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« Pers:Lucien Viborel » : différence entre les versions
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|Biographie=Lucien Viborel, directeur de l’éducation sanitaire au Ministère de la Santé, directeur de la Cinémathèque de l'Hygiène sociale (créée en 1926 à la suite de la mise en place de l'Office national d'Hygiène Sociale, sous el contrôle du Ministère du travail et de l'Hygiène sociale) a été un promoteur important du cinéma de propagande sanitaire dans les années 20 et 30. Auteur de ''Le rôle du cinématographe dans l’enseignement de l’hygiène sociale'' (s. d.), ''La technique moderne de propagande d’hygiène sociale'' (1930) | |||
Le cinéma condense et anime le sujet : « On pourra écrire de longues pages sur la syphilis, rien ne sera plus impressionnant que deux images juxtaposées montrant d’une part, l’agent de la maladie, d’autre part, ses effets. Et que dire de la portée de l’image animée du cinématographe dont la suggestibilité est si puissante! Le cinéma reproduit la vie. Grâce à lui, on peut s’instruire en toutes les sciences. » | |||
Le cinéma permet démultiplie l’audience et charme le grand public : « Les paroles d’une conférence volent et ne touchent qu’un nombre limité d’auditeurs. Le film peut tourner sans cesse (…) et, grâce à un scénario simple et amusant, distraire petits et grands, tout en démolissant, en cours de route, de nombreux préjugés. » | |||
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Version du 19 février 2023 à 16:51
Lucien Viborel, directeur de l’éducation sanitaire au Ministère de la Santé, directeur de la Cinémathèque de l'Hygiène sociale (créée en 1926 à la suite de la mise en place de l'Office national d'Hygiène Sociale, sous el contrôle du Ministère du travail et de l'Hygiène sociale) a été un promoteur important du cinéma de propagande sanitaire dans les années 20 et 30. Auteur de Le rôle du cinématographe dans l’enseignement de l’hygiène sociale (s. d.), La technique moderne de propagande d’hygiène sociale (1930)
Le cinéma condense et anime le sujet : « On pourra écrire de longues pages sur la syphilis, rien ne sera plus impressionnant que deux images juxtaposées montrant d’une part, l’agent de la maladie, d’autre part, ses effets. Et que dire de la portée de l’image animée du cinématographe dont la suggestibilité est si puissante! Le cinéma reproduit la vie. Grâce à lui, on peut s’instruire en toutes les sciences. »
Le cinéma permet démultiplie l’audience et charme le grand public : « Les paroles d’une conférence volent et ne touchent qu’un nombre limité d’auditeurs. Le film peut tourner sans cesse (…) et, grâce à un scénario simple et amusant, distraire petits et grands, tout en démolissant, en cours de route, de nombreux préjugés. »
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