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« L'infirmière » : différence entre les versions
De MedFilm PPRD
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Plan d’ensemble. L’infirmière marche dans le couloir du service, les bras chargés de boîtes. | Plan d’ensemble. L’infirmière marche dans le couloir du service, les bras chargés de boîtes. | ||
Retour au plan moyen. | Retour au plan moyen. L’intervieweur demande si une jeune infirmière passe obligatoirement par le service de nuit. La collègue de l’infirmière répond qu’elle est d’abord stagiaire durant deux semaines de jour afin se familiariser avec la vie du service, puis qu’elle effectue soit un an de nuit ou de ans de garde selon ce que décide le directeur. Elle-même a maintenant terminé sa garde de nuit et prendra la suivante le soir même à 21h. | ||
Autre plan moyen. La jeune infirmière entre dans une pièce où l’une de ses collègues vide le contenu d’une seringue dans un flacon posé sur le plateau supérieur d’un chariot. Elle-même y dépose un sachet, pose une question à sa collègue puis sort brièvement du champ de la caméra ? Elle repart ensuite avec un autre sachet après avoir échangé quelques mots avec sa collègue, laquelle continue son travail. | Autre plan moyen. La jeune infirmière entre dans une pièce où l’une de ses collègues vide le contenu d’une seringue dans un flacon posé sur le plateau supérieur d’un chariot. Elle-même y dépose un sachet, pose une question à sa collègue puis sort brièvement du champ de la caméra ? Elle repart ensuite avec un autre sachet après avoir échangé quelques mots avec sa collègue, laquelle continue son travail. | ||
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Zoom avant et plan rapproché poitrine. Un infirmière forme à la préparation de médicaments des élèves infirmières. Tenant un flacon dans les mains, elle leur pose plusieurs questions sur ce qu’elle doit faire. D’abord réaliser le « vide » donc l’absence d’air potentiellement pollué par des poussières ou des germes, puis inscrire les nom et prénom du malade, le numéro du lit, l’heure et le contenu du flacon. | Zoom avant et plan rapproché poitrine. Un infirmière forme à la préparation de médicaments des élèves infirmières. Tenant un flacon dans les mains, elle leur pose plusieurs questions sur ce qu’elle doit faire. D’abord réaliser le « vide » donc l’absence d’air potentiellement pollué par des poussières ou des germes, puis inscrire les nom et prénom du malade, le numéro du lit, l’heure et le contenu du flacon. | ||
Plan d’ensemble. Cinq élèves infirmières sont questionnées sur leur formation. | Plan d’ensemble. Cinq élèves infirmières sont questionnées sur leur formation. L’intervieweur, hors-champ, leur demande l’origine de leur surnom de « petites bleues ». L’un d’elles répond qu’elles sont en « première année » et qu’elles portent un insigne bleu. Il s’enquiert de savoir comment on devient élève. Zoom avant sur le visage d’une autre élève qui indique que le recrutement se fait sur titre après l’obtention du baccalauréat ou sur concours. La caméra se déplace ensuite sur sa voisine de droite qui répond à une question sur la durée et le contenu de la formation : 28 mois de cours théoriques en école avec des monitrices et des médecins, et pratiques « en stage à l’hôpital de Bondy » au sein d’une équipe soignante. Zoom arrière puis avant sur une troisième infirmière. L’interviewer demande si elles paient leurs études. Celle-ci répond qu’un contrat est signé, lequel les engage à travailler pendant cinq ans pour Assistance Publique – Hôpitaux de Paris avec remboursement d’études ou rachat de contrat dans le cas contraire. | ||
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Plan général, zoom avant, plans rapprochés poitrine puis à nouveau plan général. Les infirmières du service sont regroupées dans la salle de pause pour y boire le café. La première infirmière précise qu’elle essaient de se retrouver ainsi le matin, mais qu’elles ne sont jamais toutes là. | Plan général, zoom avant, plans rapprochés poitrine puis à nouveau plan général. Les infirmières du service sont regroupées dans la salle de pause pour y boire le café. La première infirmière précise qu’elle essaient de se retrouver ainsi le matin, mais qu’elles ne sont jamais toutes là. A l'intervieweur qui leur pose la question des conditions de travail, elle-même et l’une de ses collègues répondent que le personnel manque aussi mais que « ce n’est pas trop la bousculade », malgré les prises de sang, le petit-déjeuner et les comprimés à donner. Il lui demande si les journées sont similaires ou les imprévus nombreux. Elle explique que cela dépend des malades et que les entrants, « trois fois par semaine », sont prioritaires dans l’attribution des soins à leur arrivée par rapport aux autres malades. | ||
Zoom avant et plan rapproché poitrine. A la question de la satisfaction du travail posée par | Zoom avant et plan rapproché poitrine. A la question de la satisfaction du travail posée par l'intervieweur, le seul infirmier de l’équipe que c’est ce qu’ils recherchent dans la profession. Il ajoute qu’ils peuvent s’illusionner dans la relation avec le malade et « l’apport psychologique » qui devrait en être le corollaire, mais que les contraintes de temps les ramènent à la réalité de l’insuffisance de ces contacts. Un zoom arrière révèle le visage de profil de l'intervieweur. L’objectif de la caméra circule ensuite sur les visages des infirmières et s’arrête sur la première qui précise qu’elles doivent souvent réorienter les membres de la famille vers le médecin. | ||
Autre plan rapproché poitrine. | Autre plan rapproché poitrine. L'intervieweur en hors champ fait part à l’infirmier de son étonnement de le rencontrer dans ce métier. Celui-ci reconnaît que l’image du métier est féminine, mais il estime que ce n’est pas nécessairement le cas et considère qu’un homme peut aussi assumer les qualités demandées. Il revient sur les préjugés du métier, les infirmières supposées plus « maternelles » alors qu’il considère que le but n’est pas d’infantiliser les malades mais de leur rendre leur autonomie. | ||
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Plan fixe. L’horloge accrochée dans le couloir du service indique 3 heures. Plan panoramique, zoom avant et plan moyen. Depuis l’une des fenêtres d’une aile voisine, l’objectif de la caméra se déplace sur la façade du bâtiment dans lequel se trouve le service et s’arrête à une fenêtre où | Plan fixe. L’horloge accrochée dans le couloir du service indique 3 heures. Plan panoramique, zoom avant et plan moyen. Depuis l’une des fenêtres d’une aile voisine, l’objectif de la caméra se déplace sur la façade du bâtiment dans lequel se trouve le service et s’arrête à une fenêtre où l'intervieweur, vu de dos, demande à la première infirmière qui est face à lui si la modernité de l’hôpital change le travail. Elle estime ce confort bénéfique pour les malades et les infirmières. Zoom avant. A la question sur la similitude du travail avec celui d’un autre établissement, elle répond que les horaires et les soins sont identiques qu’ailleurs, mais que la modernité les facilite. Le journaliste lui demande ensuite de décrire son travail. Elle indique travailler dans un service de médecine, de jour entre 6 et 15h, ce qui « permet une vie familiale » que la coopération de son mari rend « vivable », à l’exception des week-ends. L’entretien se poursuit sur le contact avec les malades et l’esprit d’équipe, qui sont ce qui lui plait le plus dans son métier. Elle ne se voit pas travailler comme infirmière libérale, bien que son diplôme le lui permette, et l’hôpital lui « convient très bien ». Elle reconnait cependant que le travail est difficile, familialement par l’absence de week-ends et éreintant en lui-même, et elle avoue que la fatigue est souvent présente. | ||
Plan général. Une activité continue règne dans le couloir du service. | Plan général. Une activité continue règne dans le couloir du service. | ||
Plan panoramique. Le film se termine sur la sortie de la première infirmière de la garderie où elle a récupéré ses enfants après la fin de son service. L’objectif de la caméra la suit alors qu’elle se dirige vers la cité HLM où elle habite. | Plan panoramique. Le film se termine sur la sortie de la première infirmière de la garderie où elle a récupéré ses enfants après la fin de son service. L’objectif de la caméra la suit alors qu’elle se dirige vers la cité HLM où elle habite. | ||
Version du 11 mars 2024 à 11:36
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Titre :
L'infirmière
Série :
Pays de production :
Réalisation :
Durée :
27 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc -
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Générique principal
Contenus
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Non.
- Animateur : Non.
- Voix off : Non.
- Interview : Oui.
- Musique et bruitages : Non.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Emmanuel Nuss

