{{#widget:Qwant}}
« Let there be light » : différence entre les versions
De MedFilm PPRD
Aucun résumé des modifications |
(Enregistré en utilisant le bouton « Enregistrer et continuer » du formulaire) |
||
| Ligne 68 : | Ligne 68 : | ||
|Présentation médecine={{HTPrés | |Présentation médecine={{HTPrés | ||
|Langue=fr | |Langue=fr | ||
|Texte=Le personnel soignant est présenté comme une entité compétente qui maîtrise les outils de la psychiatrie moderne : la caméra filme le thérapeute dans une perspective de valorisation de son savoir-faire, mettant l’accent sur sa parole, ses gestes, ses interactions avec les patients, ainsi que sur l’emploi de diverses méthodes (test de Rorschach, hypnose, thérapie de groupe, ergothérapie, etc.). Ses compétences et leur mise en pratique supplantent dès lors son individualité et son identité, lesquelles ne jouent pas un rôle essentiel dans le cadre du film (la voix | |Texte=Le personnel soignant est présenté comme une entité compétente qui maîtrise les outils de la psychiatrie moderne : la caméra filme le thérapeute dans une perspective de valorisation de son savoir-faire, mettant l’accent sur sa parole, ses gestes, ses interactions avec les patients, ainsi que sur l’emploi de diverses méthodes (test de Rorschach, hypnose, thérapie de groupe, ergothérapie, etc.). Ses compétences et leur mise en pratique supplantent dès lors son individualité et son identité, lesquelles ne jouent pas un rôle essentiel dans le cadre du film (la voix de commentaire ne donne d’ailleurs pas les noms du personnel soignant). La maladie et le récit des malades sont alors privilégiés, le soignant ayant comme mission de guider ces soldats sur le chemin de la guérison. | ||
Les patients sont présentés comme des hommes meurtris par les horreurs de la guerre (« the names and the places are different, the circumstances are different. But through all the stories runs one thread – death and the fear of death »). Leur vie personnele est placée au cœur du récit, renforçant l’identification du spectateur grâce à un ensemble d’éléments familiers comme la visite de leurs proches. | Les patients sont présentés comme des hommes meurtris par les horreurs de la guerre (« the names and the places are different, the circumstances are different. But through all the stories runs one thread – death and the fear of death »). Leur vie personnele est placée au cœur du récit, renforçant l’identification du spectateur grâce à un ensemble d’éléments familiers comme la visite de leurs proches. | ||
Version du 26 août 2025 à 14:40
Si vous rencontrez un problème d'affichage du film ou des sous-titres , veuillez essayer un autre navigateur.
Titre :
Let there be light
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Durée :
58 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 35 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Archives détentrices :
Corpus :
Générique principal
Contenus
Thèmes médicaux
- Traumatismes. Lésions. Blessures
- Processus régressifs et réparateurs
- Troubles nerveux
- Aspects divers de la maladie, du patient et de l'intervention médicale
- Séméiologie générale. Symptomatologie. Signes et symptômes. Examens. Diagnostic. Propédeutique
- Traitement
- Psychiatrie. Pathologies psychiatriques. Psychopathologie. Phrénopathies. Psychoses. Anomalies mentales. États psychiques et mentaux morbides. Désordres émotionnels et comportementaux
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Oui.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Audrey Beeler
- Transcription Anglais : Séverine George, William Sabot
- Sous-titres Français : Harry Freyburger

