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« Les soignants » : différence entre les versions
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|Résumé={{HTRés | |Résumé={{HTRés | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte= | |Texte=Le film insiste en premier lieu sur les capacités techniques que le personnel infirmier doit acquérir pour seconder efficacement le travail des médecins dans des hôpitaux de plus en plus équipés. A l'occasion de la retransmission d'une opération à coeur ouvert réalisée par le Pr. Dubost dans l'hôpital Broussais, avec l'assistance du Pr. Pijnica, le documentaire insiste sur le rôle capital que tient le personnel infirmier pendant un acte chirurgical, notamment l'infirmière qui assure l'entretien du coeur artificiel et l'infirmière panseuse qui assure "l'instrumentation". | ||
Pour le Pr. Milliez et d'autres médecins, il manque beaucoup d'infirmiers et ceux-ci manquent de considération. Des infirmières se plaignent de passer trop de temps à du "nursing" et pas suffisamment pour les tâches où elles sont spécialisées. Le Dr. Alliaux, sous-directeur à Versailles, le Dr. Bélier, directeur de Cochin, le Dr. Albout soutiennent leurs revendications et se plaignent de leur sous-effectif. <br> | |||
}} | }} | ||
|Contexte={{HTCont | |Contexte={{HTCont | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=''La formation des infirmières'' | |Texte=''L'hôpital en 1967''<br> | ||
L’effort d’équipement et de création d’infrastructures hospitalières a permis de préciser les attributions de l’hôpital. Il accueille des populations très hétérogènes : individus accidentés (en particulier des accidentés de la route), personnes atteintes de maladies graves (cancer, maladies chroniques, maladies dégénératives, etc.), et enfin de très nombreux patients qui viennent consulter des spécialistes à l’hôpital et subir des examens plus approfondis. L’hôpital accueille également les femmes sur le point d’accoucher ou des personnes âgées dont l’état général exige des soins constants. L’hôpital est devenu le lieu où l’on naît et celui où l’on meurt. Pour autant, la fonction asilaire n’a pas disparu. Certes, l’hôpital n’est plus un lieu d’enfermement comme l’a décrit Michel Foucault, mais il continue à accueillir des individus marginalisés par leur état de santé psychique ou physique. Et l’hôpital est aussi devenu au cours des dernières décennies un lieu de substitution à la médecine générale ou à la pédiatrie pour des populations dont le rapport à la maladie et au soin a considérablement changé. Les services d’urgences sont devenus le réceptacle des misères sociales et morales, en particulier dans les grandes villes. | |||
''La formation des infirmières'' | |||
Jusqu’à la fin du XIXe siècle, soigner est un art essentiellement pratiqué par les religieuses. Dès le XIIIe siècle, les soeurs augustines s’occupent des malades de l’Hôtel-Dieu. Elles représentent l’une des principales congrégations religieuses hospitalières actives dans les hôpitaux de la Charité, Beaujon (dans sa première implantation à Paris), Lariboisière et Saint- Louis. Les religieuses vouent leur vie aux soins apportés aux malades, traités essentiellement sous l’angle de la santé spirituelle. Le mouvement de laïcisation amorcé en 1878 amène au départ progressif des religieuses des hôpitaux, où elles n’occupent généralement plus que les postes de surveillance. Sont alors formées de véritables professionnelles laïques pour une prise en charge médicale des malades et pour leur prodiguer les soins nécessaires à leur guérison.<br> | Jusqu’à la fin du XIXe siècle, soigner est un art essentiellement pratiqué par les religieuses. Dès le XIIIe siècle, les soeurs augustines s’occupent des malades de l’Hôtel-Dieu. Elles représentent l’une des principales congrégations religieuses hospitalières actives dans les hôpitaux de la Charité, Beaujon (dans sa première implantation à Paris), Lariboisière et Saint- Louis. Les religieuses vouent leur vie aux soins apportés aux malades, traités essentiellement sous l’angle de la santé spirituelle. Le mouvement de laïcisation amorcé en 1878 amène au départ progressif des religieuses des hôpitaux, où elles n’occupent généralement plus que les postes de surveillance. Sont alors formées de véritables professionnelles laïques pour une prise en charge médicale des malades et pour leur prodiguer les soins nécessaires à leur guérison.<br> | ||
Version du 28 avril 2025 à 15:09
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Titre :
Les soignants
Série :
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Intervenants :
Durée :
37 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Archives détentrices :
Générique principal
Contenus
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Oui.
- Animateur : Oui.
- Voix off : Oui.
- Interview : Oui.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Joël Danet

