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« Autoportrait d'un schizophrène » : différence entre les versions
De MedFilm PPRD
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Une convention, rédigée le 5 février 1975, lie Sciencefilm, société de production, à la société Asclepios (nom inspiré d'un dieu grec de l'Antiquité tardive). Comme Michel Breitman et René Chatain sont cités en tant que représentants de cette de cette société, il est possible qu'Asclepios (domicilié 6 r. Penthièvre, VIIIe arrdt de Paris) soit une expression des laboratoires Sandoz. René Chatain, pharmacien qui a intégré les laboratoires Sandoz en 1945, est devenu l'un de ses responsables. A ce titre, il a "encouragé les initiatives originales de son service des relations publiques" dirigé par Michel Breitman (Thierry Lefebvre, "L'épopée de la Cinémathèque Sandoz" dans Revue d'histoire de la pharmacie, n°383, 2014, p. 394.) La même convention mentionne que les deux sociétés, Sciencefilm et Asclepios, s'engagent à produire "en co-production, dans un délai d'un an, un film de 16 mm, couleur, sonore, version française d'une durée de 25 minutes". En contrepartie de la participation d'Asclepios à la production (75000 francs HT en 3 versements), cette société acquiert "la totalité des droits cinématographiques du film pour la France, excepté les droits de télévision." En contrepartie de son apport de 77000 francs HT, Sciencefilm acquiert les droits cinématographiques "pour le monde entier excepté la France, ainsi que les droits de télévision pour la France". Le financement permet de couvrir, entre autres, la rémunération de l'équipe du film (réal + monteur + opérateur + électricien + op. son) et "des comédiens et figurants", du matériel technique (caméra et "magnétophone"), les "voyages et transports". | Une convention, rédigée le 5 février 1975, lie Sciencefilm, société de production, à la société Asclepios (nom inspiré d'un dieu grec de l'Antiquité tardive). Comme Michel Breitman et René Chatain sont cités en tant que représentants de cette de cette société, il est possible qu'Asclepios (domicilié 6 r. Penthièvre, VIIIe arrdt de Paris) soit une expression des laboratoires Sandoz. René Chatain, pharmacien qui a intégré les laboratoires Sandoz en 1945, est devenu l'un de ses responsables. A ce titre, il a "encouragé les initiatives originales de son service des relations publiques" dirigé par Michel Breitman (Thierry Lefebvre, "L'épopée de la Cinémathèque Sandoz" dans Revue d'histoire de la pharmacie, n°383, 2014, p. 394.) La même convention mentionne que les deux sociétés, Sciencefilm et Asclepios, s'engagent à produire "en co-production, dans un délai d'un an, un film de 16 mm, couleur, sonore, version française d'une durée de 25 minutes". En contrepartie de la participation d'Asclepios à la production (75000 francs HT en 3 versements), cette société acquiert "la totalité des droits cinématographiques du film pour la France, excepté les droits de télévision." En contrepartie de son apport de 77000 francs HT, Sciencefilm acquiert les droits cinématographiques "pour le monde entier excepté la France, ainsi que les droits de télévision pour la France". Le financement permet de couvrir, entre autres, la rémunération de l'équipe du film (réal + monteur + opérateur + électricien + op. son) et "des comédiens et figurants", du matériel technique (caméra et "magnétophone"), les "voyages et transports". | ||
Le film est écrit "en collaboration avec Didier-Jacques Duché, ci-dessous appelé le Collaborateur." Son titre initialement convenu était : "Autoportrait d'un schizophrène - le dit du schizophrène". Cette formulation insiste sur l'implication du malade dans son écriture. (Dossier de production Science film ''Autoportrait d'un schizophrène''- archives DHVS). | |||
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Version du 9 septembre 2024 à 20:28
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Titre :
Autoportrait d'un schizophrène
Série :
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Conseil scientifique :
Interprétation :
Durée :
22 minutes
Format :
Parlant - Couleur - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Commanditaires :
Archives détentrices :
Corpus :
Générique principal
Contenus
Thèmes médicaux
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Non.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Non.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Oui. La scène de la tête en cire qui fond (08'05-08'24) est tirée de la dernière séquence du film Le Monde du schizophrène (mais l'image est inversée)
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
- Subtitling Self-Portrait of a Schizophrenic
Script of an ERC Day presentation by Élisabeth Fuchs (September 2020). - Subtitling Self-Portrait of a Schizophrenic
PowerPoint of an ERC Day presentation by Élisabeth Fuchs (September 2020). - Self-Portrait Transcription-Translation
Self-Portrait ranscription and translation in parallel (Élisabeth Fuchs, September 2020).
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Joël Danet
- Transcription Français : Élisabeth Fuchs
- Sous-titres Anglais : Élisabeth Fuchs
- ↑ Cf. le témoignage de Gérard Leblanc, ancien directeur de la revue Médecine/Cinéma : « Il y avait des débats entre spécialistes. (…) Pour les généralistes, il s’agissait de grandes salles si possible, avec de grandes manifestations souvent accompagnées de cocktails, voire de repas. Parce que le film n’aurait peut-être pas suffi à faire déplacer un nombre suffisant de médecins. La soirée était donc complète, avec beaucoup de visiteurs médicaux pour encadrer tout ce monde. (…) (à propos de la diffusion de films dans les salles d’art et d’essai) : En tant que cinéphiles, Breitman et Gaspard brûlaient du désir que leurs films soient vus par d’autres spectateurs que les médecins (par une) projection dans les milieux cinéphiliques. (…) Les animateurs de la Cinémathèque Sandoz étaient très heureux de cela. Ils soutenaient auprès du laboratoire que l’image de Sandoz en sortirait valorisée et positivée. » - Thierry Lefebvre, « L’âge d’or du cinéma médical et l’aventure de Médecine/Cinéma. Entretien avec Gérard Leblanc » Société & Représentations, n°28/2, 2009, pp. 107-118

