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« Eyes that hear » : différence entre les versions
De MedFilm PPRD
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|Texte=Le film se termine sur ''My Country Tis of Thee'', l'ancien hymne américain (dont la mélodie est celle de ''God Save the Queen/King'', l'hymne britannique). ''The Star-Spangled Banner'' ayant été adopté comme hymne national en 1931, on est un peu étonné de trouver l'hymne précédent dans une production de 1946. | |Texte=Le film se termine sur ''My Country Tis of Thee'', l'ancien hymne américain (dont la mélodie est celle de ''God Save the Queen/King'', l'hymne britannique). ''The Star-Spangled Banner'' ayant été adopté comme hymne national en 1931, on est un peu étonné de trouver l'hymne précédent dans une production de 1946. | ||
'''1 - Une Entrée dans un Monde de Silence Vivant''' | '''1 - Une Entrée dans un Monde de Silence Vivant''' : | ||
Le court-métrage Eyes That Hear débute en nous immergeant dans l’univers quotidien des enfants sourds. Dans la cour de récréation de l’école Lexington, des enfants interagissent joyeusement avec leurs camarades, dans un silence perceptible mais non pesant. La bande sonore douce et le commentaire bienveillant du narrateur créent une ambiance chaleureuse. Les visages souriants des enfants (expressions et émotions) capturés en gros plan montrent qu’au-delà de leur surdité, ils vivent pleinement leur enfance. | Le court-métrage Eyes That Hear débute en nous immergeant dans l’univers quotidien des enfants sourds. Dans la cour de récréation de l’école Lexington, des enfants interagissent joyeusement avec leurs camarades, dans un silence perceptible mais non pesant. La bande sonore douce et le commentaire bienveillant du narrateur créent une ambiance chaleureuse. Les visages souriants des enfants (expressions et émotions) capturés en gros plan montrent qu’au-delà de leur surdité, ils vivent pleinement leur enfance. | ||
Cette introduction pose les bases du regard que le film souhaite porter : celui d’une normalité différente, où le handicap n’empêche ni la joie ni la communication. | Cette introduction pose les bases du regard que le film souhaite porter : celui d’une normalité différente, où le handicap n’empêche ni la joie ni la communication. | ||
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Le film développe ensuite une présentation approfondie de l’école Lexington, un établissement spécialisé où les enfants sourds grandissent dans un environnement adapté à leurs besoins. | Le film développe ensuite une présentation approfondie de l’école Lexington, un établissement spécialisé où les enfants sourds grandissent dans un environnement adapté à leurs besoins. | ||
Le narrateur insiste : "They’re all deaf, so no one’s an outcast." Cette phrase résume l’essence de l’établissement : ici, l’égalité règne car chacun partage la même condition. | Le narrateur insiste : "They’re all deaf, so no one’s an outcast." Cette phrase résume l’essence de l’établissement : ici, l’égalité règne car chacun partage la même condition. | ||
L’école est présentée comme un modèle d’inclusion, où les enfants sont encouragés, valorisés et acceptés. L’objectif n’est pas de “gommer” leur surdité, mais de leur offrir les moyens de s’exprimer et d’apprendre comme tout autre enfant. | |||
'''3 - Apprendre à Communiquer : Lecture Labiale, Miroir et Audiomètre''' : | '''3 - Apprendre à Communiquer : Lecture Labiale, Miroir et Audiomètre''' : | ||
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L’un des moments majeurs du film est la transition vers l’éducation professionnelle. Les enfants apprennent la cuisine, la couture, la reliure, l'artisanat, ou encore la mécanique… | L’un des moments majeurs du film est la transition vers l’éducation professionnelle. Les enfants apprennent la cuisine, la couture, la reliure, l'artisanat, ou encore la mécanique… | ||
Ces apprentissages pratiques ont une double finalité : ils permettent aux enfants de se préparer à une vie active, mais aussi de trouver leur place dans la société, en devenant autonomes et capables de contribuer par leur travail. | Ces apprentissages pratiques ont une double finalité : ils permettent aux enfants de se préparer à une vie active, mais aussi de trouver leur place dans la société, en devenant autonomes et capables de contribuer par leur travail. | ||
Le film montre que l’école Lexington prépare les enfants non seulement à la vie scolaire, mais aussi à leur futur rôle dans le monde adulte et dans la participation active de la société. | |||
'''6 - Citoyenneté, Inclusion et Espoir : Une Conclusion Symbolique''' : | '''6 - Citoyenneté, Inclusion et Espoir : Une Conclusion Symbolique''' : | ||
Version du 23 avril 2025 à 18:35
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Titre :
Eyes that hear
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Durée :
15 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc -
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Archives détentrices :
Corpus :
Générique principal
Contenus
Thèmes médicaux
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Oui.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
Contributeurs
- Transcription Anglais : Loïse Poinsot
- Sous-titres Français : Loïse Poinsot

