{{#widget:Qwant}}
« Vivre le SIDA » : différence entre les versions
De MedFilm PPRD
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
| Ligne 41 : | Ligne 41 : | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=Dans les années 1990 plusieurs films concernent la prévention contre le SIDA en Afrique, avec la coopération de la France pour leur production : ''Timya'' de Gilles Le Mao (1998, France-Mali), ''Le truc de Konaté'' (1998, France-Burkina Faso). D'autres films, dans ces mêmes années 90, orientent la prévention vers les populations issues de l'immigration d'Afrique Noire : ''SIDA, sauf votre respect'' (1995), ''Pour une prévention au féminin'', ''Une contamination secrète''(1997). | |Texte=Dans les années 1990 plusieurs films concernent la prévention contre le SIDA en Afrique, avec la coopération de la France pour leur production : ''Timya'' de Gilles Le Mao (1998, France-Mali), ''Le truc de Konaté'' (1998, France-Burkina Faso). D'autres films, dans ces mêmes années 90, orientent la prévention vers les populations issues de l'immigration d'Afrique Noire : ''SIDA, sauf votre respect'' (1995), ''Pour une prévention au féminin'', ''Une contamination secrète''(1997). | ||
}} | |||
|Lieu projection={{HTProj | |||
|Langue=fr | |||
|Texte=programme télévisé CRTS-radio television Cameroon | |||
}} | |||
|Public={{HTPub | |||
|Langue=fr | |||
|Texte=Tout public adulte | |||
}} | }} | ||
|Descriptif libre={{HTDesc | |Descriptif libre={{HTDesc | ||
| Ligne 52 : | Ligne 60 : | ||
'''Les explications du Pr. Luc Montagnier à l'Institut Pasteur''' | '''Les explications du Pr. Luc Montagnier à l'Institut Pasteur''' | ||
La voix du présentateur en off sur la photo d'un jeune homme : "6 octobre 1980, la chambre 616 de l'hôpital de Los Angeles aux Etats-unis. Un jeune homme de 27 ans, Dan Peters, présente des symptômes absolument incompréhensibles. Il n'a plus aucune défense immunitaire et présente des maladies étranges. C'est le SIDA, le plus terrible fléau de cette fin-de-siècle". Image numérique et dessin légendé du virus. Le commentaire ajoute qu'il tue des milliers de personnes par an, "bientôt des millions". Image en contreplongée de la façade de l'Institut Pasteur, puis travelling avant dans ses couloirs protocolaires, avec buste, lambris et tapis rouge. "Après des années de recherche, l'équipe française de Luc Montagnier et l'Institut Pasteur de Paris réussit, en 1983, à démasquer ce terrible virus". Entretien dans une salle de laboratoire avec le Pr. Luc Montagnier, désigné par une incrustation infographique comme "Chef de l'Unité d'Oncologie virale" : "l'Institut Pasteur a joué un rôle important dans l'identification du virus du SIDA. C'est dans ce laboratoire que le premier virus a été isolé". Selon le Pr. Montagnier, le SIDA est une "maladie complexe" qui nécessite la collaboration de virologistes, épidémiologistes, cliniciens et médecins. Il ajoute que des laboratoires travaillent sur les mécanismes de défense contre le virus par la combinaison d'anticorps et de cellules tueuses, d'autres travaillent sur la "grande variabilité génétique des virus" ou les "mécanismes de l'activation du virus" ou "la lutte contre sa réplicabilité". Plans de laborantins à l'oeuvre dans leurs locaux avec divers équipements, travellings dans les couloirs pour montrer l'activité de recherche comme une ruche. L'espoir reste "d'aboutir à de nouvelles thérapeutiques et éventuellement un vaccin". Les objectifs immédiats est d'empêcher les personnes infectées de tomber malades, ou de ralentir la contamination. (06:31) | La voix du présentateur en off sur la photo d'un jeune homme : "6 octobre 1980, la chambre 616 de l'hôpital de Los Angeles aux Etats-unis. Un jeune homme de 27 ans, Dan Peters, présente des symptômes absolument incompréhensibles. Il n'a plus aucune défense immunitaire et présente des maladies étranges. C'est le SIDA, le plus terrible fléau de cette fin-de-siècle". Image numérique et dessin légendé du virus. Le commentaire ajoute qu'il tue des milliers de personnes par an, "bientôt des millions". Image en contreplongée de la façade de l'Institut Pasteur, puis travelling avant dans ses couloirs protocolaires, avec buste, lambris et tapis rouge. "Après des années de recherche, l'équipe française de Luc Montagnier et l'Institut Pasteur de Paris réussit, en 1983, à démasquer ce terrible virus". Entretien dans une salle de laboratoire avec le Pr. Luc Montagnier, désigné par une incrustation infographique comme "Chef de l'Unité d'Oncologie virale" : "l'Institut Pasteur a joué un rôle important dans l'identification du virus du SIDA. C'est dans ce laboratoire que le premier virus a été isolé". Selon le Pr. Montagnier, le SIDA est une "maladie complexe" qui nécessite la collaboration de virologistes, épidémiologistes, cliniciens et médecins. Il ajoute que des laboratoires travaillent sur les mécanismes de défense contre le virus par la combinaison d'anticorps et de cellules tueuses, d'autres travaillent sur la "grande variabilité génétique des virus" ou les "mécanismes de l'activation du virus" ou "la lutte contre sa réplicabilité". Plans de laborantins à l'oeuvre dans leurs locaux avec divers équipements, travellings dans les couloirs pour montrer l'activité de recherche comme une ruche. L'espoir reste "d'aboutir à de nouvelles thérapeutiques et éventuellement un vaccin". Les objectifs immédiats est d'empêcher les personnes infectées de tomber malades, ou de ralentir la contamination. (06:31) | ||
'''Prévenir, accompagner : l'action associative''' | |||
Sur une affiche de prévention, puis sur une carte montrant les pays impliqués dans la lutte contre le SIDA, le commentaire de Jean Materne Dni reprend : "Peu importe que le virus soit d'origine française ou américaine, une mobilisation mondiale s'impose. Aujourd'hui plus de 150 pays ont leur programme de lutte contre le SIDA." Evocation de AIDES, association de solidarité née en France en 1984. Interview de Daniel Defert qu'une incrustation infographique présente comme "Fondateur Associations AIDES". Se tenant devant des affiches de prévention de l'association, il rappelle qu'à l'époque de sa fondation, "les gens atteints du SIDA étaient très peu nombreux", et que "la notion de séropositivité n'était pratiquement pas connue". Les malades connaissaient un "grand dénuement social, une grande solitude". Le corps médical qui "découvrait la maladie ne savait pas très bien prendre en charge leur soutien, et les familles et l'entourage des malades étaient tout à fait démunis." Ce constat a poussé daniel Defert à "créer un mouvement qui permettrait aux malades d'avoir une solidarité extérieure à leur entourage immédiat". Il fallait susciter une solidarité à | Sur une affiche de prévention, puis sur une carte montrant les pays impliqués dans la lutte contre le SIDA, le commentaire de Jean Materne Dni reprend : "Peu importe que le virus soit d'origine française ou américaine, une mobilisation mondiale s'impose. Aujourd'hui plus de 150 pays ont leur programme de lutte contre le SIDA." Evocation de AIDES, association de solidarité née en France en 1984. Interview de Daniel Defert qu'une incrustation infographique présente comme "Fondateur Associations AIDES". Se tenant devant des affiches de prévention de l'association, il rappelle qu'à l'époque de sa fondation, "les gens atteints du SIDA étaient très peu nombreux", et que "la notion de séropositivité n'était pratiquement pas connue". Les malades connaissaient un "grand dénuement social, une grande solitude". Le corps médical qui "découvrait la maladie ne savait pas très bien prendre en charge leur soutien, et les familles et l'entourage des malades étaient tout à fait démunis." Ce constat a poussé daniel Defert à "créer un mouvement qui permettrait aux malades d'avoir une solidarité extérieure à leur entourage immédiat". Il fallait susciter une solidarité à un moment où les malades n'osaient pas "dire leur diagnostic". A l'image, plaquettes et posters qui communiquent l'action d'AIDES. Defert poursuit son analyse : "cette maladie concerne notre vie privée ; on est toujours mal à l'aise pour parler de notre vie sexuelle et pour parler de la prévention. Nous pensons que la vie privée n'est pas seulement du ressort de l'Etat, elle est du ressort des gens eux-mêmes. La prévention est de la responsabilité de chacun." Affiches de prévention qui encouragent l'usage du préservatif en insistant sur l'importance de la décision personnelle pour qu'il soit intégré dans la vie sexuelle. Selon Defert, exclure le malade est aujourd'hui une conduite inadmissible. "Aucune conduite de peur n'est adaptée, il n'y a aucune transmission par le hasard, par la boisson, par les postillons, par les moustiques : la transmission, elle est sous notre responsabilité, sous celle des deux personnes engagées dans une relation amoureuse." (09:25) | ||
}} | }} | ||
|Notes complémentaires={{HTNotes | |Notes complémentaires={{HTNotes | ||
Version du 1 avril 2025 à 11:10
Avertissement : cette fiche n'a pas encore été relue et peut se révéler incomplète ou inexacte.
Pour voir ce film dans son intégralité veuillez vous connecter.
Si vous rencontrez un problème d'affichage du film ou des sous-titres , veuillez essayer un autre navigateur.
Titre :
Vivre le SIDA
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Intervenants :
Durée :
30 minutes
Format :
Parlant - Couleur - U-Matic
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Archives détentrices :
Corpus :
Générique principal
Contenus
Thèmes médicaux
- Pathologie du système uro-génital. Affections urinaires et génitales
- Maladies infectieuses et contagieuses, fièvres
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Oui.
- Images d'archives : Oui.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Non.
- Animateur : Oui.
- Voix off : Non.
- Interview : Oui.
- Musique et bruitages : Non.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Joël Danet

