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« Soyons sportifs » : différence entre les versions
De MedFilm PPRD
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|Direction regard spectateur={{HTDirige | |Direction regard spectateur={{HTDirige | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=''Filmer le sport'' | |||
Les activités sportives sont mises en scène dans un cadre aéré et végétalisé, celui qu'offre l'association sportive dont il est question. A noter que le filmage est décadré, l'assise des plans est devenue oblique, comme pour mettre en valeur leur géomatrisation de leur composition, laquelle est déterminée par aussi bien par l'architecture du stade que la structure des équipements. Leur agencement suscite un foisonnement hiératique de lignes qui accentue, par contraste, la souplesse des corps qui y sont projetés.<br> | |||
''Différenciation genrée de l'activité sportive''<br> | |||
Le film met en jeu aussi bien les jeunes hommes que les jeunes filles. cependant, il précise, selon la méthode de Maurice Baquet qui en est le "conseiller technique" que les activités qui leur sont proposées doivent être différenciées selon le genre de chacun et chacune. Aux garçons des activités qui favorisent le développement de la force, aux filles des activités qui les amènent à acquérir grâce et rythme. Les jeunes hommes évoluent toujours dans des aires techniques et balisées, pourvues d'équipements spécialisés ; les jeunes filles évoluent le plus souvent dans des espaces naturels dépourvus d'équipements. | |||
}} | }} | ||
|Présentation médecine={{HTPrés | |Présentation médecine={{HTPrés | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=Un médecin intervient sur le stade pour examiner un jeune sportif à 09:00. Le commentaire précise qu'il faut surveiller le corps qui est comparable à une machine dont il faut régulièrement inspecter "les rouages et les moteurs". | |||
}} | }} | ||
|Lieu projection={{HTProj | |Lieu projection={{HTProj | ||
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|Texte=Le générique qui ouvre le film se termine sur deux plans d'activités sportives en plein air : lutte pour les garçons, gymnastique rythmique pour les filles. Ces deux activités, spécifiées selon les genres, correspondent à la phase terminale de la "méthode d’éducation physique sportive généralisée (EPSG)" que le conseiller technique du film, Maurice Baquet, a mise au point. <br> | |Texte=Le générique qui ouvre le film se termine sur deux plans d'activités sportives en plein air : lutte pour les garçons, gymnastique rythmique pour les filles. Ces deux activités, spécifiées selon les genres, correspondent à la phase terminale de la "méthode d’éducation physique sportive généralisée (EPSG)" que le conseiller technique du film, Maurice Baquet, a mise au point. <br> | ||
'''La ville, l'atelier, le bureau : des cadres de vie étouffants''' | '''La ville, l'atelier, le bureau : des cadres de vie étouffants'''<br> | ||
Sur une musique échevelée, succession de plans de train lancé en pleine vitesse. Arrivée en gare, les voyageurs ont ouvert les portes des wagons et se tiennent sur le seuil alors que le train est encore en mouvement. Quand il s'est tout à fait immobilisé, ils se déversent sur le quai et avancent en colonnes denses vers la sortie. Quand ils atteignent la rue, ils sont cernés par un trafic étourdissant. Commentaire : "Tous les jours, des milliers de jeunes gens, employés ou ouvriers, garçons ou filles, arrivent par les trains de banlieue. Ils s'engouffrent dans le métro pour aller à leur travail." Plan large dans un espace de travail (qui pourrait préfigurer l'actuel open space) où deux hommes sont installés de part et d'autre d'un grand bureau , et deux jeunes femmes, isolées l'une de l'autre, installées à des tables à part, sont en train de taper à la machine. La caméra resserre sur l'une des deux jeunes filles, celle qui était à l'avant plan. "Certes le travail discipline la vie, mais le corps et l'esprit ont un rythme intense, épuisant parfois". Elle lève le regard vers la fenêtre près de laquelle elle se trouve. Elle pousse un soupir qui exprime sa lassitude et fait sentir son désir d'aller dehors. A un établi d'usine dans un local d'atelier, un jeune homme prend la même attitude : regard vers la fenêtre, aspiration mélancolique au dehors. Dans une salle de montage de film, une jeune monteuse pose un regard triste sur la pellicule 35 mm qu'elle passe dans les galets de la table. "Aussi le besoin d'échapper à cette discipline est instinctif. Ils rêvent à des jeux sains et joyeux." La séquence se décline sur un plan d'atelier de couture où des jeunes femmes s'activent avec langueur, et un plan dans un local adminisrtaitf où un jeune homme consulte un lourd registre d'un air ennuyé. "Ils rêvent à un peu de lumière. Ils rêvent à la liberté." (02:34) | Sur une musique échevelée, succession de plans de train lancé en pleine vitesse. Arrivée en gare, les voyageurs ont ouvert les portes des wagons et se tiennent sur le seuil alors que le train est encore en mouvement. Quand il s'est tout à fait immobilisé, ils se déversent sur le quai et avancent en colonnes denses vers la sortie. Quand ils atteignent la rue, ils sont cernés par un trafic étourdissant. Commentaire : "Tous les jours, des milliers de jeunes gens, employés ou ouvriers, garçons ou filles, arrivent par les trains de banlieue. Ils s'engouffrent dans le métro pour aller à leur travail." Plan large dans un espace de travail (qui pourrait préfigurer l'actuel open space) où deux hommes sont installés de part et d'autre d'un grand bureau , et deux jeunes femmes, isolées l'une de l'autre, installées à des tables à part, sont en train de taper à la machine. La caméra resserre sur l'une des deux jeunes filles, celle qui était à l'avant plan. "Certes le travail discipline la vie, mais le corps et l'esprit ont un rythme intense, épuisant parfois". Elle lève le regard vers la fenêtre près de laquelle elle se trouve. Elle pousse un soupir qui exprime sa lassitude et fait sentir son désir d'aller dehors. A un établi d'usine dans un local d'atelier, un jeune homme prend la même attitude : regard vers la fenêtre, aspiration mélancolique au dehors. Dans une salle de montage de film, une jeune monteuse pose un regard triste sur la pellicule 35 mm qu'elle passe dans les galets de la table. "Aussi le besoin d'échapper à cette discipline est instinctif. Ils rêvent à des jeux sains et joyeux." La séquence se décline sur un plan d'atelier de couture où des jeunes femmes s'activent avec langueur, et un plan dans un local adminisrtaitf où un jeune homme consulte un lourd registre d'un air ennuyé. "Ils rêvent à un peu de lumière. Ils rêvent à la liberté." (02:34) | ||
Version du 5 septembre 2025 à 11:44
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Titre :
Soyons sportifs
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Conseil scientifique :
Durée :
21 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Commanditaires :
Archives détentrices :
Générique principal
Contenus
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Non.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Joël Danet

