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« Ecolier quand même » : différence entre les versions
De MedFilm PPRD
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'''Adaptation des établissements normaux à l'accueil d'élèves handicapés'''<br> | '''Adaptation des établissements normaux à l'accueil d'élèves handicapés'''<br> | ||
Plan américain : Sergio debout en train de taper à la machine à écrire avec seulement une main. La | Plan américain : Sergio debout en train de taper à la machine à écrire avec seulement une main dont les doigts paraissent très tendus et peu indépendants les uns des autres. La voix off souligne que ce qui diffère dans l’apprentissage des enfants handicapés, c’est le temps nécessaire pour accomplir une tâche donnée, tandis que la caméra fait un gros plan sur la main du garçon qui est en train de taper à la machine avec lenteur. Le clavier de la machine est équipé d'un guide-doigts pour améliorer la précision dactylographique. Plusieurs plans rapprochés montrent les enfants et leurs “appareillages adaptés”. Ces installations adaptées permettent à l’élève de réduire la fatigue et de poursuivre au mieux le travail scolaire. Le reportage montre par exemple un fauteuil roulant ou encore un élève en train de porter un appareil auditif ou une sorte d'amplificateur à son oreille. Plan panoramique sur la classe, qui s’arrête sur un élève, puis gros plan sur cet élève. La création des classes spécialisées à l’intérieur des établissements scolaires normaux est due aux mélanges des soins et de l’enseignement, à la lenteur d'exécution des tâches physiques et au retard scolaire dû à l’absence de toute scolarisation. <br> | ||
plan américain: un élève dans ce qui semble être une salle de soins. Cet élève est allongé et semble être en pleine séance avec ce qui semble être un kinésithérapeute ou ostéopathe. Un soignant en blouse lui fait effectuer des mouvements avec sa jambe gauche (il la fait plier et tendre). Le soignant s’occupe aussi de masser la cheville, et le pied, d’un des élèves. Il répète les mouvements sur la jambe du garçon, mais cette fois, ce dernier se trouve dans un bain, peut-être afin de faciliter les mouvements imposés par le soignant. La journaliste précise qu’il est important de combiner soins et cours mais qu’il ne faut pas qu’un des deux entrave l’autre. Dans l’école, les enfants sont entourés d’un personnel de rééducation et d’encadrement spécialisé. Chaque enfant a un jour et une heure fixe dans la semaine afin de recevoir son traitement approprié. L’élève y va seul, ou accompagné de la monitrice. Ainsi, les élèves apprennent à gérer leur handicap avec autonomie. La monitrice apparaît d’ailleurs à l’écran, en train de rapprocher une sorte de déambulateur à un élève afin de l’aider à se lever et à marcher pour aller recevoir son traitement. Cette école permet aussi aux élèves, qui en ont besoin, de recevoir une rééducation du langage. La journaliste prononce cette phrase au moment où l’on voit apparaître un enfant en train de remettre son appareil auditif. Le plan s’élargit et l’on peut découvrir que cet élève atteint de surdité bénéficie de la rééducation du langage proposée par l’établissement. Il apparaît au côté d’une jeune femme (orthophoniste ?) qui lui fait lire des phrases contenant le son [∫] et qui le reprend d’ailleurs sur un mot, puis qui le fait inventer une phrase contenant ce mot. Nous supposons que les retards de langage sont traités avec attention puisque mieux les enfants s'expriment, mieux ils s'intègrent à la société. Plan fixe : Retour dans la salle de classe. On observe tous les enfants en capacité de se lever, se lever, et un enfant reste assis. On change de point de vue et on voit un des enfants pousser le fauteuil roulant de son camarade. A l’heure du déjeuner, plutôt que de rentrer chez eux, les enfants mangent à l’école afin de diminuer la fatigue et gagner du temps sur les déplacements. Plan fixe : les enfants sont en train de manger. une monitrice aide un enfant à manger. L'école met donc en place plusieurs moyens pour favoriser le bien-être de ces enfants au quotidien. (05:47) | plan américain: un élève dans ce qui semble être une salle de soins. Cet élève est allongé et semble être en pleine séance avec ce qui semble être un kinésithérapeute ou ostéopathe. Un soignant en blouse lui fait effectuer des mouvements avec sa jambe gauche (il la fait plier et tendre). Le soignant s’occupe aussi de masser la cheville, et le pied, d’un des élèves. Il répète les mouvements sur la jambe du garçon, mais cette fois, ce dernier se trouve dans un bain, peut-être afin de faciliter les mouvements imposés par le soignant. La journaliste précise qu’il est important de combiner soins et cours mais qu’il ne faut pas qu’un des deux entrave l’autre. Dans l’école, les enfants sont entourés d’un personnel de rééducation et d’encadrement spécialisé. Chaque enfant a un jour et une heure fixe dans la semaine afin de recevoir son traitement approprié. L’élève y va seul, ou accompagné de la monitrice. Ainsi, les élèves apprennent à gérer leur handicap avec autonomie. La monitrice apparaît d’ailleurs à l’écran, en train de rapprocher une sorte de déambulateur à un élève afin de l’aider à se lever et à marcher pour aller recevoir son traitement. Cette école permet aussi aux élèves, qui en ont besoin, de recevoir une rééducation du langage. La journaliste prononce cette phrase au moment où l’on voit apparaître un enfant en train de remettre son appareil auditif. Le plan s’élargit et l’on peut découvrir que cet élève atteint de surdité bénéficie de la rééducation du langage proposée par l’établissement. Il apparaît au côté d’une jeune femme (orthophoniste ?) qui lui fait lire des phrases contenant le son [∫] et qui le reprend d’ailleurs sur un mot, puis qui le fait inventer une phrase contenant ce mot. Nous supposons que les retards de langage sont traités avec attention puisque mieux les enfants s'expriment, mieux ils s'intègrent à la société. Plan fixe : Retour dans la salle de classe. On observe tous les enfants en capacité de se lever, se lever, et un enfant reste assis. On change de point de vue et on voit un des enfants pousser le fauteuil roulant de son camarade. A l’heure du déjeuner, plutôt que de rentrer chez eux, les enfants mangent à l’école afin de diminuer la fatigue et gagner du temps sur les déplacements. Plan fixe : les enfants sont en train de manger. une monitrice aide un enfant à manger. L'école met donc en place plusieurs moyens pour favoriser le bien-être de ces enfants au quotidien. (05:47) | ||
Version du 14 mai 2025 à 14:18
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Titre :
Écoliers quand même
Série :
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Durée :
11 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Commanditaires :
Corpus :
Générique principal
Contenus
Thèmes médicaux
- Fonctions motrices. Organes locomoteurs. Voix. Tégument
- Défauts structurels du développement. Difformités physiologiques. Malformations. Hémitérate. Organes atrophiés ou hypertrophiés. Monstres. Anormalités
- Pathologie des organes locomoteurs. Système squelettique et locomoteur
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Non.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Oui.
- Musique et bruitages : Non.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Lisa Risser, Malicia Samiez

