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|Texte='''Vers 1760 :''' L'abbé de l'Épée met au point des '''méthodes d'éducation des enfants sourds.''' Il crée '''l'alphabet dactylologique.'''<br> | |||
'''1795 :''' Le docteur Jean Itard fait les '''premières tentatives d'éducation ou de rééducation du langage''' auprès de Victor, l'enfant sauvage retrouvé en Aveyron.<br> | |||
'''1829 : Apparition du mot ''orthophonie'' en France.''' Le docteur Colombat crée l'Institut orthophonique de Paris, pour le "redressement de la parole".<br> | |||
'''1925 : Le docteur Victor Veau, chirurgien à l'hôpital Saint Vincent de Paul à Paris fait appel à une phonéticienne et grammairienne, Suzanne Borel''' pour qu'elle observe les personnes porteuses de fente labio-palatine qu'il a opérées et essaie de les aider à améliorer leur articulation et leur parole. Elle commence ses premières rééducations de manière expérimentale.<br> | |||
'''1927 : Publication des travaux de Suzanne Borel dans le livre du Dr Veau, ''Division palatine.'''''<br> | |||
'''1929 : Publication des résultats des premières rééducations de Suzanne Borel dans la ''Revue de phonétique.'''''<br> | |||
'''Fin des années 1920 : Ouverture d'un service de "rééducation de tous les troubles de la parole"''' (au Service des enfants assistés, rue d'Enfer à Paris ?). Les rééducations sont assurées par Suzanne Borel. Elle crée une '''nouvelle consultation à l'hôpital Saint-Michel''' (Paris) avec le Dr Veau.<br> | |||
'''1930 : Un seul service hospitalier assure les rééducations de la voix,''' celui du Dr Tarneaud (fondateur de la Société française de phoniatrie) à l'hôpital Lariboisière et à l'hôpital Bellan. Elles sont confiées à l'une des premières collaboratrices de Suzanne Borel : '''Claire Dinville.'''<br> | |||
'''1930 : À la faculté de médecine de Paris, création du premier cours de laryngologie et phoniatrie''' (en 10 leçons) dispensé par le Dr Tarneaud et Suzanne Borel.<br> | |||
'''1933 et suiv. : Suzanne Borel collabore avec des phonéticiens et divers médecins spécialistes''' (pédiatres, psychiatres, ORL, stomatologues, radiologues). Elle initie des travaux de radiologie qui déboucheront sur les '''"acougrammes phonétiques"''' (audiogrammes phonétiques) au travers de l’étude "d’orthodiagrammes" des voyelles et consonnes. Ce sont ces travaux rigoureux qui donneront naissance un peu plus tard aux '''guide-langues.'''<br> | |||
Les stagiaires qui entourent Suzanne Borel suivent un enseignement clinique dont la durée n’est jamais inférieure à quatre ou cinq ans et elles acquièrent, à leur gré, les notions théoriques en suivant des cours (psychologie, linguistique, phonétique, etc.) dispensés au sein de l’Université.<br> | |||
'''1937 :''' Suzanne Borel rencontre le Dr Edouard Pichon (médecin pédiatre, psychanalyste, linguiste et écrivain) à St Vincent de Paul et s’intéresse désormais aux aspects psycholinguistiques de la communication, au développement psychique de l’enfant et de l’adolescent et au bégaiement. ils font paraître un ouvrage commun : ''Le bégaiement, sa nature et son traitement.''<br> | |||
'''Ainsi, le domaine de l’orthophonie s’élargit au langage oral et à ses troubles.'''<br> | |||
'''1942 :''' S. Borel entre en contact avec le Dr Simon, collaborateur de Binet, auteurs de ''L’Échelle métrique de l’intelligence'' (test Binet-Simon). Suzanne Borel publie de nombreux articles dans le Bulletin Binet-Simon qui lui est entièrement ouvert. Elle y publiera la quasi-totalité de ses tests.<br> | |||
'''Un pilier essentiel de l’orthophonie est en train de se construire : celui du bilan orthophonique.'''<br> | |||
'''1946 : Suzanne Borel-Maisonny travaille sur les troubles instrumentaux des enfants''' (dyslexie, dysgraphie, troubles du schéma corporel) avec le neuropsychiatre [[Pers:Julian_de_Ajuriaguerra|Julian de Ajuriaguerra]] au sein de l'équipe de recherche pluridisciplinaire en psychologie et psychopathologie de l'enfant de l'hôpital Sainte-Anne-Henri-Rousselle (avec M. Auzias, J. Bergès, N. Galifret-Granjon, H. Gobineau, D. Koechlin, I. Lézine, I. Santucci, G. Soubiran, M. Stambak, R. Zazzo).<br> | |||
'''1955 : Premières attestations d'études d'orthophonie''' délivrées suite aux travaux de Suzanne Borel-Maisonny, fondatrice de cet enseignement en France. (Formations organisées à Paris puis Lyon et Marseille.)<br> | |||
'''1957 : Création de l'école de formation des rééducateurs de la dyslexie''' à l'initiative de Claude Chassagny.<br> | |||
'''1959 : Création du Syndicat national des orthophonistes (SNO)''' qui deviendra la FNO par la suite. '''À Strasbourg, création de l'ADOPSED''' (Association d'orthopédagogues, psychopédagogues spécialisés dans la rééducation des enfants dyslexiques et la pédagogie curative générale) par un groupe d'enseignants du CMPP de Strasbourg (dont Georges Fronsacq qui assure la présidence de l'ADOPSED pendant plusieurs années), afin de promouvoir les recherches sur l'inadaptation scolaire et former des rééducateurs de dyslexie. <br> | |||
'''1963 : Création de l'Association des rééducateurs de la parole, du langage écrit et de la voix (ARPLOEV), et de la revue ''Rééducation orthophonique'''''<br> | |||
'''1964 : Statut légal de la profession.'''<br> | |||
La loi du 10 juillet institue un diplôme national : le '''Certificat de capacité d'orthophoniste (C.C.O.)'''. Les orthophonistes figurent au Livre IV du Code de la Santé Publique. La profession, le titre d'orthophoniste et le domaine de compétences sont protégés en France. La profession est réglementée. L'orthophoniste est un professionnel de santé conventionné avec l'Assurance Maladie.<br> | |||
La même année, en réaction au refus de le SNO de prendre en compte certains diplômes pour l'attribution du titre d'orthophoniste par la "Commission de qualification" - notamment les formations de "rééducateurs de la dyslexie, dysorthographie et dyscalculie" assurées sous la responsabilité de Claude Chassagny à Lyon, Georges Fronsacq à Strasbourg et Roger Mucchielli à Nantes, ainsi que le diplôme de "technicien spécialisé en rééducation orthophonique" délivré par l'Institut de psychologie appliquée et d'hygiène mentale de l'université de Clermont-Ferrand (formation assurée par le docteur Doussinet, psychiatre), les praticiens formés à Clermont-Ferrand créent le Syndicat national indépendant des orthophonistes (SNIO). Ils obtiennent gain de cause : le diplôme de Clermont-Ferrand est reconnu. Les rééducateurs de dyslexie se constituent également en syndicat : le Syndicat national des rééducateurs de dyslexie (SNRD)<br> | |||
'''1965 : Reconnaissance des formations de rééducateurs de dyslexie.''' Mise en place des premiers centres de formation d'orthophonie dans les facultés de médecine. (NB : À Strasbourg, la formation de rééducateurs en dyslexie, puis d'orthophonistes à partir de 1973, a été assurée par l'ADOPSED jusqu'en 1985. La première promotion formée à l'école d'orthophonie de la faculté de médecine de l'université de Strasbourg est la promotion 1987-1991)<br> | |||
'''1968 : Naissance de la Fédération Nationale des Orthophonistes (FNO). Le SNIO prend le nom de Fédération nationale unifiée des orthophonistes (FNUO).'''<br> | |||
'''1969 : Lettre-clé AMO.'''<br> | |||
'''1970 : Régime conventionnel pour les praticiens libéraux.'''<br> | |||
'''1971 : Les rééducateurs de la dyslexie sont autorisés à exercer la profession d'orthophoniste dans leur compétence particulière (langage écrit uniquement).'''<br> | |||
'''1972 : Première réforme des études (3 ans).'''<br> | |||
'''1974 : Signature de la première convention nationale avec la Sécurité sociale.'''<br> | |||
'''1975 : La FNUO et le SNRD fusionnent et créent la Fédération des Orthophonistes de France (FOF).'''<br> | |||
'''1977 : Adaptation du ''Cued Speech'' (inventé par le docteur Orin Cornett aux États-Unis) à la langue française sous sa forme actuelle : le langage parlé complété (LPC) ou la langue française parlée complétée (LfPC)'''<br> | |||
'''1978 : Deuxième convention nationale.'''<br> | |||
'''1980 : Naissance de l'association nationale pour la promotion et le développement de la langue française parlée complétée (ALPC)'''<br> | |||
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Pour une chronologie plus complète de la profession d'orthophoniste (jusqu'en 2021), des extraits des textes réglementaires et quelques éléments démographiques, voir [[Crp:Corpus-2|Orthophonie (Général)]]<br> | |||
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'''La méthode phonético-gestuelle, méthode de rééducation orthophonique inventée par Suzanne Borel-Maisonny<br>''' | |||
La méthode de lecture développée par Suzanne Borel-Maisonny est publiée pour la première fois en 1949, puis en 1956 dans le Bulletin mensuel de la Société Alfred Binet sous le nom de « Méthode de lecture – Atlas », enfin en 1960 dans le premier volume, ''Langage oral et écrit, pédagogie des notions de bases.'' À cette époque, la méthode s’adresse aux enfants présentant une hypoacousie, une dyslexie ou une dysorthographie. La première partie de cet ouvrage intitulée ''Lecture'' comporte un premier chapitre ''Comment apprendre à lire'' qui présente la méthode combinée proposée par Suzanne Borel-Maisonny à l'attention "des enfants qui n'apprennent à lire qu'avec peine": représentation spatiale ; épellation phonétique ; symbolisation gestuelle ; notion de nombre et de rythme ; écriture. Le deuxième chapitre ''Rééducation des dyslexiques'' comporte l'''Atlas des gestes de la méthode de lecture''.<br> | |||
Clotilde Silvestre de Sacy, institutrice et proche collaboratrice de Suzanne Borel-Maisonny, propose en 1960 une méthode d'apprentissage de la lecture fondée sur l'approche phonétique et gestuelle. Il s’agit d’une seule méthode ayant deux utilisations ou progressions différentes. Elle s’adresse à la fois à des enfants à rééduquer et à des enfants qui apprennent à lire. En effet, alors que Suzanne Borel-Maisonny réservait l'usage des gestes aux rééducateurs, Clotilde Silvestre de Sacy introduit l'idée qu’ils constituent également un outil pour les enseignants. Suzanne Borel-Maisonny a donné à la méthode des bases orthophoniques, phonétiques et gestuelles tandis que Clotilde Silvestre de Sacy a adapté dans l'ouvrage ''Bien lire et aimer lire'', régulièrement réédité depuis 1963, la progression de la méthode à l'apprentissage même de la lecture.<br> | |||
'''Fondements de la méthode phonétique et gestuelle'''<br> | |||
Cette méthode initialement destinée aux « enfants qui n'apprennent à lire qu'avec peine », est issue « d’une recherche scientifique longuement mûrie [...], fondée sur une connaissance précise des possibilités, des intérêts et des difficultés de l’écolier » (Préface des docteurs Simon et Launay, Borel-Maisonny S., Langage oral et écrit, Delachaux et Niestlé, Paris, 1985.) Elle prend appui sur la méthode syllabique, les sons s’accrochent progressivement les uns aux autres, pour former des syllabes puis des mots, puis des phrases. | |||
« La méthode syllabique, dite aussi « alphabétique », est centrée sur l’apprentissage systématique et progressif du code des correspondances graphophonologiques, en partant de l’étude des signes écrits, les « graphèmes », que l’élève apprend à oraliser.» (Deauvieau J., Reichstadt J., Terrail J-P., Enseigner efficacement la lecture, Odile Jacob, Paris, 2015)<br> | |||
La méthode est donc basée sur trois éléments : les phonèmes (sons élémentaires du langage, entendus par l'oreille), les graphèmes (combinaisons de lettres correspondant à un phonème, vus par les yeux) et l’articulation (l'ensemble des sons prononcés).<br> | |||
En outre, « l’enseignement de la lecture comprend lui-même deux stades : le premier | |||
concerne l’acquisition du mécanisme ; le second, l’application à la lecture d’un texte. »<br> | |||
L’enjeu pour Suzanne Borel Maisonny est d’impliquer l’apprenant dans ce processus d’enregistrement du mécanisme. Elle considère que pour aider les apprenants à entrer dans le langage oral, c’est-à-dire le transcodage des segments écrits en segments oraux, il est pertinent d’introduire des gestes symboliques. En effet, la théorie de Suzanne Borel-Maisonny repose sur l’idée que la lecture gestuée ou "phonomimie" favorise l’acquisition du principe alphabétique. Par ailleurs, elle suggère de commencer par l’association geste-son, ensuite geste-graphie pour faciliter l’accès à l’association son-graphie. Elle affirme : « chez les dyslexiques l’association geste-son est plus rapide et plus sûre que l’association geste signe-écrit. Nous avons vu des enfants lire les gestes, prononcer les sons qui leur sont montrés de cette façon, et qui cependant restaient encore incapables de lire l’écriture. Il faut donc recourir aux gestes sans se lasser avant de ne laisser subsister que ce qui importe, c’est-à-dire l’association signe écrit-son.» | |||
''In fine'', l’enjeu de la méthode est de développer les capacités de transcodage grapho- phonémique des élèves. Le geste constitue un support à la relation graphème-phonème. Cette symbolisation corporelle et spatiale a pour but de favoriser le décodage du code | |||
complexe de la langue. Pour S. Borel-Maisonny, « des gestes seront attachés à chacun des signes écrits et y resteront attachés jusqu’à acquisition complète de l’énonciation de ces derniers. » Elle recommande aussi qu’il n’y ait pas d’apprentissage de l’alphabet mais juste du son des lettres, pour ne pas avoir de confusion sur le nom de la lettre et le son qu’elle fait.<br> | |||
'''Présentation des gestes'''<br> | |||
La méthode consiste à associer à chaque phonème, un geste, et ce quelles que soient les graphies de ce son. Les gestes imaginés par Suzanne Borel Maisonny peuvent être classés en quatre catégories. Certains sont représentatifs d’une forme graphique, ils constituent une entrée | |||
implicite dans l’écrit car l'image spatiale du phonème se rapproche de la forme écrite de la | |||
lettre.<br> | |||
Exemples :<br> | |||
/s/ Le geste associé à la lettre s se construit en représentant la forme graphique de la lettre l’index tendu.<br> | |||
/m/ Pour produire le geste associé à la lettre m, on placera le pouce, l’index et le majeur, rigides, le bout appuyé sur la table.<br> | |||
/v/ Le v se construit de la manière suivante : poignets joints et paumes écartées.<br> | |||
D’autres gestes sont représentatifs d’une image articulatoire, ils miment les mouvements produits par les organes articulatoires mobilisés.<br> | |||
Exemples :<br> | |||
/ʀ/ Pour le geste r, on placera l’index sur le côté du larynx, afin que l’enfant puisse sentir le raclement qui accompagne l’émission de cette consonne.<br> | |||
/a/ On montrera la main ouverte rappelant la bouche ouverte. Cette analogie suffit aux enfants.<br> | |||
/l/ On porte l’index devant la bouche en le dressant vers le haut, comme fait la pointe de la langue dans la prononciation de cette consonne.<br> | |||
D’autres gestes souligneront l’idée d’écoulement.<br> | |||
Exemple :<br> | |||
/f/ On accompagne la prononciation d’un mouvement de tout le bras de droite à gauche si on fait face à l’enfant. Ce mouvement rappelle à la fois le son et la barre horizontale de la lettre f.<br> | |||
Enfin, on associe le signe à une petite scène ("phonomimie").<br> | |||
Exemples :<br> | |||
/wa/ On fait entendre un aboiement, on ouvre et ferme le poing avec vivacité, on dessine une tête de chien.<br> | |||
/ɛ̃/ Le geste est associé au rythme du cri du canard. Avec le pouce et le majeur, l’apprenant crée une forme d’un bec, et il les pose sur le nez pour expliquer la nasalisation du son.<br> | |||
La méthode Borel-Maisonny est dite phonique parce qu’elle se donne pour point d’appui « la conscience phonologique » et le développement de « l’analyse phonémique ». L’enjeu est que l’élève prenne conscience de ce qu’est un son et d’où il vient. Pour cela, Suzanne Borel Maisonny propose tout un tra-ail de gymnastique phonatoire. La conscience de la position articulatoire est une condition sine qua non à l’émission d’un phonème. D’après Suzanne Borel Maisonny, l’enfant doit distinguer les vibrations glottales, orales et nasales. En effet, elle considère que pour chaque son, il est important d’aborder les différentes positions de la langue et des lèvres, les organes intervenant dans la production du | |||
son, la manière dont l’air s'écoule, la cavité par laquelle l’air sort. C'est pour cette raison que les gestes évocateurs proposés par la fondatrice se rapportent souvent aux organes phonateurs.<br> | |||
'''Repères de progressivité'''<br> | |||
Suzanne Borel Maisonny divise la méthode en 30 leçons soigneusement détaillées. Elle préconise l’étude des voyelles et des consonnes de manière simultanée. Ainsi, les consonnes dont le son peut être facilement prolongé (constrictives) seront vues en premier. Les élèves connaîtront rapidement les sons /f/, /ʃ/, /s/, /v/, /ʒ/, /z/, /l/, /R/, /m/ et /n/. En parallèle, ils étudieront les voyelles : /a/, /o/, /y/, /œ/, /e/ et /i/. La deuxième leçon porte sur la nasalisation des sons a et o : /ã/, /õ/, /wa/, /wɛ̃/.<br> | |||
C’est lors de la troisième leçon que les consonnes occlusives seront présentées : /p/, /t/ et /k/. Viendront s’ajouter dans une cinquième leçon les sons /b/, /q/ et /h/. Cependant, Suzanne Borel-Maisonny précise qu’aucun nouveau signe ne doit être présenté si les premiers ne sont pas suffisamment connus. | |||
Bien lirre et aimer lire, site internet de la méthode phonético-gestuelle créée par Suzanne Borel-Maisonny : https://www.bien-lire.net/ | |||
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Version du 14 avril 2023 à 06:38
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Titre :
Orthophoniste
Série :
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Intervenants :
Durée :
16 minutes
Format :
Parlant - Couleur -
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Archives détentrices :
Corpus :
Générique principal
Contenus
Thèmes médicaux
- Aspects divers de la maladie, du patient et de l'intervention médicale
- Personnes et caractéristiques personnelles en pathologie. Caractéristiques du patient
- Traitement
- Stomatologie. Cavité orale. Affections de la bouche et des dents
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Non.
- Animateur : Non.
- Voix off : Non.
- Interview : Oui.
- Musique et bruitages : Non.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Élisabeth Fuchs

