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« Une forme de dyspraxie infantile: la planotopokinésie » : différence entre les versions

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|Texte=Vincent est un enfant suivi par des professionnels de santé, notamment en calcul, depuis ses 6 ans. Il est atteint d'une forme de dyspraxie très particulière, la planotopokinésie. Cette pathologie induit de nombreux troubles de représentation dans l'espace selon ses différents plans dimensionnels, mais elle ne l'empêchera pas tout de même de réussir dans d'autres domaines, tel que le langage, au cours de sa scolarité.
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|Texte=Ces deux domaines sont présentés comme des outils indispensables pour comprendre et analyser les différents comportements et pathologies associés à un individu, quel que soit son âge. On nous met en exergue de multiples exercices proposés par différents professionnels de santé tels que des psychologues, docteurs ou encore rééducateurs spécialisés dans le calcul, qui permettent d'identifier les lacunes potentielles, ainsi que les acquis utiles au maintien psychologique de l'enfant. La prise en charge du trouble de Vincent a duré 3 ans, ce qui explique que la rééducation est longue et nécessite beaucoup d’efforts de la part du patient. Le corps médical doit savoir proposer une prise en charge adaptée au besoin du patient, demandant une grande adaptabilité en fonction des patients et de leurs troubles associés. Ici la rééducatrice n’est pas présentée comme une personne de premier abord froide et distante, mais comme une figure bienveillante et encourageante qui incite l’enfant à se dépasser. En effet, à plusieurs reprises dans le film, nous voyons Vincent sourire et s’impliquer pleinement dans les activités que lui propose le rééducateur.
Dans ce film, la promotion de la santé ainsi que la prévention ne sont pas mises en avant : le spectateur assiste simplement aux séances de rééducation du jeune Vincent. Cela peut être utile pour se faire une idée du déroulé d’une séance de rééducation, et se rendre compte de la diversité des exercices effectués par l’enfant. En revanche, permettre au spectateur d’observer les progrès de cet enfant au fur et à mesure du temps et de la rééducation, lui montre l’importance de la prise en charge dans ce genre de trouble. Ce film s’adresse davantage au corps médical. En effet, il peut être utile pour trouver des idées d’exercices de rééducation à effectuer dans ce même type de pathologie, notamment pour des praticiens néo-diplômés.
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Version du 29 février 2024 à 14:20



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Titre :
Une forme de dyspraxie infantile : la planotopokinésie
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Durée :
34 minutes
Format :
Muet - Noir et blanc - Super 8 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Archives détentrices :
Corpus :

Générique principal

Contenus

Thèmes médicaux

Sujet

La rééducation orthophonique de Vincent, un jeune enfant atteint d'une forme spécifique de dyspraxie

Genre dominant

Documentaire

Résumé

Vincent est un enfant suivi par des professionnels de santé, notamment en calcul, depuis ses 6 ans. Il est atteint d'une forme de dyspraxie très particulière, la planotopokinésie. Cette pathologie induit de nombreux troubles de représentation dans l'espace selon ses différents plans dimensionnels, mais elle ne l'empêchera pas tout de même de réussir dans d'autres domaines, tel que le langage, au cours de sa scolarité.

Contexte

Éléments structurants du film

  • Images de reportage : Oui.
  • Images en plateau : Non.
  • Images d'archives : Oui.
  • Séquences d'animation : Non.
  • Cartons : Non.
  • Animateur : Non.
  • Voix off : Non.
  • Interview : Non.
  • Musique et bruitages : Non.
  • Images communes avec d'autres films : Non.

Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?

Les différentes approches réalisées par la caméra nous proposent un focus particulier centré sur l’apprentissage ainsi que l’observation au préalable de Vincent. On y retrouve de nombreux gros plans, que ce soit au niveau de son visage pour remarquer toutes formes d'émotion, ou de ses mains pour mettre en évidence la tenue de son pinceau, stylo ainsi que la coordination de ses gestes. Les émotions ainsi perçues par l’enfant semblent nous parvenir au travers des différents exercices mis en place filmés les uns à la suite des autres. Nous pouvons alors suivre ses instants de réussite, d’échecs, mais aussi constater sa persévérance malgré la répétition de certaines tâches difficiles. Le regard du spectateur se fait également par beaucoup de plans rapprochés, lorsque nous voyons les professionnels de santé et Vincent côte à côte en train de travailler ensemble sur un même exercice. Cela nous permet de nous placer en tant qu’observateur expérimental, qui pourrait suivre l’apprentissage en action, par mimétismes et par démonstrations. Le spectateur se retrouve donc en situation de perpétuelle interaction avec l’enfant, ce qui peut presque l’inviter à s’approprier un “statut” de professionnel de santé, c’est-à-dire qu’il a l’impression de faire partie de cet univers médical.

Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?

Ces deux domaines sont présentés comme des outils indispensables pour comprendre et analyser les différents comportements et pathologies associés à un individu, quel que soit son âge. On nous met en exergue de multiples exercices proposés par différents professionnels de santé tels que des psychologues, docteurs ou encore rééducateurs spécialisés dans le calcul, qui permettent d'identifier les lacunes potentielles, ainsi que les acquis utiles au maintien psychologique de l'enfant. La prise en charge du trouble de Vincent a duré 3 ans, ce qui explique que la rééducation est longue et nécessite beaucoup d’efforts de la part du patient. Le corps médical doit savoir proposer une prise en charge adaptée au besoin du patient, demandant une grande adaptabilité en fonction des patients et de leurs troubles associés. Ici la rééducatrice n’est pas présentée comme une personne de premier abord froide et distante, mais comme une figure bienveillante et encourageante qui incite l’enfant à se dépasser. En effet, à plusieurs reprises dans le film, nous voyons Vincent sourire et s’impliquer pleinement dans les activités que lui propose le rééducateur. Dans ce film, la promotion de la santé ainsi que la prévention ne sont pas mises en avant : le spectateur assiste simplement aux séances de rééducation du jeune Vincent. Cela peut être utile pour se faire une idée du déroulé d’une séance de rééducation, et se rendre compte de la diversité des exercices effectués par l’enfant. En revanche, permettre au spectateur d’observer les progrès de cet enfant au fur et à mesure du temps et de la rééducation, lui montre l’importance de la prise en charge dans ce genre de trouble. Ce film s’adresse davantage au corps médical. En effet, il peut être utile pour trouver des idées d’exercices de rééducation à effectuer dans ce même type de pathologie, notamment pour des praticiens néo-diplômés.

Diffusion et réception

Où le film est-il projeté ?

- Congrès international sur l'écriture, Padoue-Trevise, novembre 1983 (exposé de Marguerite Auzias).
- Bilbao, janvier 1984, Cours du Prof. Ajuriaguerra intitulé "Une forme de dyspraxie infantile : la planotopokinésie, aspects sémiologiques et abord thérapeutique."
- Exposition du 19 au 23 février 1986, Vérone : Communication, geste, parole, Centro italiano stidi i ricerche in psicologia e psicomotricia.

Communications et événements associés au film

Public

- Contenu accessible aux personnes malentendantes - Adressé à un public mature

Audience

Descriptif libre

Références et documents externes

Contributeurs