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Vivre à Bonneuil (1974)

De MedFilm PPRD



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Titre :
Vivre à Bonneuil
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Conseil scientifique :
Métrage :
90 mètres
Format :
Parlant - Couleur - 16 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Sociétés de production :
Commanditaires :
Archives détentrices :
Corpus :

Générique principal

Réalisateur : Guy Seligmann - Producteur : Paul Ceuzin - Participant : Robert Lefort (psychiatre) - Directeur de la photographie : Bernard Dumont - Montage : Jean Gibory - Musique : Lucien Rosengart

Contenus

Sujet

La vocation et le quotidien de l'établissement psychiatrique de Bonneuil, conceptualisé et dirigé par la psychiatre Maud Mannoni.

Genre dominant

Documentaire

Résumé

Émission consacrée à l'école de Bonneuil-sur-Marne dirigée par Maud Mannoni. Description de l'organisation de la vie dans l'école : participation des enfants aux courses, a la cuisine, séjours chez les paysans ou les artisans. Les enfants en souffrance psychiatrique et les enfants normaux vivent ensemble. Interview de Maud Mannoni et de parents d'enfants handicapés mentaux. (Source Ina)

Contexte

Maud Mannoni

Née en 1923, morte en 1998, la psychanalyste Maud Mannoni a travaillé dès 1948 avec Françoise Dolto à l'hôpital Trousseau. Elle s'est spécialisée dans un travail en direction des enfants et des adolescents. Influencée par Winnicott et Melanie Klein, dans le sillage de l'expérience menée à Kingsley Hall par les britanniques Cooper et Laing, elle a introduit l'antipsychiatrie en France.

Le CERPP et l'Ecole expérimentale de Bonneuil

Le Cerpp, a été fondé en 1969 par Maud Mannoni, le Dr Robert Lefort et deux éducateurs, Rose Marie et Yves Guérin. Il avait pour but de créer, pour les enfants en rupture avec le milieu scolaire, une École différente. En premier lieu, la visée thérapeutique du Cerpp était de redonner aux enfants le désir d’apprendre et de s’intégrer socialement. Comme Fernand Deligny le fit dans les Cévennes, Maud Mannoni a mis en pratique ses théories et ses réflexions critiques en fondant à Bonneuil, avec le Docteur Robert Lefort et un couple d'éducateurs, Rose-Marie et Yves Guérin, un lieu d'accueil et de vie pour les enfants et les adolescents autistes, psychotiques ou souffrant de graves névroses.

Lors de sa création, l’École de Bonneuil reposait exclusivement sur le bénévolat de l’équipe ainsi que sur le soutien financier des parents. Toutefois, en 1975, elle est devenue un Hôpital de Jour avec Foyer Thérapeutique de Nuit et un Service d’Accueil Familial Thérapeutique en province.

Actuellement, l’équipe psychopédagogique est constituée de psychologues, d’éducateurs, de professeurs des écoles, de psychiatres et de nombreux stagiaires venant du monde entier. Grâce à cette multidisciplinarité, l’école peut proposer des types de prises en charge variées aux enfants et à leurs familles.

Éléments structurants du film

  • Images de reportage : Oui.
  • Images en plateau : Non.
  • Images d'archives : Non.
  • Séquences d'animation : Non.
  • Cartons : Non.
  • Animateur : Non.
  • Voix off : Oui.
  • Interview : Oui.
  • Musique et bruitages : Non.
  • Images communes avec d'autres films : Non.

Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?

L'orientation immersive de la réalisation permet de rapprocher le public de la réalité quotidienne de l'établissement. Par la sélection des séquences, elle combine les aperçus sur les activités d'éveil et d'orientation professionnelle qui y sont mis en place avec les aperçus sur son organisation. Les entretiens avec Maud Mannoni lui permettent de rappeler la vocation et l'esprit de Bonneuil. Les interventions du commentaire sont résolument partisans, leurs contenus constituent le relais des interventions de Maud Mannoni ; ils témoignent d'une adhésion à sa mise en accusation de "la société" comme milieu aliénant. Par exemple, en rappelant que l'établissement ne bénéficie d'aucune subvention, il affirme : "depuis cinq ans, la société fait la sourde oreille." L'expression "sourde oreille" appliquée ici à la "société" amène à retourner contre elle le stigmate dont souffrent les patients autistes.

Par ailleurs, lors de son entretien dans le film, Maud Mannoni interroge le bien-fondé de la démarche de celui-ci : quel sera son contenu, comment va-t-il être interprété ? En introduisant au sein de son film la critique de celui-ci, Guy Seligmann poursuit une démarche intellectuelle qui emprunte à l'anthropologie filmée (Jean Rouch) et au cinéma militant (Jean-Daniel Pollet).

Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?

Le personnel de Bonneuil n'est pas désigné par le port d'un vêtement professionnel ; la réalisation du film montre qu'il se mêle aux patientes et patients en participant aux activités thérapeutiques et domestiques. Pour Maud Mannoni, les soignants qui viennent travailler à Bonneuil sont "troublés du système" au même titre que les enfants que l'établissement prend en charge. Elle explique que leur choix est déterminé par leur refus de pratiquer dans un lieu de soins normal comme un hôpital. Patients et soignants sont unis par une même situation d'inadaptation sociale.

Diffusion et réception

Où le film est-il projeté ?

Diffusé le 14/05/1975 sur la 1ère chaîne de la Télé Française

Communications et événements associés au film

Public

tout public

Audience

Descriptif libre

Ensemble par la musique

Gros plan sur une plaque accrochée à un portail : "Centre d'études et de recherches pédagogiques et psychanalytiques - Ecole expérimentale de Bonneuil s/ Marne - tél 899-64-61". Un battant du portail s'ouvre, une tête d'homme apparaît, de dos, dans le bord cadre droit. Indistinctement s'entend une musique jouée avec des percussions et des clochettes et flûtes. Travelling avant sur un cabanon en ciment, installé dans une aire clôturée dont le sol est couvert d'herbes sauvages et jonché de planches ou de pièces métalliques. Le bâtiment se voit derrière un arbre, une chaise de réunion est posée devant. Commentaire énoncé par une voix d'homme : "Ce petit jardin, c'est celui de l'école de Bonneuil aux portes de Paris. Maud Mannoni, Robert Lefort, Yves et Rose-Marie Guérin, et un groupe d'étudiants ont fondé l'école en 1969. Vingt enfants vivent ici..." Cut, plan poitrine avec la tête hors champ sur un adolescent qui bat frénétiquement une cymbale avec un maillet. Un recadrage permet de découvrir son visage où se dessine une expression de jubilation. derrière lui, des panneaux d'aggloméré couverts ici et là de barbouillages à la gouache - on identifie notamment le dessin d'un coeur et un autre de visage. Les plans qui succèdent montrent un piano installé derrière un canapé, aux touches arrachées. D'autres enfants évoluent dans la pièce, d'âges mélangés. Des adultes les accompagnent. Enfants ou adultes jouent d'un instrument ou tapent dans les mains. L'ambiance est à la liesse collective. "Un tiers sont autistes, c'est-à-dire détachés du monde extérieur et repliés sur eux-mêmes. Ils ne parlent pas. Un autre tiers sont psychotiques, on les nomme ailleurs qu'ici 'fous'. Ceux-là sont arrivés dans un état désespéré. On disait d'eux qu'ils étaient inguérissables. Ils vivent ici maintenant avec un dernier tiers d'enfants, normaux ceux-ci, qui refusent simplement le lycée et la société. Ici, tout est ouvert, ils sont libres. Ils ne prennent pas de médicaments, ils peuvent presque tout faire sauf mettre en danger la vie des membres des autres communautés. Tous ensemble posent au fond la même question : qu'avez-vous inventé pour nous? Pour nous qui aimons le désordre et qui ne supportons pas l'ordre que vous voulez nous imposer. Cette question, c'est d'abord à eux-mêmes qu'ils la posent, puis aux adultes qui vivent autour et avec eux - enfin, c'est la société qu'ils interrogent". La finalité du film est énoncée : à travers une expérience pédagogique qui les prend en charge, il s'agit de rencontrer et comprendre des enfants qui, par leur situation psychiatrique qui les rend marginaux et incompatibles avec les normes sociales, invitent à un regard critique sur la censure et les inhibitions qu'elles secrètent.

Refus de "rentrer dans les boîtes"

Le commentaire ajoute cette remarque dénonciatrice : "depuis cinq ans, la société fait la sourde oreille. Bonneuil ne reçoit aucune subvention." L'expression "sourde oreille" appliquée à la "société" amène à retourner contre elle le stigmate dont souffrent les patients autistes. "Pourquoi? Parce que Bonneuil pose des questions au lieu d'y répondre ; parce que Bonneuil refuse de rentrer dans les boîtes que la société a prévues pour soigner les enfants qu'on dit 'fous'. Parce que Bonneuil ne fait rien comme tout le monde." Par métonymie, le commentaire confond le centre avec la localité où il se trouve et fait de "Bonneuil" un personnage. Son organisation devient un comportement ; ses directives deviennent une posture. La caméra continue d'errer parmi les personnes qui sont pour la plupart munies d'un tambourin, tapant dessus sans souci de tenir un rythme, encore moins de synchroniser leurs frappes. C'est un vacarme collectif qui offre un défoulement où chacun s'accompagne des autres, reconnait dans l'attitude des autres le besoin qu'il assouvit lui-même. Une expression hagarde, hostile, ou mélancolique se dessine cependant sur le visage de quelques jeunes. "Ici, on se demande qui est fou : l'enfant ou le groupe social dont il est issu?" Cut, gros plan sur la poignée de porte du cabanon, qui pourrait servir pour la porte d'une pièce intérieure, dézoom, la musique jouée par les patients et leurs accompagnants continue de se faire entendre dans la bande son, extra-diégétique (on ne l'entend pas à travers les cloisons du cabanon mais comme si on continuait d'être dedans), ponctuée de cris d'enfants. Apparition en infographie du titre du film, du crédit de la réalisation, puis : "ce film est dédié aux enfants de Bonneuil." (02:39).

Institution éclatée

Le commentaire précise que la vocation de l'établissement est d'être "éclaté", c'est-à-dire "ouvert sur la vie". Exemple avec Paul, un enfant pris en charge à Bonneuil, à présent apprenti cuisinier au restaurant de la Faculté de Vincennes. Le commentaire, décrivant sa situation, poursuit son discours sur l'injustice sociale dont sont victimes les enfants inadaptés, ici dans le contexte professionnel. Le chef cuisinier, interrogé dans les cuisines de la Faculté, en présence de Paul qui travaille à extraire des frites de la friteuse, insiste sur le désir de celui-ci de venir travailler ici. "On lui montre quelque chose, il le fait bien". Le commentaire explique que chaque enfant est accompagné par un "stagiaire bénévole" qui devient son référent, appelé à rendre compte aux éducateurs de Bonneuil de cette première expérience professionnelle. Retour dans l'établissement où Paul est chargé de cuisiner pour les enfants. Le commentaire fait part de l'expérience de responsabilisation collective que suppose le séjour dans Bonneuil : les enfants pris en charge ont leur part dans les tâches quotidiennes, avec la gestion du budget. Le commentaire rappelle que celui-ci est réduit faute de subvention. Scène de réparation du réservoir des toilettes, la confrontation à la trivialité du fonctionnement d'un logement fait partie de l'apprentissage proposé. (05:41)

"Arrête de dire des gros mots"

Maud Mannoni en entretien avec Guy Seligmann. Ils marchent tous les deux dans les allées du petit jardin. "Bonneuil accueille les enfants troublés du système, que ce soit le système scolaire, familial ou social." Elle ajoute que les adultes responsables dans la structure sont également "troublés du système" puisqu'ils refusent de travailler dans un hôpital ou un lycée. Il est donc question d'un compagnonnage entre les deux types de personnes qui séjournent à Bonneuil, qu'elles soient responsables ou pros en charge, engagé par un même sentiment de malaise devant les exigences de norme imposées par la société. Désignés "par la société" comme "psychotiques ou débiles", les enfants sont ici accompagnés par des personnes qui "ne s'interrogent plus sur ce que c'est que la maladie mentale". Guy Séligmann n'interroge pas Maud Mannoni, ou du moins, le montage ne le montre pas. Il est à l'écoute de son discours. "Dans ce milieu là, ajoute-t-elle, on ne sait plus qui est fou et qui ne l'est pas." Son but est que les personnes se découvrent elles-mêmes et identifient leurs propres désirs. Elle aborde la question de la raison d'être du film, démarche caractéristique de la relation militante au cinéma, surtout quand le film concerne une institution : pourquoi est-il fait, quel est son parti à l'endroit de l'institution, comment sera-t-il accueilli? Pour Maud Mannoni, relayant la crainte que des parents d'enfants auraient exprimé, le danger que présente cette réalisation est qu'elle les stigmatise davantage. Elle préfèrerait que son propos s'attache davantage à mettre en cause la société qui est responsable de leur souffrance. A cet instant, comme par un fait exprès, alors que Maud Mannoni et Guy Séligmann passent devant la cabane montrée dans la première séquence, sa porte s'ouvre et une jeune fille en sort. C'est un effet heureux du hasard parce que l'ouverture de la porte s'inscrit dans le champ dans l'espace qui séparait l'un de l'autre. La jeune fille interpelle Maud Mannoni en lui demandant d'arrêter "de dire des gros mots". Celle-ci ne se trouble pas, esquisse un geste d'affection envers elle, continue sont propos, affirmant que l'organisation de Bonneuil prévoit de mêler "travail et fantaisie". Comme pour l'illustrer, le plan suivant montre une jeune fille qui court vers la caméra avec, dans la bouche, une poupée à laquelle manque un bras. Retour sur Maud Mannoni et Guy Seligmann qui continuent de cheminer dans le jardin, à présent suivi de plusieurs jeunes personnes sans doute intriguées par la présence de l'équipe de tournage. "Ce qu'il ya ici, dans cette communauté d'adultes et d'enfants, conclut Maud Mannoni, c'est quelque chose qui pouvait exister autrefois au niveau de la communauté du village, où il y avait de la place pour tout le monde." (09:20)

"Qui fait les courses avec André?"

Autour d'une longue date, rassemblement des membres de la communauté, l'un d'eux se couche sur la table, un autre gratouille une guitare acoustique posée sur son plateau, échanges de voix fortes qui ne s'écoutent pas. Un garçon se lève et dévisage la caméra, apparition d'une citation de Mao Tsé-Toung en infographie : " Pour acquérir des connaissances, il faut participer à la pratique qui transforme la réalité. Pour connaître le goût d'une poire, il faut la transformer en la mangeant." Est-ce à dire qu'un jugement sur Bonneuil passe par la pratique chronique de son organisation? Une nouvelle intervention inforgraphique : "... Et en la filmant?" Toujours ce souci d'interroger la finalité et l'utilité du film qui est en train de se construire, assumé au coeur du résultat montré au public. La scène de réunion se poursuit, la confusion gagne l'espace, un des jeunes se roule par terre en criant, quelques personnes se déplacent pour la maîtriser. Maud Mannoni, vers laquelle la caméra se tourne, explique qu'il s'agit de Xavier, attristé d'avoir quitté sa maman même. La voix de Maud Mannoni est particulère et participe à l'intensité singulière de sa présence : une voix aigüe, chantante et légèrement fêlée, qui adopte souvent le ton posé de l'institutrice, affichant un sentiment de maîtrise, même dans une situation perturbante comme une crise. La séquence se poursuit par une situation d'organisation de l'intendance. "Qui fait les courses avec André", demande une éducatrice devant un tableau noir où il est écrit à la craie la répartition des tâches domestiques. Personne ne lui répondant, elle demande si quelqu'un est plus intéressé par la cuisine. La situation continue d'être confuse, Maud Mannoni abordant des doléances exprimées par des enfants sur la conduite de leur scolarité. Elle embrasse les enfants, s'adresse à eux avec une gaieté étrange, surjouée - effet de la présence de la caméra? Elle encourage l'un d'eux à devenir "champion de lecture" en allant à la bibliothèque. L'éducatrice réclame des participants pour les ateliers imprimerie et menuiserie. Au détour d'un plan, Guy Séligmann apparaît dans le champ, mêlé aux enfants. Il est montré en "situation d'immersion", vivant de manière passive les événements de son terrain. Le montrer à l'image, c'est insister sur le film en train de se faire et les méthodes spécifiques de sa réalisation (14:24)

Les ateliers. Le personnel de Bonneuil

Un adolescent, que le commentaire nomme Eugène, dans un atelier "de soudure artisanale". Gros plan sur son profil incliné sur des pièces de métal qu'il soude au chalumeau. Cet atelier est situé dans la région parisienne. Y travailler est l'une des activités proposées par le centre. Hors champ, la voix d'un homme, probablement son tuteur de stage dans l'atelier. Très belle séquence onirique, accompagnée par un piano extra diégétique, qui montre, dans le jardin de Bonneuil, Eugène dansant avec une sculpture en métal installée à côté du cabanon. Peut-être est-celui qui l'a réalisée. Autre atelier auquel participent Daniel et Ernest : le nettoyage d'un pigeonnier accompagné par un "colombophile". Le commentaire précise que, le centre de Bonneuil n'étant pas reconnu par la Sécurité Sociale, les stagiaires, c'est-à-dire les adultes accompagnateurs, sont bénévoles. "ce sont des étudiants en psychologie ou en médecine, ou de jeunes psychanalystes". Chaque stagiaire se rend un jour par semaine à Bonneuil tout au long de l'année. Les enfants ont donc affaire à des adultes différents. Bonneuil comprend quatre permanents et une vingtaine d'adultes qui s'y rendent régulièrement. Retour sur Daniel et Ernest qui suivent le "stagiaire" qui décide le transport de plusieurs pigeons depuis le pigeonnier jusqu'au centre. Celui-ci se fait par panier, en voiture. Ouverture du panier au milieu du jardin du centre. Nouvelle séquence onirique que provoque ce lâcher de pigeons qui jette les adultes et les enfants qui y assistent dans un ravissement partagé. Le piano qui avait accompagné la séquence d'Eugène avec sa sculpture se fait de nouveau entendre. Cette prise de distance qu'impose la musique extradiégétique, rapportée aux images sans y prendre sa source, constitue en quelque sorte une respiration dans le film, une possibilité de répit dans cette succession de scènes caractérisées par la densité humaine et des comportements qui ne sont pas toujours déchiffrables. (17:36)

Notes complémentaires

- Mots clefs sciences humaines ; psychiatrie ; psychose ; école (Bonneuil s/marne) ; Val de Marne ; Bonneuil-sur-Marne ; Mannoni, Maud (psychanalyste) ; enfant

Références et documents externes

Contributeurs

  • Auteurs de la fiche : Joël Danet