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« Claude Bernard » : différence entre les versions
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Retour aux "coteaux du Beaujolais" et ses paysages de vignes pour évoquer les séjours que Claude Bernard continue d'y faire. Vues successives de la maison familiale accompagnées de la lecture d'extraits de ses écrits qui y sont relatifs. Par cette insistance sur le lien que Claude Bernard a noué avec sa région natale, et par son étrange développement sur les déboires conjugaux qu'il a affrontés, le film humanise le personnage autant qu'il contribue à son mythification. (11:50). | Retour aux "coteaux du Beaujolais" et ses paysages de vignes pour évoquer les séjours que Claude Bernard continue d'y faire. Vues successives de la maison familiale accompagnées de la lecture d'extraits de ses écrits qui y sont relatifs. Par cette insistance sur le lien que Claude Bernard a noué avec sa région natale, et par son étrange développement sur les déboires conjugaux qu'il a affrontés, le film humanise le personnage autant qu'il contribue à son mythification. (11:50). | ||
Fronton du Collège de France. Commentaire : "il retourne dans son laboratoire sombre et malsain où il doit travailler avec un manteau." Evocation de son activité d'enseignement sur les "effets des substances médicamenteuses" par la vue d'une affiche annonçant des séances de cours mis en place au Collège en 1856. Nouvelle vue sur son buste montré en gros plan qui permet de voir son visage aux traits tirés, son regard soucieux. "Il est alors à la plénitude de sa gloire". Les Goncourt, selon le commentaire, lui trouvaient une "belle tête d'apôtre scientifique". Nouvelle évocation de son attachement au Beaujolais où il retourne en septembre au moment des vendanges : il se transforme en "vigneron", ou plutôt, selon ses propos lus par un comédien, en seigneur terrien qui va inspecter les vendangeurs au travail dans ses vignes. Panoramiques répétés de manière ennuyeuse sur les plants de vigne, avec un piano qui mouline ses mélodies en roue libre. | Fronton du Collège de France. Commentaire : "il retourne dans son laboratoire sombre et malsain où il doit travailler avec un manteau." Evocation de son activité d'enseignement sur les "effets des substances médicamenteuses" par la vue d'une affiche annonçant des séances de cours mis en place au Collège en 1856. Nouvelle vue sur son buste montré en gros plan qui permet de voir son visage aux traits tirés, son regard soucieux. "Il est alors à la plénitude de sa gloire". Les Goncourt, selon le commentaire, lui trouvaient une "belle tête d'apôtre scientifique". Nouvelle évocation de son attachement au Beaujolais où il retourne en septembre au moment des vendanges : il se transforme en "vigneron", ou plutôt, selon ses propos lus par un comédien, en seigneur terrien qui va inspecter les vendangeurs au travail dans ses vignes. Panoramiques répétés de manière ennuyeuse sur les plants de vigne, avec un piano qui mouline ses mélodies en roue libre. (13:06) | ||
'''La rédaction de l'oeuvre''' | '''La rédaction de l'oeuvre''' | ||
Dernière version du 4 mars 2025 à 21:21
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Titre :
Claude Bernard
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Conseil scientifique :
Durée :
16 minutes
Format :
Parlant - Couleur - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Commanditaires :
Générique principal
Contenus
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Non.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Oui.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Oui.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.

