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Une amibe mycophage est observée au microscope à une vitesse 16 fois supérieure à la normale. On la voit percer la paroi des filaments mycéliens et aspirer le contenu cellulaire pour se nourrir. D'après Béatrice de Pastre, Filmer la science, comprendre la vie. Le cinéma de Jean Comandon (CNC Éditions, 2012).
Une amibe mycophage est observée au microscope sur une largeur de champ de 100µ, à une vitesse accélérée 16 fois la normale. Pour se nourrir, cette amibe perfore une cellule du mycélium d'une moisissure et en absorbe le contenu. Lorsque deux amibes s'attaquent à la même cellule, le protoplasme rayonne et le contenu cellulaire est absorbé par l'amibe ayant effectué la perforation. la deuxième amibe part alors à la recherche d'une autre cellule.
Contexte
Éléments structurants du film
Images de reportage : Oui.
Images en plateau : Non.
Images d'archives : Non.
Séquences d'animation : Non.
Cartons : Oui.
Animateur : Non.
Voix off : Non.
Interview : Non.
Musique et bruitages : Non.
Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Vues microcinématographiques pour détailler l'invisible à l'oeil nu : Comandon place son appareil dans le prolongement du microscope, et, sur fond noir, éclaire intensément des particules, qui à leur tour émettent une lumière dense permettant leur observation. Insertion de cartons explicatifs pour rendre pédagogique des images destinées à la recherche.
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?