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Une forme de dyspraxie infantile : la planotopokinésie (1983)

De MedFilm PPRD



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Titre :
Une forme de dyspraxie infantile : la planotopokinésie
Année de production :
Pays de production :
Réalisation :
Durée :
34 minutes
Format :
Muet - Couleur - Super 8 mm
Langues d'origine :
Sous-titrage et transcription :
Archives détentrices :
Corpus :

Générique principal

Générique de début : 0min à 1min55s Plan 1) Amorce du sujet Une forme de dyspraxie infantile : La planotopokinésie Aspects sémiologiques et abord thérapeutique dans le cadre d’une rééducation de l’écriture polyvalente

Plan 2) Film réalisé par: Marguerite Auzias (Maître de recherche à l’INSERM) Avec la contribution de : Mmes Meljak et Monontes, Psychologies et rééducatrice du calcul Dr Y. du Pasquier B. Grimaud, Sociologue J.L. Potonet, IDHEC Ph. Lourdou, Ethnologue Et…

Plan 3) Vincent enfant suivi aux Consultations du Dr. J. Berges et de Mme Le Dr. G.C. Lairy, et au laboratoire de Psychologie du Professeur R. Zazzo Hôpital Henri-Rousselle, Paris (1966-1969).

Générique de fin : 33min à 33min 41s Il n'y a pas de générique de fin à proprement parlé. On voit les écrits de Vincent ainsi que ses notes de classe. On observe donc ses progrès. Il obtient la 6ème place de sa classe et les félicitations des professeurs.

Contenus

Thèmes médicaux

Sujet

La rééducation orthophonique de Vincent, un jeune enfant atteint d'une forme spécifique de dyspraxie

Genre dominant

Documentaire

Résumé

Vincent est un enfant suivi par des professionnels de santé, notamment en calcul, depuis ses 6 ans. Il est atteint d'une forme de dyspraxie très particulière, la planotopokinésie. Cette pathologie induit de nombreux troubles de représentation dans l'espace selon ses différents plans dimensionnels, mais elle ne l'empêchera pas tout de même de réussir dans d'autres domaines, tel que le langage, au cours de sa scolarité.

Contexte

Contexte médico-social

1975 : La loi sociale qui affirme pour la première fois un “devoir de Nation envers les personnes en situation de handicap “ (loi d’orientation en faveur des personnes handicapées)

L’émergence de symptomatologies infantiles désignées dans le champ du corps et du mouvement s’inscrit dans une perspective contemporaine qui investit narcissiquement le corps et la performance esthétique.

Période de rupture de l’âge d’or de la psychologie de l’enfant et une période scientifique plus récente avec l’apparition des neurosciences : la compréhension des praxies est parallèle à la découverte des fonctions neurocognitives

Au début du 20ème siècle, cette perturbation motrice était désignée de “maladresse congénitale”, et ce n’est que dans les années 60 que le terme de dyspraxie apparaît


Planotopokinésie : décrite par Pierre Marie en 1924, et désignée par Hécaen et ses collaborateurs en 1972 sous le nom de perte des notions topographiques, elle se caractérise par l’incapacité de s’orienter sur une carte. On parle désormais davantage d’agnosie spatiale, désignant à la fois des troubles sensoriels (visuels, auditifs, tactiles) et des troubles dans la perception motrice de l’espace. Le terme utilisé aujourd’hui est donc plus large, il prend en compte l’échelle de l’individu (sa représentation corporelle) ainsi que sa représentation dans l’espace.


recherches à faire : contexte médical, essor de la “santé” dans les années 50-60 1968 : mai 68 = grèves,révolution étudiante / guerre du Vietnam assassinat de Kennedy → évenements marquants, que l’on retrouve dans la vidéo, notamment lors de la dictée de Vincent

Éléments structurants du film

  • Images de reportage : Oui.
  • Images en plateau : Non.
  • Images d'archives : Oui.
  • Séquences d'animation : Non.
  • Cartons : Non.
  • Animateur : Non.
  • Voix off : Non.
  • Interview : Non.
  • Musique et bruitages : Non.
  • Images communes avec d'autres films : Non.

Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?

Les différentes approches réalisées par la caméra nous proposent un focus particulier centré sur l’apprentissage ainsi que l’observation au préalable de Vincent. On y retrouve de nombreux gros plans, que ce soit au niveau de son visage pour remarquer toutes formes d'émotion, ou de ses mains pour mettre en évidence la tenue de son pinceau, stylo ainsi que la coordination de ses gestes. Les émotions ainsi perçues par l’enfant semblent nous parvenir au travers des différents exercices mis en place filmés les uns à la suite des autres. Nous pouvons alors suivre ses instants de réussite, d’échecs, mais aussi constater sa persévérance malgré la répétition de certaines tâches difficiles. Le regard du spectateur se fait également par beaucoup de plans rapprochés, lorsque nous voyons les professionnels de santé et Vincent côte à côte en train de travailler ensemble sur un même exercice. Cela nous permet de nous placer en tant qu’observateur expérimental, qui pourrait suivre l’apprentissage en action, par mimétismes et par démonstrations. Le spectateur se retrouve donc en situation de perpétuelle interaction avec l’enfant, ce qui peut presque l’inviter à s’approprier un “statut” de professionnel de santé, c’est-à-dire qu’il a l’impression de faire partie de cet univers médical.

Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?

Ces deux domaines sont présentés comme des outils indispensables pour comprendre et analyser les différents comportements et pathologies associés à un individu, quel que soit son âge. On nous met en exergue de multiples exercices proposés par différents professionnels de santé tels que des psychologues, docteurs ou encore rééducateurs spécialisés dans le calcul, qui permettent d'identifier les lacunes potentielles, ainsi que les acquis utiles au maintien psychologique de l'enfant. La prise en charge du trouble de Vincent a duré 3 ans, ce qui explique que la rééducation est longue et nécessite beaucoup d’efforts de la part du patient. Le corps médical doit savoir proposer une prise en charge adaptée au besoin du patient, demandant une grande adaptabilité en fonction des patients et de leurs troubles associés. Ici la rééducatrice n’est pas présentée comme une personne de premier abord froide et distante, mais comme une figure bienveillante et encourageante qui incite l’enfant à se dépasser. En effet, à plusieurs reprises dans le film, nous voyons Vincent sourire et s’impliquer pleinement dans les activités que lui propose le rééducateur. Dans ce film, la promotion de la santé ainsi que la prévention ne sont pas mises en avant : le spectateur assiste simplement aux séances de rééducation du jeune Vincent. Cela peut être utile pour se faire une idée du déroulé d’une séance de rééducation, et se rendre compte de la diversité des exercices effectués par l’enfant. En revanche, permettre au spectateur d’observer les progrès de cet enfant au fur et à mesure du temps et de la rééducation, lui montre l’importance de la prise en charge dans ce genre de trouble. Ce film s’adresse davantage au corps médical. En effet, il peut être utile pour trouver des idées d’exercices de rééducation à effectuer dans ce même type de pathologie, notamment pour des praticiens néo-diplômés.

Diffusion et réception

Où le film est-il projeté ?

- Congrès international sur l'écriture, Padoue-Trevise, novembre 1983 (exposé de Marguerite Auzias).
- Bilbao, janvier 1984, Cours du Prof. Ajuriaguerra intitulé "Une forme de dyspraxie infantile : la planotopokinésie, aspects sémiologiques et abord thérapeutique."
- Exposition du 19 au 23 février 1986, Vérone : Communication, geste, parole, Centro italiano stidi i ricerche in psicologia e psicomotricia.

Communications et événements associés au film

Public

- Adressé à un public assez mature (principalement aux adultes)
- Accessible également aux malentendants
- Pour les professionnels de santé

Audience

Descriptif libre

Premier aperçu : Partie 1 : OBSERVATION DE VINCENT (1min55-4min35) : Anamnèse de Vincent L’anamnèse (du premier bilan) de Vincent (droitier) à 6 ans : encéphalite à 1 an, marche à 22 mois et dév normal du langage. Premiers examens à 6 ans : niveau verbal normal, pas de déficit neurologique dans la sphère motrice, mais paratonie et instabilité, difficultés praxiques : échec à la copie du carré, incapacité à dessiner un corps humain même avec l’aide d’un modèle, il n’arrive pas à se représenter dans l’espace. En termes d’imitation de gestes, il a le niveau d’un enfant de 4 ans. Enfant émotif, anxieux, verbalise très bien ses propos.

Prise en charge Durée de 3 ans. Il a commencé à 6 ans. - 1ère année de PEC : soutien des apprentissages de la lecture et de l’écriture. - 2ème année : Rééducation du calcul, éducation des praxies constructives et utilitaires de la grapho-motricité avec relaxation et acquisition de repères posturaux. - 3ème année : idem que 2A. Les images tournées dans cette vidéo ont été tournées dans cette année de PEC, il maîtrise alors mieux ses émotions et une certaine aisance motrice. Au début de cette année, ses apprentissages scolaires sont corrects, lecture et orthographe okay pour son âge et sa classe, son écriture est nettement améliorée, le calcul reste toujours fragile mais s’améliore, difficultés somato-spatiales très marquées encore mais tendent à s’atténuer.


Partie 2) ASPECTS SEMIOLOGIQUES (4min36-13min39) Dans cette partie, nous aborderons les signes et symptômes observés chez Vincent, pour diagnostiquer et évaluer sa pathologie. Analyse de l’orthographe et de l’écriture (4min39-6min17) : Tenue correcte du stylo, niveau d’orthographe normal pour son âge ( 8 ans) en classe de CE1 (ex de faute : “parfin” au lieu de parfum). La qualité de son écriture et orthographe varient selon l’état émotionnel et affectif au moment précis où Vincent écrit qui peut fluctuer. Alors, lorsqu’il écrit sur un sujet politique (mai 1968), il fait plus de fautes que lorsqu’on lui dicte simplement des mots. Vincent a 8 ans a bcp de difficultés avec les lettres muettes (non-phonologiques, ex : je veu, la pai, mor) Test sur schéma corporel (6min18-9min15) : évocation en modèle absent : au début de la 3ème année de PEC : n’arrivait pas à reconstituer le modèle dans l’ordre et en fin de la 3A : il réussit. Construction du bonhomme (avec modèle) : fin de 3A de PEC : très concentré, prend le temps de bien voir le modèle mais n’arrive pas à reconstituer le même schéma que le modèle. Il y a quelques erreurs, notamment au niveau de l’articulation des coudes et des genoux qui pourrait aider à positionner les membres à gauche ou à droite. Pour la réalisation d’un bonhomme à l’aide d’un stylo : il y a les éléments essentiels qui sont présents, avec une surreprésentation des mains qui sont dessinées de manière bcp plus grosses que les autres membres du corps. Par exemple, les pieds sont très peu dessinés (un trait). Cependant, le trait important à souligner est la présence des sourcils que bcp d’enfants pourraient oublier. Peut-être cela est dû à l’importance de l’expressivité dans sa pathologie. En revanche la bouche n’est pas présente (alors que dans son cas le langage n’est pas touché). Il a dessiné de nombreux boutons sur le corps, peut-être a-t-il voulu dessiner un copain à lui qui avait la varicelle ou un souvenir de lui quand il a eu des boutons. Le bilan conclut : “niveau de représentation : 6 ans”.

Imitation de gestes et gnosies digitales (9min16-13min39)  :

Imitation de gestes (9min17-9min52) : Toujours à la fin de 3A de PEC : l’imitation des gestes de la main est assez grossière, doigts restent accolés, compliqué de croiser ses mains en mettant l’une par-dessus l’autre.

Exercice du contour de sa main au stylo (9min53-10min38) : réussi mais lorsqu’on lui demande de reproduire le contour de sa main sans le modèle il n’y arrive pas. Les doigts sont en forme pointue et de petite taille, avec peu d’espace entre eux. Test de copie d’une figure complexe (10min39-11min43) : pas bien réussi, un manque cruel de précision + ajout de formes, figure produite à l’âge de 8 ans et 4 mois et pourtant le niveau de sa prestation est de 4 ans. Il se réduit à un schème familier : maison. Dessin d’une bicyclette (11min44-11min52) : apporte de l’attention aux détails, notamment dérailleur, lampe, chaîne, mais l’échelle de dessin est assez incorrecte (selle derrière la roue par exemple) -> mauvaise représentation de l’espace (voir dessin à 9 ans) Test du laçage (11min53-13min40): il tient les lacets comme il faut au début jusqu’au moment du passage de la petite boucle autour de la grande boucle, quand il tire à la fin le lacet se défait complètement. Plus le temps avance, plus ses mains s’éloignent de la base du lacet ce qui rend la manipulation plus complexe. Après plus de 3 tentatives, il ne cerne toujours pas la notion de boucle pour joindre les extrémités de ses lacets.

PARTIE 3) : ABORD THERAPEUTIQUE (13min40s-33min41)  :

L’apport et le soutien d’une rééducation de l’écriture polyvalente : o Relaxation : plus facile pour les membres supérieurs que inférieurs, ses jambes sont rigides o Peinture : peint de manière grossière ne s’applique pas mais la tenue du pinceau est correcte. Bcp de courbes dessinées allant dans tous les sens avec bcp de couleurs. On observe tout de même une recherche dans les couleurs (dégradé de verts) + une organisation (il part du centre pour aller vers la périphérie). o Dessin : maison, s’applique, très reconnaissable avec les détails tels que la fumée de la cheminée, couleurs cohérentes (ex  : arbre marron) o Tracés graphiques : repassage de la forme pas trop mal même si il ne repasse pas exactement sur le trait o Repérages spatiaux o Exercices divers conçus spécifiquement pour cet enfant.

Tester la rigidité de ses membres supérieurs et inférieurs et du cou ainsi que les muscles participant à la déglutition.


Rapports topologiques (exercices tirés de J. PIAGET : “la représentation de l’espace” : orientations & directions, repérages corporels, laçage…

Reconnaissance de forme à l’aveugle en ayant un étalage de différentes formes devant les yeux pour comparer avec le toucher à ce qu’on voit (allier le toucher à la vue). Il y arrive. Replacer des ronds comme sur le modèle de la feuille dans la même direction.

Reproduction de formes avec des stylos : le docteur forme un angle avec 2 stylos qui montre une direction. L’enfant arrive à reproduire cet angle mais pas dans la même direction. L’enfant a dû mal à s’orienter malgré les indications du Dr avec les bras lui indiquant la direction. Mais on voit des progrès (l’exercice est réessayé plus tard et il réussit) Tâche d’organisation spatiale + reproduction : l'exercice consiste à imiter la position de crayons, placé par l’orthophoniste : il y arrive très bien avec 1 crayon / avec 2 crayons, il y arrive dans son plan mais lorsque l’angle change (de gauche à droite), il a plus de difficultés. Il n’arrive pas à orienter le crayon, il le tourne dans différents sens puis finit par y arriver.

Classification : associer des images montrant des personnages lever certains membres et les associer avec la bonne image de référence. Il réussit

Travail sur des horloges : grande et petite aiguille à replacer comme le modèle → il y arrive bien

Travail avec des fils de laine de différentes couleurs (rouge/bleu) : nœuds, orientation… Il comprend le principe mais il a besoin d’aide pour réaliser un nœud : il a une stratégie qu’il n’arrive pas à mettre en place.

Nouvel essai laçage sur une chaussure : il réussit sans problème à réaliser la tâche, il applique et va au-delà de sa stratégie contrairement au début de la vidéo

Il réessaie également la copie de la figure complexe à 9 ans : il y arrive mieux mais son niveau reste nettement inférieur quant aux attendus de son âge (bilan conclut “niveau inférieur à 5 ans”) Évolution de sa figure : couleur (il en prend qu’une, comme celle du modèle) sens (il la reproduit dans la bonne orientation) traits plus précis (pas les uns sur les autres) détails (il compte le nombre de traits, il a rajouté des éléments)

Dessin bicyclette à 9 ans sans modèle : difficultés en terme de proportion / la barre transversale du vélo est représentée bien trop longue et les pédales difficiles à identifier. Dessin bicyclette à 9 ans sans modèle après analyse critique du dessin précédent: dessin fait au stylo / feutre noir et non plus au crayon à papier. Il a amélioré la représentation des pédales et a même rajouté la chaine entre la roue arrière et la pédale. La barre transversale a été raccourcie et la selle coloriée. Comparaison avec la bicyclette faite à 8 ans (voir au dessus en jaune): la bicyclette était plutôt travaillée d’un point de vue vertical que horizontal (contrairement à celui fait postérieurement). Vincent a cherché à ajouter des détails à sa production même s’ils sont parfois difficiles à identifier. -> on sent dans ces 3 productions qu’il voue un intérêt particulier aux détails + ou - bien représentés

Exercice d’écriture : la graphie est bonne, tenue du stylo ok. Cependant, il fait des fautes d’orthographe (et / est) + syntaxe “il y avait une fois” Autre texte, 9 ans : pas de faute 13 ans (CM2) : il écrit très bien, il obtient de bons résultats scolaires → admis au collège -> preuve que cela n’entrave pas la réussite (toute proportion gardée car il a quand même redoublé et fait 3 ans de rééducation pour en arriver là)

Vocabulaire

Encéphalite : inflammation du cerveau causée par une infection directe (l'encéphalite aiguë) ou par une réaction immunologique à une infection

Paratonie : “Anomalie de la contraction musculaire dans laquelle le muscles se contracte plus ou moins au lieu de se relâcher” donc forme d’hypertonie (d’après le CNRTL)

Praxie : Adaptation du mouvement au but recherché notamment grâce à une coordination motrice, visuelle et spatiale

Somatognosie : connaissance qu’on a de son corps et des relations entre les diff parties de notre corps (conscience de la main gauche et droite par exemple)

Agnosie somato-spatiale: agnosie spatiale entraîne une difficulté à se représenter une scène dans sa globalité ou de localiser un objet dans l’espace pour le saisir

Dyspraxie : selon l’Assurance Maladie : “La dyspraxie de l’enfant correspond à une difficulté à réaliser certains gestes et actions volontaires. Elle affecte par exemple la capacité à se situer dans l’espace et/ou la coordination des mouvements. Elle est responsable de troubles des apprentissages scolaires. Elle est due à un dysfonctionnement de la commande cérébrale des mouvements.” “La dyspraxie est fréquente et touche 5 à 7 % des enfants de 5-11 ans. Les garçons sont 2 à 4 fois plus atteints que les filles, et on considère qu’il y a au moins un enfant atteint de dyspraxie par classe scolaire.” La dyspraxie se manifeste par 2 types de troubles : Troubles visuo spatiaux de la dyspraxie Troubles moteurs ou Trouble d’Acquisition de la Coordination (TAC)

Planotopokinésie : étymologiquement de topos (lieu), planum (plat) kinésie (se mouvoir) – ; autrement dit « naviguer sur un espace plan comportant des lieux» Désorganisation de geste avec un manque d’organisation du schéma corporel, difficultés de réalisation des actes (faire lacets, imitation de gestes difficile), difficultés grapho-constructives, imitation de gestes. Dessin d’un bonhomme compliqué, notamment à nommer les parties du corps. Correspond surtout à une praxie constructive et visuo-constructive

Références et documents externes

Contributeurs

  • Auteurs de la fiche : Louise Bonnal-D'Ovidio, Mathilde Grinfeder, Romane Morel, Agathe Nantua, Clément Troussard