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« Enregistrement et reproduction des sons » : différence entre les versions
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''Le CNAM et André Didier''<br> | ''Le CNAM et André Didier''<br> | ||
La mission du CNAM, développée et établie au cours du xixe siècle, consiste à la fois à assurer une formation technique supérieure pour des professionnels de tous niveaux et promouvoir l’innovation et les sciences dans leurs applications industrielles. André Didier, auteur du film, a mis en oeuvre cette mission tout au long d’une carrière qu’il commence en 1934 comme préparateur adjoint à la chaire de physique générale, dirigée alors par le professeur Jules Lemoine, et qu’il poursuit au sein du Centre de production des films scientifiques et techniques de l’établissement, puis dans la chaire de technique d’enregistrement, de transmission et de reproduction du son et des images », comme aide technique du CNRS d’abord, ingénieur « chef de travaux » ensuite, et enfin professeur titulaire de chaire.<br> | |||
Dans les années 1920, le CNAM devient le lieu éphémère d’un cinéma savant, fait dans et pour les laboratoires, qu’ils soient scientifiques ou industriels. Didier y expérimente les techniques d’enregistrement du son et des images. Il collabore avec Marc Cantagrel, réalisateur du film, grâce à l’intermédiaire de Jules Lemoine. Il participe à la réalisation de deux films (''Le gyroscope'' et ''La force centrifuge''), puis, au sein du Centre de production de films scientifiques, il se forme à la prise de vues, assure l’entretien des appareils et réalise plusieurs films pour des entreprises. Il travaille aussi au perfectionnement d’un amphithéâtre du Cnam dans lequel est expérimenté l’emploi de techniques audiovisuelles à des fins pédagogiques.<br> | |||
EN 1946, André Debrie remplace Gaumont au conseil de perfectionnement du Cnam. Painlevé, cependant, met en place la Commission supérieure technique (CST), dont les missions recoupent celles du conservatoire. (Cf. Robert Nardone, Loïc Petitgirard et Catherine Radtka, "Du Conservatoire national des arts et métiers à la mission ethnographique Ogooué-Congo, et retour - André Didier et l’expérimentation technique", ''Revue d'Histoire des Sciences Humaines'', p. 65-91). | |||
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Version du 19 septembre 2025 à 09:33
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Titre :
Enregistrement et reproduction des sons
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Conseil scientifique :
Durée :
16 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Archives détentrices :
Générique principal
Contenus
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Non.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Oui.
- Cartons : Oui.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Références et documents externes
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Joël Danet

