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« Let there be light » : différence entre les versions
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|Texte=Ce film fait partie d'un vaste corpus de films consacrés aux troubles psychologiques et psychiatriques des soldats tournés par la ''Navy'' ou d'autres divisions de l'armée américaine dans les années 1940 et 1950. | |Texte=''Production du film''<br> | ||
Ce film fait partie d'un vaste corpus de films consacrés aux troubles psychologiques et psychiatriques des soldats tournés par la ''Navy'' ou d'autres divisions de l'armée américaine dans les années 1940 et 1950. | |||
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[[Combat Psychiatry - The Division Psychiatrist]] (1954) | [[Combat Psychiatry - The Division Psychiatrist]] (1954) | ||
Ce film fait partie d’un corpus filmiques traitant des troubles psychologiques et psychiatriques des soldats mandatés par la Navy ou d’autres divisions de l’armée américaine dans les années 1940 et 1950. En effet, après les bombardements de Pearl Harbour en 1941, les forces armées prennent la décision de commissionner des professionnels de l’industrie cinématographique pour produire plusieurs types de documentaires destinés à la fois, à l’éducation de leurs enrôlés et du grand public, mais aussi à entretenir le soutien civil pour « l’effort de guerre » . Deux sections au sein de l’armée seront créées dans ce but : la First Motion Picture Unit, qui appartient à l’armée de l’air, ainsi que le Signal Corps Army Pictorial Service. Le réalisateur John Huston, appelé à faire partie de la sélection des cinéastes militaires, produira alors trois films documentaires pour l’armée : ''Report from the Aleutians'' en 1943, ''The Battle of San Pietro'' en 1945, ainsi que ''Let There Be Light'' en 1946. | |||
''La prise en charge psychiatrique en 1946''<br> | |||
Le psychiatre (le colonel Benjamin Simon, directeur de l’hôpital) est désigné comme un médecin de l’esprit qui pratique la psychothérapie à travers la cure par la parole, mais qui administre aussi à ses patients des médicaments pour les calmer ou les faire parler, le choc nerveux induisant des amnésies passagères que la narcothérapie permet de débloquer. Découvert au début des années 1930 le sodium amytal ou sodium penthotal permet de provoquer un état dans lequel le patient est plus relaxé et communicatif. Appelée aussi l’ivresse au pentothal ou l’hypnose chimique, cette substance agit comme une sorte de sérum de vérité induisant une relaxation du système nerveux central (mise en veille du cerveau), une hypotonie musculaire (ralentissements de mouvements) et une dépression respiratoire (ralentissements des mouvements respiratoires). Utilisé dans le contexte de conflits militaires pour obtenir des informations d’un sujet non consentant, comme les prisonniers des armées ennemies, la narcosynthèse est créditée dans le cinéma d’une efficacité magique puisqu’elle offre la possibilité de faire dire la vérité à des sujets qui la dissimulent ou qui l’ont oubliée suite à un choc nerveux. Dans la réalité, les études montrent que l’information obtenue sous l’effet de cette drogue chimique n’est pas fiable puisque le sujet interrogé mélange souvent faits réels et imaginaires, sans compter que chaque individu réagit différemment au produit selon sa sensibilité. | |||
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Version du 26 août 2025 à 14:43
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Titre :
Let there be light
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Durée :
58 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 35 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Archives détentrices :
Corpus :
Générique principal
Contenus
Thèmes médicaux
- Traumatismes. Lésions. Blessures
- Processus régressifs et réparateurs
- Troubles nerveux
- Aspects divers de la maladie, du patient et de l'intervention médicale
- Séméiologie générale. Symptomatologie. Signes et symptômes. Examens. Diagnostic. Propédeutique
- Traitement
- Psychiatrie. Pathologies psychiatriques. Psychopathologie. Phrénopathies. Psychoses. Anomalies mentales. États psychiques et mentaux morbides. Désordres émotionnels et comportementaux
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Oui.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Références et documents externes
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Audrey Beeler
- Transcription Anglais : Séverine George, William Sabot
- Sous-titres Français : Harry Freyburger

