Amibe aérophage (Amoeba terricola)

Avertissement : cette fiche n'a pas encore été relue et peut se révéler incomplète ou inexacte.

Pour voir ce film dans son intégralité veuillez vous connecter.
Si vous rencontrez un problème d'affichage du film ou des sous-titres , veuillez essayer un autre navigateur.

Titre :

Amibe aérophage (Amoeba terricola)

Année de production :

1937

Pays de production :

France

Réalisation :

Pierre de Fonbrune
Jean Comandon

Durée :

9 minutes

Format :

Muet - Noir et blanc - 16 mm

Langues d'origine :

Français

Sous-titrage et transcription :

Sous-titrage

Sociétés de production :

Institut Pasteur

Archives détentrices :

Sorbonne-Nouvelle (CCEP)

Contenus

Genre dominant

Film de recherche

Résumé

Placées sur de la gélose puis recouvertes d'huile, des amibes aérophages sont observées au microscope, à vitesse normale puis accélérée. Les amibes aérophages se nourrissent de microbes mais, si on les recouvre d'huile, elles sont capables de l'ingérer. Elles rejettent ensuite la substance par gouttelettes qui ne fusionnent pas. A l'air libre, elles absorbent parfois une bulle gazeuse qui se dissout rapidement, faisant disparaitre l'eau dans laquelle s'agitent les microbes. Le "bol alimentaire" est déversé dans l'endoplasme, où il se disperse.

Contexte

Le film correspond à la période où, après sa collaboration avec Pathé et Albert Kahn, Comandon intègre l'Institut Pasteur (1932). Avec Pierre de Fonbrune, il travaille dans des laboratoires situés à Garches. La qualité de sa production culmine en 1939 avec Substitution du noyau chez une amibe. La réalisation du film est strictement didactique. Par un texte rédigé sur carton qui le précède, chaque plan est expliqué de manière scientifique. L'ensemble des cartons tient lieu de commentaire dans un cours.

Éléments structurants du film

• Images de reportage : Non.
• Images en plateau : Non.
• Images d'archives : Non.
• Séquences d'animation : Non.
• Cartons : Non.
• Animateur : Non.
• Voix off : Non.
• Interview : Non.
• Musique et bruitages : Non.
• Images communes avec d'autres films : Non.

Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?

Vues microcinématographiques pour détailler l'invisible à l'oeil nu : Comandon place son appareil dans le prolongement du microscope, et, sur fond noir, éclaire intensément des particules, qui à leur tour émettent une lumière dense permettant leur observation. Insertion de cartons explicatifs pour rendre pédagogique des images destinées à la recherche.

La réalisation du film est strictement didactique. Par un texte rédigé sur carton qui le précède, chaque plan est expliqué de manière scientifique. L'ensemble des cartons tient lieu de commentaire dans un cours.

Diffusion et réception

Où le film est-il projeté ?

Espaces scientifiques : congrès, colloques.

Public

Professionnels de la recherche