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Accidents durant les loisirs (1963)

De MedFilm PPRD
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Titre :
Accidents durant les loisirs
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Durée :
19 minutes
Format :
Parlant - Noir et blanc - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Archives détentrices :

Générique principal

[Génréique en voix-off] "Accidents durant les loisirs Un reportage "Les productions cinématographiques inter-continentales. Réalisé avec le gracieux concours de la municipalité, des sociétés locales, des habitants et des enfants de Pont-de-l'Arche, Eure.

Ont participé au film en tant que qualité pédagogique et de sécurité : Henri NOZET (Ministère de l’Éducation Nationale), Gabriel LETELLIER [? nom de famille écrit à la phonétique] (CRS - Compagnie Républicaine de Sécurité)

A la caméra : Georges BOURDELON, assisté de Jean-Pierre BEAU [? nom de famille écrit à la phonétique]

Au son : Pierre VUILLEMIN Montage de Mireille VANNIER, assistée de Françoise BACHELART

Bernard BACHELART en a assuré les dialogues, le commentaire, et la réalisation.

Le laboratoire est ECLAIR

Le mixage ont été effectués à S.I.S."

Contenus

Sujet

Genre dominant

Résumé

Inventaire des accidents pouvant survenir durant les loisirs des enfants : jeux dans les poubelles, jeux sur les chantiers, jeux avec des bicyclettes, jeux dans le rivières, jeux avec les cigarettes, jeux dans les bois : cueillette de champignons. [source : CCEP]

Contexte

Éléments structurants du film

  • Images de reportage : Non.
  • Images en plateau : Non.
  • Images d'archives : Non.
  • Séquences d'animation : Non.
  • Cartons : Non.
  • Animateur : Non.
  • Voix off : Oui.
  • Interview : Non.
  • Musique et bruitages : Non.
  • Images communes avec d'autres films : Non.

Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?

Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?

Diffusion et réception

Où le film est-il projeté ?

Salles de classe

Salles de classe

Communications et événements associés au film

Public

Scolaire

Scolaire

Audience

Descriptif libre

Panoramique en plongée sur un village qui n'est pas nommé : des maisons anciennes, voire de vieilles masures, un jardin potager enceint de restes de fortifications. Une femme à la fenêtre bat un tapis, une voiture de service municipal démarre. Une voix de femme lit le générique (intéressant de noter que Le mépris, qui comporte également un générique lu et non écrit, date de la même année 1963). En plans plus rapprochés, scènes de tâches quotidiennes dans la rue. Un homme dispose une pancarte d'annonce de presse devant un tabac-journaux, une femme prépare un étal de poissonnier, un autre homme dispose des caisses de légumes sur le trottoir. Commentaire lu par une voix masculine au ton lugubre : "Comme chaque jour, le danger rôde dans la ville. Personne ne semble en avoir conscience". Cette intervention change le regard sur les plans qui succèdent, qui continuent pourtant de décrire des gestes banals de travailleurs : découpe de viande par un boucher, découpe de pain chez le boulanger. Les mains sont placées trop près de la lame, celle-ci les manque de peu. Le geste précis peut devenir une maladresse qui cause une blessure. Le commentaire : "La menace s'insinue habilement dans le quotidien, elle s'éparpille afin de la rendre difficilement décelable." Au marché, une mère de famille pose ses emplettes sur le tablier du landau "au risque d'étouffer le bébé".

Panoramique en plongée sur un village qui n'est pas nommé : des maisons anciennes, voire de vieilles masures, un jardin potager enceint de restes de fortifications. Une femme à la fenêtre bat un tapis, une voiture de service municipal démarre. Une voix de femme lit le générique (intéressant de noter que Le mépris, qui comporte également un générique lu et non écrit, date de la même année 1963). En plans plus rapprochés, scènes de tâches quotidiennes dans la rue. Un homme dispose une pancarte d'annonce de presse devant un tabac-journaux, une femme prépare un étal de poissonnier, un autre homme dispose des caisses de légumes sur le trottoir. Commentaire lu par une voix masculine au ton lugubre : "Comme chaque jour, le danger rôde dans la ville. Personne ne semble en avoir conscience". Cette intervention change le regard sur les plans qui succèdent, qui continuent pourtant de décrire des gestes banals de travailleurs : découpe de viande par un boucher, découpe de pain chez le boulanger. Les mains sont placées trop près de la lame, celle-ci les manque de peu. Le geste précis peut devenir une maladresse qui cause une blessure. Le commentaire : "La menace s'insinue habilement dans le quotidien, elle s'éparpille afin de la rendre difficilement décelable." Au marché, une mère de famille pose ses emplettes sur le tablier du landau "au risque d'étouffer le bébé".


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