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« Et la vie continue » : différence entre les versions
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|Texte=Dans les salles de cinéma ; la journée du film suisse à Bruxelles en novembre 1949; la Biennale de Venise de 1950 ; la 65e assemblée générale de l’Association des Intérêts de Genève en 1950; le 25e anniversaire de la Cité Universitaire de Paris durant l’été 1950; l’assemblée générale de la Société de Développement du quartier de l’Est lausannois le 17 avril 1951; la Xe assemblée générale de l’Association cantonale vaudoise des hôteliers en juin 1951. | |||
Le documentaire est prévu au départ pour être diffusé dans les salles de cinémas suisses romandes. Et la vie continue… est finalement diffusé lors de plusieurs assemblées ainsi qu’à la Biennale de Venise ce qui souligne le succès du documentaire ainsi que de son réalisateur. | |||
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|Communications et événements associés au film={{HTCom | |Communications et événements associés au film={{HTCom | ||
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|Texte='''Importance et fragilité de la santé''' | |||
Le film s’ouvre sur un plan d’un homme éternuant. À la suite de cette image, la voix-over s’adresse au spectateur en disant : « Santé ! Avez-vous songé à tout ce que ce mot veut dire ? ». Elle énumère plusieurs significations telles que : « source de la joie » ou encore « gage de beauté », avec des plans de femmes prenant le soleil. Puis le film enchaîne sur des images d’ouvriers, torses nu, travaillant en plein soleil. Ces images induisent le commentaire suivant : « c’est la force qui rend facile les travaux ». Cette séquence donne une définition de la santé comme résidant essentiellement dans la joie de vivre, la beauté physique, la vigueur. Une santé qui sera mise en péril plus tard par la tuberculose. | |||
Nous passons ensuite à un plan représentant des ruines dues à la guerre et même un crâne humain. Ces scènes sont utilisées comme métaphore de la fragilité de la santé qui est appuyée par les paroles sur un ton grave : « comme les civilisations humaines les plus prospères sur lesquelles les guerres accumulent les pleurs et les ruines, la santé est vulnérable et constamment menacée ». Elles se distinguent du reste du film, en ce qu’elles n’ont rien à voir avec la réalité politique de la Suisse restée neutre durant la Seconde Guerre mondiale (le reste des images est tiré de paysages et de la population suisses). Leur portée est donc essentiellement symbolique, bien que la référence au conflit mondial, dont le souvenir est encore vif, permette de rappeler la fragilité de l’humain et de la paix. | |||
Pour exprimer l’emprise (sournoise et invisible) de la tuberculose, la séquence suivante enchaîne des plans où un plan stylisé du bacille de Koch, blanc sur fond noir se superpose à des images de personnes pauvres, puis riches. Cette séquence montre que la tuberculose peut toucher tout le monde, peu importe le milieu social (1′ 48″). | |||
'''Contexte''' | |||
Sur les images d’une femme montant dans un train, nous pouvons entendre la voix-over dire : « Un nom est prononcé Leysin. Il faut quitter la plaine, arracher une vie à la maladie ». Passant devant le Château de Chillon, s’élevant dans les hauteurs, passant sur un pont de moyenne montagne, le chemin de fer conduit vers le village, destination finale du parcours. Musique et voix over aux accents patriotiques célèbrent ensemble les paysages pittoresques de Leysin et sa transformation en station réputée internationalement pour lutter contre la tuberculose. | |||
La séquence suivante introduit le thème de la lutte contre la maladie par la science, en commençant par le motif de l’étude du climat montagneux. « Un médecin est alors venu, qui gagne par la douceur des paysages s’est mis à étudier le climat montagnard ». Il s’agit du docteur Auguste Rollier qui s’installe à Leysin au début du XXe siècle pour ouvrir un « chalet » qui deviendra une clinique (Rollier 1936, 1953). La première occurrence visuelle des cliniques faire entendre le commentaire suivant : « et c’est ainsi que de la petite clinique de bois aux sanatoria élevant leurs grands murs blancs dans les pâturages. Leysin est devenu aujourd’hui une vaste cité étagée au flanc des alpes suisses tournée comme les fleurs vers le soleil ». Cette séquence raconte ainsi comment Leysin est devenue une station réputée pour ces cures d’héliothérapie (3′ 35″). | |||
'''Aspect scientifique de la médecine''' : | |||
La médecine est mise en scène à travers ses instruments (microscopes, seringues, tomographe, etc.) et ses protocoles ( examens médicaux, visites, colloques de médecins, etc.). « La science se penche sur la tuberculose, sur ce fléau qui atteint tous les organes, les membres du corps humain ». La musique s’arrête, on voit un médecin faire une radiographie du thorax d’un patient. « Le bacille de Koch s’attaque facilement aux poumons ; le premier souci du médecin sera de déceler et de localiser les lésions ». L’absence de musique extradiégétique sur ces différents plans leur confère un aspect grave et solennel. La terminologie employée, appartenant au registre scientifique, souligne le professionnalisme et la rigueur des équipes en charge des patients (5′ 08″). | |||
'''Le quotidien rythmé des patient.e.s''' : | |||
La musique reprend doucement avec le commentaire : « comme le poumon immobilisé par le pneumothorax, le malade est astreint au repos. Le corps tout entier va participer à la régénération. Et la vie continue… ». Nous pouvons voir à ce moment-là une infirmière installant un patient pour qu’il soit confortable dans son lit avec, en arrière-plan, le paysage montagneux de Leysin. Plusieurs images de malades défilent, certains lisent, d’autres peignent, ponctuées de la formule « et la vie continue ». Malgré l’alitement, le patient peut continuer de pratiquer ses loisirs, et même à travailler, La cure n’entrave nullement la « productivité » des patient.e.s, suggère le film. Le soleil se joint à l’expertise des médecins pour soigner les plaies des tuberculeux osseux : « l’héliothérapie scientifiquement appliquée » se combine aux soins prodigués à travers des « appareils spécialement conçus ». « De l’aube naissante au soir tombant, on vit sur les galeries », proclame la voix over. La gymnastique pratiquée couché-e sur les galeries exposées au soleil promet un retour certain à la vie « normale ». Mais à condition d’être patient-e, souligne le commentaire. S’enchaînent alors différents plans qui fait entrevoir la perspective de guérison : les patient.e.s peuvent participer à la vie du village, aller au marché, faire des achats, s’installer en terrasses, partager un repas « Ceux qui ont pu quitter leurs alvéoles vont se retrouver nombreux autour des tables aux nappes blanches où de solides amitiés se nouent ». | |||
La routine quotidienne de la cure revient avec l’heure de la sieste, élément partagé avec tous les villageois.e.s, comme le dit la voix over « la cité montagnarde va vivre maintenant le conte de la belle au bois dormant ». Patient.e.s et villageois.e.s, doivent s’arrêter à l’heure de la sieste. Le montage suggère qu’une voiture s’arrête devant un panneau de circulation indiquant les heures de repos : 14h00 à 16h00 et 22h00 à 7h00. À la sieste, succède le moment des loisirs : jeu d’échec, jeu de cartes, visite au cinéma, au théâtre, au salon de thé. Ceux qui ne sont pas alités peuvent se promener dans le village Leysin. Les plans mettent l’accent sur les paysages montagneux, les sentiers, les animaux. Et la vie continue… mobilise ici une rhétorique promotionnelle qui rappelle le film touristique. La cure permet non seulement de guérir, mais de poursuivre ses activités préférées dans un cadre idyllique favorable à la sociabilité (11′ 19″). Le film suggère ainsi la plus-value d’une cure qui garantit la guérison sans s’ennuyer ni perdre en « productivité ». Médecins et patients sont ici créateurs, de santé pour les uns, d’activités pleines de sens pour les autres. | |||
'''Et la vie continue''' : | |||
À l’aide d’un fondu au noir, nous quittons le village pour retourner à la clinique. Le commentaire en voix-over – « ainsi passent les jours » – indique une ellipse temporelle. Ce n’est plus le rythme de vie d’une journée qui nous est présenté, mais le séjour sur un plus long terme. La séquence montre des patient.e.s en train de travailler, y compris ceux qui sont immobilisés dans leurs lits. Cela indique que ni la maladie ni les traitements n’entravent les activités des malades. « La maladie n’interrompt pas le rythme des travaux » (11′38″). Au contraire, le contexte de la cure s’adapte afin que les patient.e.s alités puissent poursuivre leurs tâches habituelles grâce à des outils et machines adaptés. Car avant d’être des malades, les patient.e.s sont avant tout artisans, ouvriers, commerçants, artistes, écrivains et étudiants, semblent suggérer le discours filmique. La clinique est représentée comme un lieu qui se plie aux besoins des malades afin que « la vie continue ». Les étudiant.e.s, par exemple, disposent d’une bibliothèque, un jeune chimiste, d’un laboratoire, un « futur médecin » d’un microscope qu’il manie sur son lit. On fait même venir des professeurs de la plaine pour offrir des cours qui « maintiennent un contact fécond avec l’Alma Mater ». Le sanatorium est ainsi dépeint comme un espace où s’éveillent des vocations professionnelles. | |||
Ensuite, nous pouvons voir une journée dominicale. La séquence est introduite par l’arrêt de la musique pour laisser place au son des cloches de l’église : « le dimanche est au clocher ». Puis, la mélodie reprend, les patientes éclaireuses même alitées sont aidées afin de pouvoir effectuer le salut au drapeau « sur les hauts pâturages ». Les moins touchées pourront même jouer au théâtre autour d’un feu de bois. | |||
La séquence suivante se concentre sur une patiente en particulier, Nicole. Nous pouvons l’observer se déplacer à l’aide de béquilles dans les rues de Leysin, une enveloppe à la main. La voix over précise : « ne la plaignez pas quand vous la voyez déambuler en béquilles. Son horizon n’est plus fermé par les murs d’une chambre ». Par l’utilisation du « vous », le spectateur est interpellé directement et est invité à revoir ses préjugés. Une fois de plus, la situation du malade est représentée de manière positive car Nicole se trouve sur le chemin de la guérison. Par après, nous l’apercevons regarder le train qui redescend vers la plaine, symbole du retour prochain à la maison. Filmé depuis le train en mouvement, le plan montre la figure de Nicole qui se rapetisse, la voix-over indiquant que demain « elle sera guérie ». L’espoir est donc permis pour cette jeune fille qui s’en ira demain « d’une allure dansante comme les autres jeunes filles ». La séquence se termine sur un fondu au noir (14′ 28″). | |||
'''Les patient.e.s au fil des saisons''' : | |||
La dernière séquence du film s’ouvre avec une musique plus dynamique. La transition en fondu en noir permet de marquer un changement dans la temporalité. L’enchaînement des saisons fait place à celui des journées et des semaines. Nous voyons des toits enneigés, avec le commentaire suivant : « l’hiver anime la montagne de ses paillettes brillantes ». Nous observons ensuite différentes activités hivernales : luge, ski, décorations des galeries, qui réunissent « petits et grands ». Une fois de plus, le film montre que même les patient.e.s alité.e.s peuvent bénéficier des joies de la saison froide en faisant du traineau. Grâce au rythme de la musique, au ton enjoué de la voix over et aux différentes activités représentées, l’hiver est montré comme un moment joyeux pour tous. | |||
Après l’hiver vient le printemps. Le printemps est synonyme de renouveau. Nous pouvons voir de jeunes patients faire de la gymnastique au soleil. Le plan suivant montre des fleurs se balançant au gré du vent, le tout est accompagné d’une musique légère et du commentaire qui explique : « des corps harmonieux le fêtent et fêtent leur guérison en un hymne à la joie et à la vie comme les fleurs qui relèvent la tête après l’ouragan plus fraîches et plus belles ». Le printemps est présenté comme métaphore de la guérison. Tout comme la nature, sa santé renaît. Le vocabulaire utilisé appuie cette métaphore de la santé comme renaissance : « le gai papillonnement des draps ; un sourire fleuri à la portière ». | |||
Le film se clôt sur l’image du train qui redescend en pleine et disparait dans un fondu au noir, symbole du retour à la vie civile (17′ 04″). | |||
L’accent mis sur l’absence de rupture totale avec la vie quotidienne rappelle le fonctionnement de la Clinique Manufacture du Dr Auguste Rollier qui sera inaugurée en 1930. Il s’agit de combiner cure de soleil et cure de travail pour permettre aux patient.e.s de continuer leurs activités professionnelles, sans sacrifier leur santé. Un article paru dans la revue de la Croix Rouge en 1934 explique : | |||
« Ce vaste bâtiment est destiné à cette nombreuse catégorie de tuberculeux qui ne peuvent guérir dans leur milieu, qui n’ont pas les moyens de se soigner en clinique et pour qui abandonner le métier, serait se couper les vivres. […] Cette solution, il est vrai, n’est possible qu’avec certains malades. Il ne s’agit ici que des tuberculeux chirurgicaux, soit des personnes ayant une tuberculose « fermée », la plupart du temps osseuse. Alités, parfois immobilisés sur le dos ou sur le ventre, ces malades peuvent exécuter un travail utile, si l’on met à disposition des engins parfaitement adaptés à leur position. […] La moyenne de durée du traitement a été, en 1932, de 19 mois. Les 61 malades qui, l’année dernière, ont quitté la clinique, se répartissent ainsi : guéris, 80% ; très améliorés, 16% ; stationnaires, 3 %. Ces résultats confirment, comme ceux des exercices précédents, l’utilité de la cure de travail associée à l’héliothérapie et à une orthopédie rationnelle » (Anon., « La Clinique-Manufacture de Leysin. Cure de soleil et cure de travail », 1934, 33). Les patients y fabriquent des « fusibles pour les téléphones et télégraphes de la Confédération », « des petites pièces électriques destinées à la signalisation de chemins de fer, des pièces d’appareillages pour les wagons [sic] », des « ressorts de différents calibres, des carcasses d’abat-jour », « des bobines d’induction pour microphones », mais aussi des « pantoufles », des tricots, des « faux-cols », de la broderie, confectionnés en particulier par les femmes. L’article conclut : « c’est la preuve irréfutable du bienfait de cette cure combinée, où le corps, soutenu par un bon moral, profite pleinement du soleil de la montagne (idem 34). Ce souci d’efficacité s’explique en partie pour des raisons économiques, car la Suisse, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, ne retrouve que lentement une situation normale. L’année 1948 marque « la fin totale du rationnement », alors que 1949 représente « le retour complet à la démocratie » (Senn et al., 2015). Par ailleurs, depuis l’expérience de la Première Guerre mondiale, le pays a toujours cherché à rester aussi autonome que possible, en produisant un maximum de biens à l’intérieur de ses frontières. | |||
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|Références={{HTRéf | |Références={{HTRéf | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte='''Sources''' | |||
Anon., « La Clinique-Manufacture de Leysin. Cure de soleil et cure de travail », Die Rote Kreuz : offizielles Organ des Schweizerischen Centralvereins vom Roten Kreuz, vol. 42, cahier 2, 1934, pp. 33-34. | |||
Coopération, n°11, 18 mars 1950. | |||
Courrier de Leysin, 28 avril 1972. | |||
Feuille d’Avis de Lausanne, n°265, 10 novembre 1949. | |||
Feuille d’Avis de Lausanne, n°30, 6 février 1950. | |||
Feuille d’Avis de Lausanne, n°94, 24 avril 1950. | |||
Feuille d’Avis de Lausanne, n°100, 30 avril 1951. | |||
Feuille d’Avis d’Orbe et des environs, n°78, 1 octobre 1952. | |||
Feuille d’Avis de Vevey, n°182, 5 août 1950. | |||
Je vois tout – en famille, n°8, 22 février 1950. | |||
Journal de Genève, n°295, 16 décembre 1949. | |||
Journal de Genève, n°43, 20 février 1950. | |||
Journal de Genève, n°112, 13-14 mai 1950. | |||
La Suisse : Le journal du matin, n°324, 20 novembre 1949. | |||
La Suisse : Le journal du matin, n°350, 16 décembre 1949. | |||
La Suisse : Le journal du matin, n°47, 16 février 1950. | |||
La Suisse : Le journal du matin, 14 mars 1950. | |||
La Vie protestante, n°1, 6 janvier 1950. | |||
Le Courrier, n°343, 16 décembre 1949. | |||
Le Peuple, n°179, 5 août 1950. | |||
Le protestant, n°1, 15 janvier 1950. | |||
L’illustré, n°1, 5 janvier 1950. | |||
Nouvelle revue de Lausanne, n°149, 27 juin 1951. | |||
Pour tous, n°4, 24 janvier 1950. | |||
Radio Je vois tout, n°17, 26 avril 1956. | |||
Revue automobile, n°54, 22 décembre 1949. | |||
ROLLIER, Auguste, La cure de soleil, Paris, J.-B. Baillière, 1936. | |||
ROLLIER, Auguste, Une thérapeutique qui vise l’homme tout entier : ou les adjuvants de l’héliothérapie dans les cliniques du professeur Rollier à Leysin : 1903-1953, Leysin, Société des établissements héliothérapique, 1953. | |||
'''Littérature secondaire''' | |||
BARRAS, Vincent, « Rollier, Auguste », dans Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 23.05.2012. Online: https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/014593/2012-05-23/, consulté le 17.12.2023. | |||
BUACHE, Freddy, Le cinéma suisse, Lausanne, L’Âge d’Homme, 1974, pp. 82-87. | |||
CHAPPUIS, Philippe, « Sanatorium populaire neuchâtelois "Beau Site" à Leysin », dans notreHistoire.ch, version du 23.03.2021. Online : https://notrehistoire.ch/entries/xXYq4jp2Wrk, consulté le 17.12.2023. | |||
CORTI, Francesca, « Tuberculose », dans Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 07.12.2012, traduit de l’italien. Online: https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/007982/2012-12-07/, consulté le 16.12.2023. | |||
COSANDEY, Roland, « Duvanel, Charles-Georges », dans Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 05.07.2023. Online: https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/009158/2023-07-05/, consulté le 16.01.2024. | |||
DURUSSEL, Annette, « Passage du cinéaste : Les Papiers Charles-Georges Duvanel (1906-1975) », Revue historique vaudoise, vol.104, 1996, pp. 169-173. | |||
JAQUES, Pierre-Emmanuel, « Aspects documentaires : Charles-Georges Duvanel (1906-1975) », Décadrages, n°1-2, 2003, pp. 163-172. | |||
SENN, Hans, CERUTTI, Mauro, KREIS, Georg, MEIER, Martin, HUBLER, Lucienne, SCHWAB, Andreas Schwab, « Guerre mondiale, Deuxième », dans Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 11.01.2015, traduit de l’allemand. Online: https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/008927/2015-01-11/, consulté le 16.12.2023. | |||
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Version du 18 janvier 2024 à 16:01
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Titre :
Et la vie continue
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Durée :
17 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 35 mm
Langues d'origine :
Traduit :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Archives détentrices :
Générique principal
Contenus
Thèmes médicaux
- Aspects divers de la maladie, du patient et de l'intervention médicale
- Personnes et caractéristiques personnelles en pathologie. Caractéristiques du patient
- Séméiologie générale. Symptomatologie. Signes et symptômes. Examens. Diagnostic. Propédeutique
- Traitement
- Pathologie de l'appareil respiratoire. Affections des organes respiratoires
- Pathologie des organes locomoteurs. Système squelettique et locomoteur
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Oui.
- Cartons : Non.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.

