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« Ecolier quand même » : différence entre les versions
De MedFilm PPRD
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|Texte=- En 1946, la loi autorise le financement de la prise en charge des enfants handicapés par la sécurité sociale. | |Texte=- En 1946, la loi autorise le financement de la prise en charge des enfants handicapés par la sécurité sociale. | ||
- En 1948, un avocat, père d'un enfant handicapé, crée une véritable association, capable de générer un mouvement à la dimension des problèmes auxquels les familles sont confrontées. L’Association lyonnaise des parents d’enfants retardés et inadaptés, l’ALPERI. | - En 1948, un avocat, père d'un enfant handicapé, crée une véritable association, capable de générer un mouvement à la dimension des problèmes auxquels les familles sont confrontées. L’Association lyonnaise des parents d’enfants retardés et inadaptés, l’ALPERI. | ||
- Dans les années 60, des parents militent pour revendiquer la création de structures pour les enfants POLY-HANDICAPES ou MULTI-HANDICAPES( HANDAS) | - Dans les années 60, des parents militent pour revendiquer la création de structures pour les enfants POLY-HANDICAPES ou MULTI-HANDICAPES( HANDAS) | ||
- En 1975, une loi est défendue devant l'Assemblée Nationale par Simone Veil et adoptée le 30 juin 1975. Cette loi exprime deux idées fortes. La première est que la prise en charge des personnes handicapées est une obligation nationale. La seconde, est que l'enfant handicapé a droit à l'éducation et aux soins. Création de la CDES (Commission Départementale de l'Education Spéciale). Cette loi est donc synonyme d'obligation éducative. Tous les enfants handicapés doivent aller à l'école, la CDES se chargera d'associer actions pédagogiques, sociales, médicales et paramédicales. | - En 1975, une loi est défendue devant l'Assemblée Nationale par Simone Veil et adoptée le 30 juin 1975. Cette loi exprime deux idées fortes. La première est que la prise en charge des personnes handicapées est une obligation nationale. La seconde, est que l'enfant handicapé a droit à l'éducation et aux soins. Création de la CDES (Commission Départementale de l'Education Spéciale). Cette loi est donc synonyme d'obligation éducative. Tous les enfants handicapés doivent aller à l'école, la CDES se chargera d'associer actions pédagogiques, sociales, médicales et paramédicales. | ||
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Ramassage scolaire et arrivée à l'école (0:40 à 1:48) | |||
Ramassage scolaire des enfants handicapés moteurs par bus (places limitées). Voix off qui explique ce que l’on voit à l’image. | |||
On voit une mère descendre les escaliers avec son fils dans les bras pour l’amener au car scolaire qui les attend en face de la maison. dans ce car on y voit le chauffeur ainsi qu’une dame (qui est une monitrice). C’est elle qui va installer le petit garçon et l’attacher à son siège. on voit le car s’éloigner (plan fixe). puis on voit plusieurs petits garçons à l’intérieur de ce car en train de parler, de rigoler et de s’amuser. Le réalisateur nous montre une scène tout à fait banale mais qui a son importance. Cette scène nous montre que ce ne sont que des petits garçons comme les autres, malgré leur handicap moteur. La voix off nous informe que ces enfants se rendent dans une école normale mais qu’ils ont besoin d’une assistance et d’une surveillance pour y aller. | On voit une mère descendre les escaliers avec son fils dans les bras pour l’amener au car scolaire qui les attend en face de la maison. dans ce car on y voit le chauffeur ainsi qu’une dame (qui est une monitrice). C’est elle qui va installer le petit garçon et l’attacher à son siège. on voit le car s’éloigner (plan fixe). puis on voit plusieurs petits garçons à l’intérieur de ce car en train de parler, de rigoler et de s’amuser. Le réalisateur nous montre une scène tout à fait banale mais qui a son importance. Cette scène nous montre que ce ne sont que des petits garçons comme les autres, malgré leur handicap moteur. La voix off nous informe que ces enfants se rendent dans une école normale mais qu’ils ont besoin d’une assistance et d’une surveillance pour y aller. | ||
De nouveau un plan qui montre le car vu de l’extérieur afin de nous montrer l'arrivée et la descente de ces enfants. “c’est une école comme une autre, mais pourtant, elle n’est pas tout à fait comme les autres”. car cette école accueille et instruit les enfants handicapés physiques. Nous pouvons observer, au moment où cette phrase est prononcée, les enfants, dans la cour, en train de se diriger vers leur salle de classe. Pour créer des classes spécialisées, services publics, collectivités locales et associations privées ont dû travailler ensemble. Un peu après, on apprend que la concrétisation de ce projet n’est possible que grâce à la participation financière de la sécurité sociale, aux caisses d’allocations familiales, aux caisses de l'assurance maladie et de l’aide sociale. | De nouveau un plan qui montre le car vu de l’extérieur afin de nous montrer l'arrivée et la descente de ces enfants. “c’est une école comme une autre, mais pourtant, elle n’est pas tout à fait comme les autres”. car cette école accueille et instruit les enfants handicapés physiques. Nous pouvons observer, au moment où cette phrase est prononcée, les enfants, dans la cour, en train de se diriger vers leur salle de classe. Pour créer des classes spécialisées, services publics, collectivités locales et associations privées ont dû travailler ensemble. Un peu après, on apprend que la concrétisation de ce projet n’est possible que grâce à la participation financière de la sécurité sociale, aux caisses d’allocations familiales, aux caisses de l'assurance maladie et de l’aide sociale. | ||
Version du 10 avril 2025 à 15:01
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Titre :
Écoliers quand même
Série :
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Durée :
11 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Commanditaires :
Corpus :
Générique principal
Contenus
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Non.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Oui.
- Musique et bruitages : Non.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre

