le reportage L’histoire de Marius : un enfant différent, diffusé cette même année, en a été un témoignage marquant. Il mettait en lumière avec sensibilité le parcours d’un enfant atteint de dysphasie, trouble spécifique et durable du développement du langage oral, encore largement méconnu à l’époque. À travers le quotidien de Marius et de sa famille, ce film a révélé les nombreuses difficultés rencontrées : errance diagnostique, incompréhensions de l’entourage scolaire et médical, isolement parental, et surtout, un accès inégal à la rééducation orthophonique. | |Texte=En 2003, la rééducation orthophonique en France connaissait un tournant important, à la croisée d’avancées scientifiques et de réalités de terrain encore très contrastées. Le reportage "L’histoire de Marius : un enfant différent", diffusé cette même année, en a été un témoignage marquant. Il mettait en lumière avec sensibilité le parcours d’un enfant atteint de dysphasie, trouble spécifique et durable du développement du langage oral, encore largement méconnu à l’époque. À travers le quotidien de Marius et de sa famille, ce film a révélé les nombreuses difficultés rencontrées : errance diagnostique, incompréhensions de l’entourage scolaire et médical, isolement parental, et surtout, un accès inégal à la rééducation orthophonique. | ||
Sur le plan professionnel, la réforme de 2002 avait renforcé la formation des orthophonistes, étendue à cinq années, intégrant davantage de stages cliniques et de connaissances en neurosciences et en linguistique. Pourtant, malgré ces avancées, le terrain restait profondément marqué par le manque de spécialistes et les disparités régionales. Le reportage illustre crûment ce que l’on appelle aujourd’hui les déserts médicaux : de vastes territoires où l’accès à un orthophoniste était (et reste parfois encore) extrêmement limité, prolongeant les délais de prise en charge et aggravant les inégalités sociales et territoriales. | Sur le plan professionnel, la réforme de 2002 avait renforcé la formation des orthophonistes, étendue à cinq années, intégrant davantage de stages cliniques et de connaissances en neurosciences et en linguistique. Pourtant, malgré ces avancées, le terrain restait profondément marqué par le manque de spécialistes et les disparités régionales. Le reportage illustre crûment ce que l’on appelle aujourd’hui les déserts médicaux : de vastes territoires où l’accès à un orthophoniste était (et reste parfois encore) extrêmement limité, prolongeant les délais de prise en charge et aggravant les inégalités sociales et territoriales. | ||
La dysphasie, bien que reconnue comme un trouble spécifique, peinait encore à s’imposer dans les représentations collectives. Nombre d’enfants comme Marius étaient mal compris, parfois assimilés à tort à des élèves peu motivés ou présentant un retard global. Cette méconnaissance, y compris parmi certains professionnels, retardait l’identification du trouble et la mise en œuvre de solutions adaptées. Sur le plan médical, des figures comme le Pr Michel Habib, neurologue, jouaient un rôle majeur en démontrant l’origine neurodéveloppementale de la dysphasie, tandis que la neuropsychologue Monique Plaza approfondissait la compréhension des profils cognitifs des enfants concernés. Leurs travaux contribuaient à mieux cerner ces troubles, mais leur diffusion vers le grand public et le milieu scolaire restait encore partielle. | La dysphasie, bien que reconnue comme un trouble spécifique, peinait encore à s’imposer dans les représentations collectives. Nombre d’enfants comme Marius étaient mal compris, parfois assimilés à tort à des élèves peu motivés ou présentant un retard global. Cette méconnaissance, y compris parmi certains professionnels, retardait l’identification du trouble et la mise en œuvre de solutions adaptées. Sur le plan médical, des figures comme le Pr Michel Habib, neurologue, jouaient un rôle majeur en démontrant l’origine neurodéveloppementale de la dysphasie, tandis que la neuropsychologue Monique Plaza approfondissait la compréhension des profils cognitifs des enfants concernés. Leurs travaux contribuaient à mieux cerner ces troubles, mais leur diffusion vers le grand public et le milieu scolaire restait encore partielle. | ||
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La maîtresse demande à une élève si elle veut bien laisser sa place à Marius, “juste pour aujourd'hui”, pour qu’il soit à côté de son frère car il ne connait personne, elle rassure les élèves en disant que les places vont changer. (25:37) | La maîtresse demande à une élève si elle veut bien laisser sa place à Marius, “juste pour aujourd'hui”, pour qu’il soit à côté de son frère car il ne connait personne, elle rassure les élèves en disant que les places vont changer. (25:37) | ||
Marius refuse, il dit “non”, et quand la maîtresse lui demande où il veut s'asseoir, il répond “rien”. La maîtresse à l’air démunie, les élèves ont l’air perplexe. Ici encore, les visages sont filmés en plan rapproché pour une meilleure visualisation de leurs réactions. (25:49) | Marius refuse, il dit “non”, et quand la maîtresse lui demande où il veut s'asseoir, il répond “rien”. La maîtresse à l’air démunie, les élèves ont l’air perplexe. Ici encore, les visages sont filmés en plan rapproché pour une meilleure visualisation de leurs réactions. (25:49) | ||
'''Persévérance de la maman face à la difficulté de prise en soin de Marius (25:53)''' | '''Persévérance de la maman face à la difficulté de prise en soin de Marius (25:53)''' | ||
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Puis, assise sur une chaise à l’extérieur , sur la terrasse ou dans le jardin semble t-il, elle est au téléphone. On entend une voix de femme au bout du fil et devinons donc qu’elle converse avec une orthophoniste. La maman lui dit l'âge de Marius et semble lui demander si elle a un autre patient du même âge que Marius, peut-être dans le but de se rassurer. Ici, la scène est filmée en gros plan pour davantage de compréhension de l’échange. (26:23) | Puis, assise sur une chaise à l’extérieur , sur la terrasse ou dans le jardin semble t-il, elle est au téléphone. On entend une voix de femme au bout du fil et devinons donc qu’elle converse avec une orthophoniste. La maman lui dit l'âge de Marius et semble lui demander si elle a un autre patient du même âge que Marius, peut-être dans le but de se rassurer. Ici, la scène est filmée en gros plan pour davantage de compréhension de l’échange. (26:23) | ||
Ici, la lumière du jour à l’air d’illustrer un espoir naissant, à l’inverse de la scène dans la cuisine. | Ici, la lumière du jour à l’air d’illustrer un espoir naissant, à l’inverse de la scène dans la cuisine. | ||
'''Immersion dans la classe de Marius (26:24)''' | '''Immersion dans la classe de Marius (26:24)''' | ||
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Sur une musique d’intrigue, nous regardons ensuite les élèves travailler et remarquons un Marius curieux, qui à l’air de s’intéresser au travail des autres, puis les élèves sortent en récréation mais Marius lui, reste dans la classe. Son visage est filmé en gros plan alors qu’il est assis à sa place, seul, et nous pouvons apercevoir une certaine incompréhension, voire même une certaine tristesse. Il à l’air de s’auto-isoler des autres. (27:53) | Sur une musique d’intrigue, nous regardons ensuite les élèves travailler et remarquons un Marius curieux, qui à l’air de s’intéresser au travail des autres, puis les élèves sortent en récréation mais Marius lui, reste dans la classe. Son visage est filmé en gros plan alors qu’il est assis à sa place, seul, et nous pouvons apercevoir une certaine incompréhension, voire même une certaine tristesse. Il à l’air de s’auto-isoler des autres. (27:53) | ||
Nous voyons ensuite les enfants jouer dans la cour, dans la joie et les rires, puis un plan lointain de la maîtresse s’agenouiller devant Marius, debout devant la porte de la classe. Elle lui prend les épaules et semble lui dire des paroles réconfortantes et rassurantes. (28:03) | Nous voyons ensuite les enfants jouer dans la cour, dans la joie et les rires, puis un plan lointain de la maîtresse s’agenouiller devant Marius, debout devant la porte de la classe. Elle lui prend les épaules et semble lui dire des paroles réconfortantes et rassurantes. (28:03) | ||
'''Rendez-vous à l’inspection académique (28:04)''' | '''Rendez-vous à l’inspection académique (28:04)''' | ||
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Avec un regard déterminé, elle conclut en disant qu’elle se battra pour que ça se fasse et dans de bonnes conditions. | Avec un regard déterminé, elle conclut en disant qu’elle se battra pour que ça se fasse et dans de bonnes conditions. | ||
Son interlocutrice, compréhensive, répond alors “j’espère que vous n’aurez pas trop à vous battre”. (29:58) | Son interlocutrice, compréhensive, répond alors “j’espère que vous n’aurez pas trop à vous battre”. (29:58) | ||
'''Retrouvailles avec maman après la première journée d’école (29:57)''' | '''Retrouvailles avec maman après la première journée d’école (29:57)''' | ||
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Elle prend longuement Marius dans ses bras et semble lui dire : “Ça y est”, semblant signifier qu’un nouveau cap a été franchi et lui chuchote des paroles à l’oreille. (30:18) | Elle prend longuement Marius dans ses bras et semble lui dire : “Ça y est”, semblant signifier qu’un nouveau cap a été franchi et lui chuchote des paroles à l’oreille. (30:18) | ||
Puis, pour clore la scène : plan d’ensemble d’enfants marchant sur le trottoir avec leurs parents pour rentrer chez eux. (30:21) | Puis, pour clore la scène : plan d’ensemble d’enfants marchant sur le trottoir avec leurs parents pour rentrer chez eux. (30:21) | ||
'''En voiture ! Direction chez l’orthophoniste (30:23)''' | '''En voiture ! Direction chez l’orthophoniste (30:23)''' | ||
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Elle ajoute ensuite qu'à cause de la distance ce n’est pas possible : “ça aurait été quelqu'un à trois kilomètres, ça aurait pu se négocier, je pense.” (30:51) | Elle ajoute ensuite qu'à cause de la distance ce n’est pas possible : “ça aurait été quelqu'un à trois kilomètres, ça aurait pu se négocier, je pense.” (30:51) | ||
Le caméraman lui répond, toujours derrière la caméra, en lui demandant si ce n'était pas possible de trouver quelqu'un à trois kilomètres, ce à quoi elle lui répond que ça dépend :”trouver une orthophoniste, oui. Maintenant trouver une orthophonie qui sache ce qu’est la dysphasie, le trouble du langage et que surtout c’est notre seul moyen de rééducation pour l’avenir, non c’est pas facile non.” (30:15) | Le caméraman lui répond, toujours derrière la caméra, en lui demandant si ce n'était pas possible de trouver quelqu'un à trois kilomètres, ce à quoi elle lui répond que ça dépend :”trouver une orthophoniste, oui. Maintenant trouver une orthophonie qui sache ce qu’est la dysphasie, le trouble du langage et que surtout c’est notre seul moyen de rééducation pour l’avenir, non c’est pas facile non.” (30:15) | ||
'''Séance chez l’orthophoniste (31:21)''' | '''Séance chez l’orthophoniste (31:21)''' | ||
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Puis plan rapproché de l’orthophoniste qui s'assoit à son bureau. Elle s’adresse à la maman de Marius et lui dit que dès qu’on parle d’évaluation et qu’elle sort des tests, Marius se crispe. Elle procède donc pour l’instant autrement et l’observe. Elle avoue placer de temps en temps un test mine de rien. La maman est d’accord avec cette façon de faire : “oui je pense qu’il vaut mieux du spontané”, confie t-elle. (32:22) | Puis plan rapproché de l’orthophoniste qui s'assoit à son bureau. Elle s’adresse à la maman de Marius et lui dit que dès qu’on parle d’évaluation et qu’elle sort des tests, Marius se crispe. Elle procède donc pour l’instant autrement et l’observe. Elle avoue placer de temps en temps un test mine de rien. La maman est d’accord avec cette façon de faire : “oui je pense qu’il vaut mieux du spontané”, confie t-elle. (32:22) | ||
Plan global de l’orthophoniste, de Marius en train de jouer à emboîter des objets et de sa maman. L’orthophoniste rappelle qu’elle a pris Marius d’urgence et qu’ils ont des attentes de six mois, ce dont la maman, l’air dépité, a conscience. Mais l’orthophoniste ajoute qu’elle aura des disponibilités pour les vacances de Toussaint. (32:37) | Plan global de l’orthophoniste, de Marius en train de jouer à emboîter des objets et de sa maman. L’orthophoniste rappelle qu’elle a pris Marius d’urgence et qu’ils ont des attentes de six mois, ce dont la maman, l’air dépité, a conscience. Mais l’orthophoniste ajoute qu’elle aura des disponibilités pour les vacances de Toussaint. (32:37) | ||
'''Confidences du caméraman (32:38)''' | '''Confidences du caméraman (32:38)''' | ||
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Il dit que depuis sa rencontre avec Marius, il filmait un petit garçon qui dévorait la vie. “Encore une image positive qui faisait de lui un enfant presque comme les autres” affirme t’il. | Il dit que depuis sa rencontre avec Marius, il filmait un petit garçon qui dévorait la vie. “Encore une image positive qui faisait de lui un enfant presque comme les autres” affirme t’il. | ||
Il avoue que ce jour-là, pour la première fois, Marius lui a parlé de la dysphasie, avec ses mots et ses images à lui. | Il avoue que ce jour-là, pour la première fois, Marius lui a parlé de la dysphasie, avec ses mots et ses images à lui. | ||
'''Échange entre Marius et le caméraman (32:58)''' | '''Échange entre Marius et le caméraman (32:58)''' | ||
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“Pour toujours ?” relance le caméraman. Marius met quelques secondes avant de répondre : “Toujours toujours !” L’air enjoué. Le caméraman lui demande s' il la met souvent au placard. Marius répond par l’affirmative et ajoute “et fermé à clé”. (34:06) | “Pour toujours ?” relance le caméraman. Marius met quelques secondes avant de répondre : “Toujours toujours !” L’air enjoué. Le caméraman lui demande s' il la met souvent au placard. Marius répond par l’affirmative et ajoute “et fermé à clé”. (34:06) | ||
Dans cette séquence, on ne comprend pas exactement de quoi ils parlent. L’attention de la caméra était tournée vers le visage concentré de Marius, qui dénote un moment important de confessions. | Dans cette séquence, on ne comprend pas exactement de quoi ils parlent. L’attention de la caméra était tournée vers le visage concentré de Marius, qui dénote un moment important de confessions. | ||
'''La réunion pédagogique''' | '''La réunion pédagogique''' | ||
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Puis la caméra filme une autre femme qui prend la parole, toujours en plan rapproché pour donner de l’importance aux paroles prononcées de chaque personne présente. Elle affirme être d'accord avec ce qui est dit, néanmoins souligne une impossibilité de répondre à cette offre. (35:04) | Puis la caméra filme une autre femme qui prend la parole, toujours en plan rapproché pour donner de l’importance aux paroles prononcées de chaque personne présente. Elle affirme être d'accord avec ce qui est dit, néanmoins souligne une impossibilité de répondre à cette offre. (35:04) | ||
La dernière scène de cette séquence filme la maman de Marius, l’air décomposé. | La dernière scène de cette séquence filme la maman de Marius, l’air décomposé. | ||
'''Échange entre la maman de Marius et la maitresse (35:07)''' | '''Échange entre la maman de Marius et la maitresse (35:07)''' | ||
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Elle finit son discours en disant qu’ils ont accepté un enfant avec un handicap et qu’ils vont aller jusqu'au bout. Et surtout elle conclut : “pour l’instant je le vois heureux et c’est déjà pas mal”. | Elle finit son discours en disant qu’ils ont accepté un enfant avec un handicap et qu’ils vont aller jusqu'au bout. Et surtout elle conclut : “pour l’instant je le vois heureux et c’est déjà pas mal”. | ||
Cette bienveillance fait sens, la maman de Marius, qu’on voit maintenant en gros plan, à l’air légèrement rassurée, bien que relativement sceptique malgré tout. (36:03) | Cette bienveillance fait sens, la maman de Marius, qu’on voit maintenant en gros plan, à l’air légèrement rassurée, bien que relativement sceptique malgré tout. (36:03) | ||
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Puis plan éloigné de Marius marchant sur un chemin, sûrement en direction de la maison, suivi par un chien. Cette scène semble marquer la fin d’un chapitre. (36:37) | Puis plan éloigné de Marius marchant sur un chemin, sûrement en direction de la maison, suivi par un chien. Cette scène semble marquer la fin d’un chapitre. (36:37) | ||
'''Cours de piano (36:39)''' | |||
Au premier plan figure Marius à côté d’un professeur de piano semble t’il. Ils jouent une mélodie ensemble. | Au premier plan figure Marius à côté d’un professeur de piano semble t’il. Ils jouent une mélodie ensemble. | ||
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La dernière scène se déroule alors que le professeur dit “Et là tous les deux ensemble, on termine” puis la dernière note est jouée par un Marius tout sourire qui en demande encore. (37:15) | La dernière scène se déroule alors que le professeur dit “Et là tous les deux ensemble, on termine” puis la dernière note est jouée par un Marius tout sourire qui en demande encore. (37:15) | ||
Générique de fin (37:16) | |||
Le générique se déroule sur un fond sonore : Marius continue à jouer sa mélodie au piano, sous les conseils avisés de son professeur. La mélodie est joyeuse, telle une histoire qui se finit bien. | Le générique se déroule sur un fond sonore : Marius continue à jouer sa mélodie au piano, sous les conseils avisés de son professeur. La mélodie est joyeuse, telle une histoire qui se finit bien. | ||
Version du 23 avril 2025 à 17:08
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Titre :
L'histoire de Marius : un enfant différent
Série :
Pays de production :
Année de diffusion :
2003
Réalisation :
Durée :
39 minutes
Format :
Parlant - Couleur -
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Archives détentrices :
Corpus :
Générique principal
Contenus
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Non.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Non.
- Animateur : Non.
- Voix off : Non.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Non.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Elena Dreyer, Charlotte Gauran, Emma Palanque

