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« La relaxation » : différence entre les versions
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Nouvelle séquence d'animation, cette fois avec des objets assemblés sur des fonds peints. Un commentaire parlé intervient dans la bande son. Sur une planche sont collés ensemble les symboles des cinq sens : un oeil, une bouche, un nez, une oreille, une main. "Résoudre toutes les tensions anormales dans le système nerveux, tel est le but essentiel du training autogène." Dézoom, en fond de champ apparaît un curieux assemblage totémique représentant la "substance réticulée" du tronc cérébral, reliée à la figuration des sens par des fils sur lesquels des billes se déplacent, lesquelles mettent en lumière les différentes zones qu'elles atteignent. Description de l'activité sensori-motrice normale "des afférences sensorielles qui acheminent les stimuli vers le talamus et du talamus à la substance réticulée." Gros plan sur la "substance réticulée", description du fonctionnement cérébral quand la relaxation se produit : les billes ont cessé de circuler. "Les stimuli sensoriels sont réduits au minimum et le sujet est pour ainis dire 'déconnecté' du monde extérieur." Cependant, ajoute le commentaire, le "champ de la conscience est occupé par des fantasmes somatiques et viscéraux." Apparitions de nouvelles formes plastiques pour figurer les organes mis en jeu par la relaxation. Figuration des muscles et de l'organe tendineux de Golgi, chaque fois reliés par des fils. "Les techniques de relaxation ont pour effet d'abaisser le seuil d'excitabilité des fuseaux neuro-musculaires". Figuration de l'appareil cardio-vasculaire : la relaxation a des effets bénéfiques sur l'hypertension artérielle, les crampes, les bouffées de chaleur, les migraines "et autres troubles cardio-névrotiques". Figuration des poumons pour décrire les effets de la relaxation sur les troubles respiratoires (bronchite et tuberculose pulmonaire), figuration de l'estomac pour décrire les effets sur les dyspepsies fonctionnelles et les coliques spasmodiques. "Enfin, ajoute le commentaire, une place très importante doit être réservée sur els manifestations d'hyper-émotivité et d'angoisse mineure, aux insomnies, et à des troubles névrotiques encore réversibles." (07:41)<br> | Nouvelle séquence d'animation, cette fois avec des objets assemblés sur des fonds peints. Un commentaire parlé intervient dans la bande son. Sur une planche sont collés ensemble les symboles des cinq sens : un oeil, une bouche, un nez, une oreille, une main. "Résoudre toutes les tensions anormales dans le système nerveux, tel est le but essentiel du training autogène." Dézoom, en fond de champ apparaît un curieux assemblage totémique représentant la "substance réticulée" du tronc cérébral, reliée à la figuration des sens par des fils sur lesquels des billes se déplacent, lesquelles mettent en lumière les différentes zones qu'elles atteignent. Description de l'activité sensori-motrice normale "des afférences sensorielles qui acheminent les stimuli vers le talamus et du talamus à la substance réticulée." Gros plan sur la "substance réticulée", description du fonctionnement cérébral quand la relaxation se produit : les billes ont cessé de circuler. "Les stimuli sensoriels sont réduits au minimum et le sujet est pour ainis dire 'déconnecté' du monde extérieur." Cependant, ajoute le commentaire, le "champ de la conscience est occupé par des fantasmes somatiques et viscéraux." Apparitions de nouvelles formes plastiques pour figurer les organes mis en jeu par la relaxation. Figuration des muscles et de l'organe tendineux de Golgi, chaque fois reliés par des fils. "Les techniques de relaxation ont pour effet d'abaisser le seuil d'excitabilité des fuseaux neuro-musculaires". Figuration de l'appareil cardio-vasculaire : la relaxation a des effets bénéfiques sur l'hypertension artérielle, les crampes, les bouffées de chaleur, les migraines "et autres troubles cardio-névrotiques". Figuration des poumons pour décrire les effets de la relaxation sur les troubles respiratoires (bronchite et tuberculose pulmonaire), figuration de l'estomac pour décrire les effets sur les dyspepsies fonctionnelles et les coliques spasmodiques. "Enfin, ajoute le commentaire, une place très importante doit être réservée sur els manifestations d'hyper-émotivité et d'angoisse mineure, aux insomnies, et à des troubles névrotiques encore réversibles." (07:41)<br> | ||
Musique jazz "cool". Des mannequins en bois disposés sur un tapis, imitant des postures de relaxation. "Dans la pratique courante de Schultz, les exercices peuvent s'effectuer dans trois positions différentes. La suite de la séquence détaille ces positions en prises de vues réelles, mettant en jeu des "thérapeutes" et des patients. Première position. Un homme assis sur un tabouret, assisté du thérapeute, adopte la position "du cochet de fiacre". "Tous les groupes musculaires doivent être relâchés au maximum." Plan d'ensemble puis plan taille pour montrer le positionnement des mains sur les cuisses. Zoom pour un gros plan sur la tête, le thérapeute couvre le visage de sa main. Seconde position. Un homme assis dans un fauteuil, son corps enfoncé dans ses coussins. Le thérapeute ajuste ses avant bras sur les accoudoirs et recule ses pieds. sans zoom, toujours en plan gnéral, de nouveau le thérapeute fait le geste de couvir de sa main le visage du patient puis il s'en va. Troisième position. un homme est allongé sur un lit, vu de profil. "La position couchée est meilleure, à condition que le lit ou le divan ait une largeur suffisante". Auprès de lui, le thérapeute ajuste ses bras et lui desserre la ceinture pour qu'"aucune contraction ne persiste." De nouveau, le médecin fait le geste de poser la main sur le visage du patient. "Afin de s'isoler du monde extérieur et de se concentrer intensément sur l'expérience du monde intérieure propre à chaque exercice, la fermeture des yeux est indispensable. Fondu au noir, de nouveau l'homme allongé, filmé cette fois en plan taille, toujours de profil. Le commentaire précise qu'à la fin de la séance, l'organisme est ramené à son état de tension normale. L'homme se livre alors à plusieurs exercices, mouvements de bras, respiration profonde et ouverture des yeux. de nouveau, fondu au noir. Sept personnes (une femme et six hommes) réunis en cercle, assise chacune sur un tabouret. "Le training autogène peut être | '''Les trois positions de la relaxation'''<br> | ||
Musique jazz "cool". Des mannequins en bois disposés sur un tapis, imitant des postures de relaxation. "Dans la pratique courante de Schultz, les exercices peuvent s'effectuer dans trois positions différentes. La suite de la séquence détaille ces positions en prises de vues réelles, mettant en jeu des "thérapeutes" et des patients. Première position. Un homme assis sur un tabouret, assisté du thérapeute, adopte la position "du cochet de fiacre". "Tous les groupes musculaires doivent être relâchés au maximum." Plan d'ensemble puis plan taille pour montrer le positionnement des mains sur les cuisses. Zoom pour un gros plan sur la tête, le thérapeute couvre le visage de sa main. Seconde position. Un homme assis dans un fauteuil, son corps enfoncé dans ses coussins. Le thérapeute ajuste ses avant bras sur les accoudoirs et recule ses pieds. sans zoom, toujours en plan gnéral, de nouveau le thérapeute fait le geste de couvir de sa main le visage du patient puis il s'en va. Troisième position. un homme est allongé sur un lit, vu de profil. "La position couchée est meilleure, à condition que le lit ou le divan ait une largeur suffisante". Auprès de lui, le thérapeute ajuste ses bras et lui desserre la ceinture pour qu'"aucune contraction ne persiste." De nouveau, le médecin fait le geste de poser la main sur le visage du patient. "Afin de s'isoler du monde extérieur et de se concentrer intensément sur l'expérience du monde intérieure propre à chaque exercice, la fermeture des yeux est indispensable. Fondu au noir, de nouveau l'homme allongé, filmé cette fois en plan taille, toujours de profil. Le commentaire précise qu'à la fin de la séance, l'organisme est ramené à son état de tension normale. L'homme se livre alors à plusieurs exercices, mouvements de bras, respiration profonde et ouverture des yeux. de nouveau, fondu au noir. <br> | |||
Sept personnes (une femme et six hommes) réunis en cercle, assise chacune sur un tabouret. "Le training autogène peut être enseigné en groupes, ce qui permet au thérapeute une économie de temps appréciable". Cette remarque, qui témoigne d'un souci de rentabilité dans la transmission de la pratique de relaxation, suggère quelle finalité réelle en est attendue : non pas une réponse réactive à un cas individuel qui suppose un apprentissage pour une pratique ponctuelle et momentanée (quand je n'ai plus ce problème, je cesse cette pratique qui me permettait de le prendre en charge), mais une disposition préventive à l'échelle des masses compte tenu de l'identification d'un mal qui leur est commun (le stresse du mode de vie contemporain). Son initiation engage chaque individu qui les compose à intégrer la relaxation comme une pratique régulière qui structure son rapport au corps et à sa psyché. (10:40)<br> | |||
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Séquences sur les "recherches physiologiques " qui "ont été entreprises pour étudier les effets de la relaxation et confirmer qu'il ne s'agit pas de sensations purement imaginaires". Des patients sont soumis à des examens qui recourent à un appareillage technique moderne. Observation avec un encéphalogramme "dont le tracé est soumis à une analyse automatique de fréquences". Dézoom sur le visage du patient sur lequel des capteurs ont été placés, nous voyons les scientifiques devant une machine aux dimensions imposantes, avec de nombreuses commandes (cf. ''L'alimentation en eau d'une ville'', dernière séquence). Panoramique pour montrer l'oscillolographe cathodique. Plein cadre sur son écran pour montrer comment le "spot de l'analyseur" le parcourt. Enregistrement de la respiration du sujet et sa réaction "psycho-galvanique". En gros plan, des mains surgissent bord cadre pour câbler les instruments sur le poignet de la personne. Gros plan du tracé électro-encéphalographique qui "s'aplatit progressivement". Deux mains interviennent depuis le bord cadre bas pour frapper l'une dans l'autre. "Un premier stimulus sonore provoque une réaction psycho-galvanique normale". Gros plan sur la courbe dont l'amplitude augmente. répétition du test sous relaxation : "il ne provoque plus aucune réaction." Gros plan sur un autre tracé, celui de la courbe respiratoire dont la fréquence diminue pendant la relaxation. | |||
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Version du 29 octobre 2025 à 15:25
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Titre :
La relaxation
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Durée :
21 minutes
Format :
Parlant - Couleur - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Commanditaires :
Archives détentrices :
Générique principal
Contenus
Sujet
Genre dominant
Résumé
Contexte
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Non.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Oui.
- Cartons : Oui.
- Animateur : Non.
- Voix off : Oui.
- Interview : Non.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Communications et événements associés au film
Public
Audience
Descriptif libre
Notes complémentaires
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Joël Danet

