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« Du bon équilibre des lipides dans l'alimentation » : différence entre les versions

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''La diététique dans les années 70''<br>
''La diététique dans les années 70''<br>
Après la Seconde Guerre mondiale, la population s’est mise à manger davantage. Dans les années 1970, l’alimentation devient un sujet de débat public. Grâce à une alimentation saine et à des régimes, les personnes soucieuses de leur santé veulent réduire les problèmes de poids, d’hypertension et de diabète de plus en plus fréquents.<br>
Après la Seconde Guerre mondiale, la population s’est mise à manger davantage. Dans les années 1970, l’alimentation devient un sujet de débat public. Grâce à une alimentation saine et à des régimes, les personnes soucieuses de leur santé veulent réduire les problèmes de poids, d’hypertension et de diabète de plus en plus fréquents.<br>
La deuxième moitié de la décennie voit éclore de nombreux mensuels spécialisés consacrés aux soins du corps et à la santé. Les études marketing menées pour le lancement de ces journaux montrent l’apparition du désir de s’occuper de son corps et de son bien-être (Bonvoisin, Maignien, 1986). En 1974 est lancé Maigrir-rester jeune, puis Santé Magazine en 1976. Différents titres se créent dans leur sillage, tels que Médecine Beauté et Bien-être et santé. L’argumentation est médicalisée, les conseils prennent la forme de prescriptions médicales. Santé Magazine concerne par exemple « tout le domaine de la médecine » : « Comment garder une bonne santé ? Comment la retrouver ? Comment sauver ce capital, sans quoi le bonheur est impossible ? ». Les différents articles traitent des ulcères à l’estomac, des rhumatismes, des crises de foie, des otites et rhinopharyngites, des problèmes de grossesse, etc. : par le biais des médias, des médecins énoncent le bon et le mauvais, le permis et le défendu, et cherchent à imposer le « bon » comportement. Ils tendent à ériger la préservation du capital-santé en règle de vie et deviennent « confesseur », « absoluteur » dans un contexte de « somatisation individuelle généralisée » (Baudrillard, 1970). A travers cette idéalisation de la bonne santé, de nouveaux modes de vie sont promus. Les Français sont à cette période toujours plus nombreux à écouter ces discours et à en suivre les prescriptions. (Yves Travaillot, "Les années 70, de nouvelles contraintes pour le corps" dans ''Sociologie des pratiques d'entretien du corps'', Paris, 1998, p.49).<br>
La deuxième moitié de la décennie voit éclore de nombreux mensuels spécialisés consacrés aux soins du corps et à la santé. Les études marketing menées pour le lancement de ces journaux montrent l’apparition du désir de s’occuper de son corps et de son bien-être (Bonvoisin, Maignien, 1986). En 1974 est lancé Maigrir-rester jeune, puis Santé Magazine en 1976. Différents titres se créent dans leur sillage, tels que Médecine Beauté et Bien-être et santé. L’argumentation est médicalisée, les conseils prennent la forme de prescriptions médicales. Santé Magazine concerne par exemple « tout le domaine de la médecine » : « Comment garder une bonne santé ? Comment la retrouver ? Comment sauver ce capital, sans quoi le bonheur est impossible ? ». Les différents articles traitent des ulcères à l’estomac, des rhumatismes, des crises de foie, des otites et rhinopharyngites, des problèmes de grossesse, etc. : par le biais des médias, des médecins énoncent le bon et le mauvais, le permis et le défendu, et cherchent à imposer le « bon » comportement. Ils tendent à ériger la préservation du capital-santé en règle de vie et deviennent « confesseur », « absoluteur » dans un contexte de « somatisation individuelle généralisée » (Baudrillard, 1970). A travers cette idéalisation de la bonne santé, de nouveaux modes de vie sont promus. Les Français sont à cette période toujours plus nombreux à écouter ces discours et à en suivre les prescriptions. (Yves Travaillot, "Les années 70, de nouvelles contraintes pour le corps" dans ''Sociologie des pratiques d'entretien du corps'', Paris, 1998, p.49).<br>
Les médecins et les chimistes mettent en avant le rôle de l’alimentation dans la santé, notamment avec les organiques présents dans les aliments, appelés « vitamines » en 1912. Le rôle des scientifiques devient essentiel : ils se font les conseillers pour imposer une doxa du « bien manger » relayée par les pouvoirs publics qui cherchent à faire adopter à la population des habitudes alimentaires pour assurer la santé publique. Toutefois, derrière le discours scientifique, peut se cacher un discours moraliste à portée politique et économique. Les politiques nutritionnelles prennent naissance dans des contextes économiques où une grande part de la population rencontre des problèmes pour se nourrir de façon équilibrée et peu coûteuse. Ainsi, pendant la Seconde Guerre mondiale, il a fallu recourir à des stratagèmes pour assurer un équilibre alimentaire en dépit de la pénurie de certains aliments et les rationnements (la viande est par exemple remplacée par les légumineuses). Après la guerre, avec la surabondance alimentaire et l’augmentation de la consommation en matières grasses se profilent de nouvelles menaces pour la santé publique telles que l’obésité. Les instances publiques deviennent un garde-fou face aux excès en menant des campagnes de prévention, elles se font le relais du discours médical ou bien plutôt d’un discours médical, car les précautions nutritionnelles varient selon les savoirs médicaux et en fonction de la représentation qu’une société se fait des valeurs diététiques. La viande, par exemple, a longtemps été recommandée comme un aliment bénéfique à la santé. Alors que dans les années 1950, la médecine traditionnelle continue à mettre en avant les bienfaits (force, robustesse, énergie) d’une consommation quotidienne de viande, les diététiciens alternatifs en prônent une limitation voire une abstinence. Issus le plus souvent de courants réactionnaires critiquant l’alimentation industrielle et défendant la « naturalité », ces diététiciens voient leurs recommandations gagner en légitimité lorsque le Pr Jean Trémolières, fondateur en 1964 de la première unité de recherche en nutrition de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale à l’hôpital Bichat à Paris, avertit sur les risques qu’entraîne une consommation carnée importante. Aujourd’hui, il est davantage recommandé de ne pas consommer de la viande tous les jours et de privilégier les viandes blanches réputées plus maigres, et les poissons. Réduire sa consommation de viande est non seulement présenté comme essentiel à la bonne santé, mais témoigne d’un comportement responsable face aux enjeux écologiques et éthiques qu’implique une telle consommation. L’exemple de la viande montre bien que les choix alimentaires dépendent des domaines de savoirs que les contextes économique, social et culturel modifient. Un bon produit se définit par les normativités en cours. (Alexandre Kovacs, "Au-delà de la diététique - L’alimentation-santé au prisme des enjeux historiques multiscalaires" dans ''Histoire, médecine et santé'', n°17, été 2020, p. 10.
Les médecins et les chimistes mettent en avant le rôle de l’alimentation dans la santé, notamment avec les organiques présents dans les aliments, appelés « vitamines » en 1912. Le rôle des scientifiques devient essentiel : ils se font les conseillers pour imposer une doxa du « bien manger » relayée par les pouvoirs publics qui cherchent à faire adopter à la population des habitudes alimentaires pour assurer la santé publique. Toutefois, derrière le discours scientifique, peut se cacher un discours moraliste à portée politique et économique. Les politiques nutritionnelles prennent naissance dans des contextes économiques où une grande part de la population rencontre des problèmes pour se nourrir de façon équilibrée et peu coûteuse. Ainsi, pendant la Seconde Guerre mondiale, il a fallu recourir à des stratagèmes pour assurer un équilibre alimentaire en dépit de la pénurie de certains aliments et les rationnements (la viande est par exemple remplacée par les légumineuses). Après la guerre, avec la surabondance alimentaire et l’augmentation de la consommation en matières grasses se profilent de nouvelles menaces pour la santé publique telles que l’obésité. Les instances publiques deviennent un garde-fou face aux excès en menant des campagnes de prévention, elles se font le relais du discours médical ou bien plutôt d’un discours médical, car les précautions nutritionnelles varient selon les savoirs médicaux et en fonction de la représentation qu’une société se fait des valeurs diététiques. La viande, par exemple, a longtemps été recommandée comme un aliment bénéfique à la santé. Alors que dans les années 1950, la médecine traditionnelle continue à mettre en avant les bienfaits (force, robustesse, énergie) d’une consommation quotidienne de viande, les diététiciens alternatifs en prônent une limitation voire une abstinence. Issus le plus souvent de courants réactionnaires critiquant l’alimentation industrielle et défendant la « naturalité », ces diététiciens voient leurs recommandations gagner en légitimité lorsque le Pr Jean Trémolières, fondateur en 1964 de la première unité de recherche en nutrition de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale à l’hôpital Bichat à Paris, avertit sur les risques qu’entraîne une consommation carnée importante. Aujourd’hui, il est davantage recommandé de ne pas consommer de la viande tous les jours et de privilégier les viandes blanches réputées plus maigres, et les poissons. Réduire sa consommation de viande est non seulement présenté comme essentiel à la bonne santé, mais témoigne d’un comportement responsable face aux enjeux écologiques et éthiques qu’implique une telle consommation. L’exemple de la viande montre bien que les choix alimentaires dépendent des domaines de savoirs que les contextes économique, social et culturel modifient. Un bon produit se définit par les normativités en cours. (Alexandre Kovacs, "Au-delà de la diététique - L’alimentation-santé au prisme des enjeux historiques multiscalaires" dans ''Histoire, médecine et santé'', n°17, été 2020, p. 10.
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Titre :
Du bon équilibre des lipides dans l'alimentation
Série :
Année de production :
Pays de production :
Durée :
11 minutes
Format :
Parlant - Couleur - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Archives détentrices :

Générique principal

Gén. début : Une émission de LA Caisse nationale d'Assurance Maladie des Travailleurs Salariés / Du bon équilibre des lipides dans l'alimentation / production et réalisation : SF

Contenus

Sujet

La place des lipides dans une alimentation saine.

Genre dominant

Documentaire

Résumé

Les lipides sont des graisses animales ou végétale. Nous avons tendance à en consommer trop, particulièrement dans la viande et qui accroît les risques de maladies cardiovasculaires. Nous devons mieux équilibrer notre alimentation en mangeant plus souvent du poisson, en utilisant certaines huiles pour l’assaisonnement et les fritures. Mais pensons aussi aux autres modes de cuisson (eau, vapeur, grillades). Et puis, faisons de l’exercice… notre avenir en dépend.

Contexte

La production audiovisuelle de la CNAM

La Caisse nationale de sécurité sociale (la CNAMTS est créée en 1967) a commencé dès 1963 à relmplir une focntion de production de supports pédagogiques jusqu'en 1984. Plusieurs séries de films :
Je voudrais savoir
Objectif santé
La vie en toi
Hygea 7
Objectif prévention
Prévention Outre-mer
Prévention 20
La Belle santé
Jouer le jeu de la santé

Ces courts métrages, d'une durée variant entre deux et vingt minutes selon les émissions, étaient pour certains d'entre eux destinés être diffusés à la télévision (1ere chaîne de l'ORTF puis TF1, Antenne 2) et dans un circuit non commercial : établissements universitaires et scolaires, entreprises publiques et privées, associations à but non lucratif, collectivités à caractère éducatif et socio-culturel implantés en région parisienne. Un catalogue précise les conditions de prêt (formulaires, délais, etc.), mentionne les films disponibles sur cassettes VHS et présente, par émission, un résumé pour chacun des titres disponibles.

L'émission Objectif santé'
Diffusée de 1976 à 1984 sur TF1 le jeudi de 13h50 à 14h, elle présentait des court métrages de 10 mn destinés aux adultes. Elle a pris la suite de l’émission "Je voudrais savoir", diffusée sur la 1 chaîne de l'ORTF à partir de 1963 puis sur TF1 à partir de 1975.

La diététique dans les années 70
Après la Seconde Guerre mondiale, la population s’est mise à manger davantage. Dans les années 1970, l’alimentation devient un sujet de débat public. Grâce à une alimentation saine et à des régimes, les personnes soucieuses de leur santé veulent réduire les problèmes de poids, d’hypertension et de diabète de plus en plus fréquents.
La deuxième moitié de la décennie voit éclore de nombreux mensuels spécialisés consacrés aux soins du corps et à la santé. Les études marketing menées pour le lancement de ces journaux montrent l’apparition du désir de s’occuper de son corps et de son bien-être (Bonvoisin, Maignien, 1986). En 1974 est lancé Maigrir-rester jeune, puis Santé Magazine en 1976. Différents titres se créent dans leur sillage, tels que Médecine Beauté et Bien-être et santé. L’argumentation est médicalisée, les conseils prennent la forme de prescriptions médicales. Santé Magazine concerne par exemple « tout le domaine de la médecine » : « Comment garder une bonne santé ? Comment la retrouver ? Comment sauver ce capital, sans quoi le bonheur est impossible ? ». Les différents articles traitent des ulcères à l’estomac, des rhumatismes, des crises de foie, des otites et rhinopharyngites, des problèmes de grossesse, etc. : par le biais des médias, des médecins énoncent le bon et le mauvais, le permis et le défendu, et cherchent à imposer le « bon » comportement. Ils tendent à ériger la préservation du capital-santé en règle de vie et deviennent « confesseur », « absoluteur » dans un contexte de « somatisation individuelle généralisée » (Baudrillard, 1970). A travers cette idéalisation de la bonne santé, de nouveaux modes de vie sont promus. Les Français sont à cette période toujours plus nombreux à écouter ces discours et à en suivre les prescriptions. (Yves Travaillot, "Les années 70, de nouvelles contraintes pour le corps" dans Sociologie des pratiques d'entretien du corps, Paris, 1998, p.49).
Les médecins et les chimistes mettent en avant le rôle de l’alimentation dans la santé, notamment avec les organiques présents dans les aliments, appelés « vitamines » en 1912. Le rôle des scientifiques devient essentiel : ils se font les conseillers pour imposer une doxa du « bien manger » relayée par les pouvoirs publics qui cherchent à faire adopter à la population des habitudes alimentaires pour assurer la santé publique. Toutefois, derrière le discours scientifique, peut se cacher un discours moraliste à portée politique et économique. Les politiques nutritionnelles prennent naissance dans des contextes économiques où une grande part de la population rencontre des problèmes pour se nourrir de façon équilibrée et peu coûteuse. Ainsi, pendant la Seconde Guerre mondiale, il a fallu recourir à des stratagèmes pour assurer un équilibre alimentaire en dépit de la pénurie de certains aliments et les rationnements (la viande est par exemple remplacée par les légumineuses). Après la guerre, avec la surabondance alimentaire et l’augmentation de la consommation en matières grasses se profilent de nouvelles menaces pour la santé publique telles que l’obésité. Les instances publiques deviennent un garde-fou face aux excès en menant des campagnes de prévention, elles se font le relais du discours médical ou bien plutôt d’un discours médical, car les précautions nutritionnelles varient selon les savoirs médicaux et en fonction de la représentation qu’une société se fait des valeurs diététiques. La viande, par exemple, a longtemps été recommandée comme un aliment bénéfique à la santé. Alors que dans les années 1950, la médecine traditionnelle continue à mettre en avant les bienfaits (force, robustesse, énergie) d’une consommation quotidienne de viande, les diététiciens alternatifs en prônent une limitation voire une abstinence. Issus le plus souvent de courants réactionnaires critiquant l’alimentation industrielle et défendant la « naturalité », ces diététiciens voient leurs recommandations gagner en légitimité lorsque le Pr Jean Trémolières, fondateur en 1964 de la première unité de recherche en nutrition de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale à l’hôpital Bichat à Paris, avertit sur les risques qu’entraîne une consommation carnée importante. Aujourd’hui, il est davantage recommandé de ne pas consommer de la viande tous les jours et de privilégier les viandes blanches réputées plus maigres, et les poissons. Réduire sa consommation de viande est non seulement présenté comme essentiel à la bonne santé, mais témoigne d’un comportement responsable face aux enjeux écologiques et éthiques qu’implique une telle consommation. L’exemple de la viande montre bien que les choix alimentaires dépendent des domaines de savoirs que les contextes économique, social et culturel modifient. Un bon produit se définit par les normativités en cours. (Alexandre Kovacs, "Au-delà de la diététique - L’alimentation-santé au prisme des enjeux historiques multiscalaires" dans Histoire, médecine et santé, n°17, été 2020, p. 10.

Éléments structurants du film

  • Images de reportage : Non.
  • Images en plateau : Non.
  • Images d'archives : Non.
  • Séquences d'animation : Oui.
  • Cartons : Oui.
  • Animateur : Non.
  • Voix off : Oui.
  • Interview : Non.
  • Musique et bruitages : Non.
  • Images communes avec d'autres films : Non.

Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?

Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?

Diffusion et réception

Où le film est-il projeté ?

La série Objectif santé était diffusée notamment à la télévision française sur la chaîne TF1 de 1976 à 1984, le jeudi de 13h50 à 14h00.

Communications et événements associés au film

Public

tout public

Audience

Descriptif libre

Musique entrainante jouée à la mandoline. Prises de vues réelles, dézoom et panoramique sur un marché de fruits et légumes, fleurs, charcuterie. Commentaire par une voix de femme sur un plan d'étal de boucher : "On désigne sous le nom de lipides la partie grasse des aliments, les corps gras utilisés en cuisine". Animation sur prises de vues réelles : des petits êtres s'extraient de poissons, de tranches de viandes, de fruits et légumes, ils représentent la partie grasse de ces différents aliments ; d'autres ajouts dessinés représentent les corps gras mélangés à d'autres aliments. Cartons dessinés pour indiquer l'origine des lipides : animale (beurre, saindoux), végétale (huile d'arachide). (01:54)

En dessin animé, vue sur une paillasse de laboratoire chargée de récipients reliés les uns aux autres. " la chimie permet de distinguer les différentes sortes de lipides". Schéma d'éléments pour expliquer la composition des lipides saturés et insaturés. Les lipides saturés se présentent sous forme solide : beurre, margarine ; les lipides insaturés sous forme liquide : huile. Les lipides sont riches en calories (plan sur un steak avec de petits êtres représentant les macromolécules biologiques) ; "les corps gras apportent en outre des vitamines".

Notes complémentaires

Références et documents externes

Contributeurs

  • Auteurs de la fiche : Joël Danet