{{#widget:Qwant}}
A propos de la pilule (1970)
Espaces de noms
Plus
- Plus
Actions de la page
Pour voir ce film dans son intégralité veuillez vous connecter.
Si vous rencontrez un problème d'affichage du film ou des sous-titres , veuillez essayer un autre navigateur.
Sommaire
Générique principal
Avec la collaboration de : M. le Professeur Etienne-Emile BAULIEU (Département de la Biochimie de la Faculté de Médecine Paris-Sud), M. le Docteur Edouard SAKIZ (Directeur de Recherche d'un Groupe Pharmaceutique), M. le Professeur Jacques VARANGOT (Professeur à la Faculté de Médecine, Membre de l'Académie de Médecine) / Textes du : Dr. DALSACE et du Dr. PALMER, dits par : Monique LEJEUNE / Directeur de la photo : Jean G. FONTENELLE / Caméraman : Aurel SAMSON / Opérateur banc-titre : Michelle LAFAYE / Son : Jean PANTALONI / Montage : Jacqueline TARRIT, assistée de : Bernard MARESCHAL / Illustration sonore : Gérard GALLO / Mixage : Michel SAINT-DENIS / Atelier de production : Monique GERVAIS / Commentaire : Monique TOSELLO / Script : Janine SERI / Réalisation : Guy SELIGMANN / Production : Jean LALLIER, Monique TOSELLO / Autres participants : Jean JACQUES (Professeur, chimiste), Suzanne KEPES (Médecin gynécologue)
Contenus
Sujet
Exposé sur la contraception féminine centré sur la pilule contraceptive.
Genre dominant
Résumé
Cette émission traite de la contraception et de la pilule contraceptive d’un point de vue scientifique et sociétal. Elle revient brièvement sur l’histoire globale de la contraception. De nombreux experts du domaine médical interviennent : gynécologie, chimie, biochimie, psychologie. D'autres experts commentent l’état de l’éducation à la sexualité et de la contraception en France.
Séquences :
- Dans un laboratoire de recherche pharmaceutique : fabrication et conditionnement de pilules contraceptives, lapins s'accouplant, bocal d'embryons de lapins, manipulation d'embryons de rates, organes d'animaux en bocaux, embryons d'animaux en bocaux, fabrication de produits pharmaceutiques, contrôle des produits par chromatographie; long panoramique de cadavres de rats au ventre ouvert, tripes et organes à l'air; travelling de chats et chiens enfermés dans des rangées de cages. - façade et intérieur d'un sex-shop, panoramique sur livres en vente - enfants dans un bidonville - groupe de jeunes filles à la sortie d'un établissement scolaire - diaphragme, stérilet - Document sur l'efficacité des différents modes de contraception - panoramique chercheurs travaillant dans un laboratoire. (notice INA)
Contexte
Premières méthodes
Des méthodes de contraception ont été mises ua point dès l'Antiquité : usages de la gomme arabique comme spermicide en Égypte en 1500 avant J-C, du diaphragme en 1880, application de la théorie du rythme... L'emploi de la pilule contraceptive a été défendu par Margaret Sanger, militante américaine qui a fondé en 1921 ce qui devient plus tard le planning familial, puis Gregory Pincus, médecin et biologiste américain, qui a contribué à la mise au point du premier modèle de pilule contraceptive en 1956 ([1]).
Les recherches sur la contraception
Les pistes actuelles de recherche concernent l'évolution des méthodes actuelles par leur adaptation à des métabolismes différents pour limiter leurs inconvénients et leurs effets secondaires. Une piste est le recours à la prostaglandine : cet acide gras découvert en 1936 1930 par Ulf Svante von Euler (prix Nobel de Physiologie ou Médecine en 1970) provoque une dilatation de l'utérus chez l'animal et semble provoquer la destruction du corps jaune qui est nécessaire pour la gestation. Mais comme pour chaque piste, il faut du temps pour faire des tests et prendre en considération tous les effets possibles, qu'ils soient positifs ou négatifs.
Évocation des risques
La prise de la pilule expose à des cancers, des maladies vasculaires. Les femmes diabétiques et les fumeuses qui prennent la pilule sont d'autant plus vulnérables.
Contrôle et régulation des naissances
La pilule a apporté une libération de la sexualité bien plus importante que les moyens contraceptifs déjà existants comme le diaphragme, le stérilet ou les préservatifs. L'impact social est énorme et les femmes peuvent être décideuses de leur fertilité, qu'elles ne veuillent pas d'enfant ou qu'elles n'en veuillent pas plus. Le contrôle des naissances est aussi considéré comme une aide aux couples. Certains vont faire le choix de ne pas avoir beaucoup d'enfants pour pouvoir leur assurer un environnement de vie sain et équilibré ou encore un accès à l'éducation. Pour le Pr Jacques Varangot, la pilule rend possible d'atteindre par foyer un nombre 'raisonnablement' élevé, bien que ce nombre 'raisonnable' puisse varier selon la conception que la femme en a. Il ajoute qu'en ayant moins d'enfants, la femme : "pourrait prendre plus ses responsabilités d'un point de vue civique, social".
La transmission de l'information et l'enseignement à la sexualité et à la contraception
- l'information médicale
Le rôle du médecin prescripteur est central dans la compréhension de la contraception par la patiente, il la guide dans son choix : "D'une manière générale, le rapport médecin-consultant est un rapport privilégié , mais particulièrement quand on est dans le domaine de la consultation de contraception puisqu'on va toucher au domaine le plus important, celui de la vie affective, sentimentale et sexuelle. Toute l'attitude du médecin peut imprimer un caractère particulier à la consultation" (interview de Suzanne Kepes). Le reportage insiste sur l'importance de la communication et l'information dans le choix opéré par les femmes.
- l'enseignement
En 1970, il semble que beaucoup de parents, familles ou professeurs, par pudeur, soient réticents à expliquer les bases de l'éducation sexuelle aux enfants. Dans une nouvelle période de libération sexuelle, cette éducation est pourtant importante : elle permet d'éviter les maladies sexuellement transmissibles ou encore les grossesses non désirées. Or la génération d'adolescents, de jeunes adultes a une parole plus libérée, ils osent plus facilement poser des questions, demander un avis. Mais alors qui éduque ces adolescents et jeunes adultes, et dans quel contexte ? La question est surtout orientée vers les personnes qui devraient enseigner l'éducation sexuelle. Le contexte de l'école est évoqué comme 'empêchant', dans le sens où les professeurs n'osent pas aller trop loin, au regard de la direction, des inspections, mais des parents peut-être aussi. Une jeune femme qui suit un cours d'enseignement ménager de puériculture estime "qu'il faudrait éviter que ce soit fait par des professeurs qui ne sont pas des conférenciers [...] ils ne sont pas formés pour la formation sexuelle. [...] ils n'osent pas prendre la parole". Dans leur ouvrage, les docteurs DALSACE et PALMER écrivent qu'ils seraient heureux de compter de nombreux éducateurs parmi leurs lecteurs car la contraception "doit être intégrée dans une éducation générale où la sexualité doit être mise à sa vraie place, c'est-à-dire considérée comme un aspect important de l'existence, dont l'acte sexuel n'est qu'un épisode somme toute assez bref mais dont les conséquences durent parfois toute une vie."
Le comportement de la population selon la différenciation sociale
L'accès et l'acceptation de la contraception sont abordés par l'angle des différences de classes sociales, sans qu'on puisse pour autant s'appuyer sur des données statistiques. Toutes classes sociales confondues, le refus peut par exemple se faire au niveau de la culture ou de la croyance religieuse choisie. Peu de femmes issues de classe ouvrière prennent en France la pilule, bien que le fait qu'elles puissent choisir de ne pas avoir d'enfants, ou d'en avoir moins, soit considéré comme un réel avantage politique, civique et social. Ces femmes pourraient se libérer de leur situation et elles pourraient peut-être plus facilement accéder à plus de responsabilités, ou au moins se libérer à un niveau financier. C'est bien par rapport à la question des moyens financiers qu'est placée cette différenciation de classes sociales, entre les classes dites de "possédantes" et de "non-possédantes". Il y a pour les "possédants", qui ont des revenus plus assurés, une tendance à privilégier le choix d'avoir moins d'enfants afin de leur assurer un développement harmonieux et une éducation satisfaisante. La pilule est reçue comme un moyen de gérer sa vie, que ce soit dans une carrière professionnelle ou par choix de vies propres à chaque femme et à chaque couple. Pour les "non-possédants", le choix d'avoir moins d'enfants est lié au manque de moyens. Une femme témoigne en début de reportage : elle a cinq enfants, ils vivent à sept dans une seule pièce, et seul son mari travaille. La pilule est reçue par les personnes "non-possédantes" dans un contexte d'anxiété financière. C'est pour elles la possibilité de pouvoir s'extirper de ce contexte, trouver un équilibre financier et ensuite pouvoir avoir des enfants dans un contexte plus favorable.
Éléments structurants du film
- Images de reportage : Oui.
- Images en plateau : Non.
- Images d'archives : Non.
- Séquences d'animation : Non.
- Cartons : Non.
- Animateur : Non.
- Voix off : Non.
- Interview : Oui.
- Musique et bruitages : Oui.
- Images communes avec d'autres films : Non.
Comment le film dirige-t-il le regard du spectateur ?
Le reportage propose avant tout un état des lieux sur la place de la contraception en France, ainsi qu'une explication scientifique vulgarisée de ce sujet. C'est son choix des intervenants qui permet de saisir qu'ils défend la pratique de la pilule.
Comment la santé et la médecine sont-elles présentées ?
Diffusion et réception
Où le film est-il projeté ?
Diffusion à la télévision le lundi 14 décembre 1970.
Communications et événements associés au film
Public
Tout public
Audience
Descriptif libre
Introduction : une préoccupation de tous temps
Jeunes femmes interviewées en micro-trottoir sur leur désir ou non d'enfants. Vues sur une production de pilules de 00:05 à 00:08 - 00:50 Générique de l'émission Portrait de l'univers.
Introduction au sujet de l'émission sur une alternance d'images : une ambulance qui se rend à un hôpital et une installation plastique évoquant l'avortement clandestin. commentaire par la voix de Monique Tosello : "Parce que son instinct sexuel n'était pas saisonnier et automatique, ni constant, l'homme a su très tôt que dans ce domaine là aussi il lui faudrait réfléchir... Parce que son instinct sexuel n'est pas uniquement orienté vers la reproduction, l'homme se dit maintenant qu'il vaut mieux prévoir que réfléchir après... car il y a une limitation des naissances qui est vieille comme le monde et qui se fait dans l'ombre, dans la hâte, avec des mains malhabiles. Elle conduit trop souvent à la misère physiologique de la femme" le dernier gros pan sur l'oeuvre plastique montre un de ses éléments : un abat jour dont le tissu est maculé de traces de doigts ensanglantés. Première intervention de Monique Lejeune qui lit, de loin en loin dans l'émission, des extraits de Au long de l'émission, Monique LEJEUNE lit des passages du livre "la contraception" dans lequel les docteurs Dalsace et Palmer font état des maladies mortelles provoquées par les avortements clandestins, et prônent une éducation à la contraception. Jacques Varangot, dans son cabinet, à propos de l'avortement : il l'estime préférable à l'avortement. (03:52)
L'histoire de la contraception
Séq. illustrative, une femme allongée dans son lit éteint la radio, avale une pilule puis se recouche - 04:05 / Suite de 4 séquences, consultations de femmes avec une médecin à propos de contraception - 08:16 / Devant une assemblée d'étudiants, le professeur de biochimie Etienne-Emile Baulieu retrace l'histoire de la contraception à l'aide de documents montrés par rétroprojecteur (gomme arabique - moyens mécaniques anciens - méthode Ogino - la pilule avec le portrait de son co-inventeur Gregory Pincus - archive extraite de "Un certain regard" du 17.10.1967) (09:45)
Le fonctionnement hormonal féminin
Le Pr Jean Jacques dans un laboratoire à propos du travail de Gregory Pincus / Devant un tableau noir puis un écran de projection, le professeur Baulieu explique le fonctionnement hormonal féminin, la fécondation, le cycle menstruel et le mécanisme d'action de la pilule. Dans un laboratoire pharmaceutique, images de fabrication de pilules et d'expérimentations faites sur les animaux. Interview du Pr Edouard Sakiz, directeur de recherche, à propos des expérimentations effectuées pour évaluer la toxicité de la pilule. Interviewé dans son bureau, Etienne-Emile Baulieu affirme que les pilules actuelles ne comportent pas de danger pour la santé des femmes et ne limitent pas la procréation. Explication du fonctionnement hormonal par le Pr Baulieu à un journaliste seul - 17:51 / Plan de coupe de 3 secondes sur un fœtus en dév. / CM du Pr Baulieu, schéma de l'appareil génital féminin projeté / Image de spermatozoïdes en mouvement / Explication au journaliste seul / CM du Pr Baulieu sur le cycle féminin et la pilule - (20:47)
La pilule : de sa fabrication à sa mise sur le marché
Dans un laboratoire, ensemble d'une chaîne de production de pilules jusqu'à la mise en plaquettes. Filmé en travelling / Partie du laboratoire avec des lapins tests / Bocaux contenant des embryons de lapins, puis GP sur ces bocaux. Laborantine qui retire des embryons de ratte / Bocaux filmés en GP. Dans un laboratoire, GP sur des centrifugeuses des fioles / à 23:46 contrôle de produits par chromatographie. Dans un laboratoire, Edouard Sakiz explique les tests toxicologiques sur animaux, leur durée jusqu'à mise sur le marché du produit final (26:29)
Symptômes, risques et dangers
Dans un chenil, commentaire en voix off, le médecin seul peut déceler les symptômes liés à une prise de médicaments - 27:10 / Dans son cabinet, le Pr Baulieu explique les dangers de la pilule - 29:49 / Entrebâillement de porte depuis l'ext., vue sur un laboratoire et commentaire en voix off : maladies favorisées avec certaines pilules - 30:05 / Plan sur des plaquettes de pilules dans la chaîne de production / à 30:12 séq. dans le cabinet du Pr Baulieu, sur les maladies, complications et troubles métaboliques sous pilule - 33:47
Liberté sexuelle et contraception
Dans la bande son, Pig de Soft machine, un groupe à la jonction du courant psychédélique et du courant progressif : cette citation musicale en 1970 révèle un souci d'associer au discours scientifique de pointe des références artistiques d'avant-garde de manière à actualiser le plus possible le propos de l'émission ; elle s'explique aussi par le thème des paroles de la chanson qui font référence aux attraits érotiques de certains vêtements. une des tours de Notre Dame filmée en dézoom : la fin du plan montre qu'elle est reflétée dans le miroir d'un magasin. Son enseigne nous indique que c'est un sex shop. Plans brefs sur sa statuaire et son imagerie qui ornent l'intérieur de la boutique. Longs travellings sur l'étal des livres : en fait, davantage celui d'une librairie de littérature contemporaine qui comporterait un rayon dédié à l'érotisme d'un point de vue littéraire, sociologique et médical. Il montre tour à tour les couvertures de Soeur Monika d'Ernst Theodor Amadeus Hoffmann, Jours tranquilles à Clichy de Henry Miller, L'abbé C. de Georges Bataille, La sexualité féminine de Jacqueline Chasseguet-Smirgel, et La contraception des docteurs Dalsace et Palmer... Suivent des plans d'une installation d'art contemporain qui consiste à positionner derrière des vitrines de boutiques de prêt à porter des mannequins sans vêtements, aux bras reliés à des tuyaux de perfusion, entravées par des sangles, aux cuisses couvertes de bandes de cotons : manière d'évoquer la réalité médicale que recouvre le rituel de séduction que comprend la sexualité humaine. (36:25)
Prescription de la pilule et enfants désirés
Cabinet du Dr Jacques Varangot, il est pro-contraception - 37:06 / Insert de la séq. avec la femme qui avale une pilule, en GP, profil gauche de sa tête - 37:12 / Cabinet du Dr Jacques Varangot, il est pro-enfants désirés. / Il refuse la vente libre de la pilule en bureau de tabac. Plan épaules - 38:00 / Dans la rue, des jeunes femmes sortent de cours / à 38:14 Cabinet du Dr Jacques Varangot, il prescrirait la pilule à ses filles - 39:25
information sur la contraception et formateurs pour l'appliquer
Cabinet de la médecin Suzanne Kepes, sur le rôle important de la relation médecin-patiente dans la consultation sur la contraception et son acceptation par la patiente - 41:53 / Insert de la séq. avec une femme allongée dans son lit, qui éteint la radio, qui avale une pilule - 42:06 / Dans une ville, plan d'ensemble sur une route et sur les voitures / pano. droite-gauche sur des façades d'immeubles - 42:26 / Dans une salle, 2 journalistes échangent avec des femmes sur l'état et le contexte de l'éducation sexuelle, de la contraception - 44:18 / Monique Lejeune lit un second extrait du livre des Drs Palmer et Dalsace, manque de lecteurs parmi les éducateurs. face caméra - 44:51
Opinions de femmes
Dans la rue, des jeunes femmes sortent de cours. Comm. voix off : rôle du psychisme dans la prise de la pilule - 45:16 / Dans un cabinet, avec un psychiatre (?), sur l'acceptation de la pilule en France - 45:39 / Dans une salle, 2 journalistes et des femmes. Sur l'importance de la pilule pour les femmes de classe ouvrière ou populaire - 46:07 / Dans une ville, pano. droite-gauche sur des façades d'immeubles. Comm. voix off : peu des Françaises qui prennent la pilule viennent d'un milieu ouvrier - 46:27 / Dans un cabinet, avec un psychiatre (?), sur les différences d'acceptation et de perception de la pilule selon la classe sociale des femmes / à 46:59, itw du psychiatre (?) en off, images d'une zone d’habitation rurale pauvre, femme et bambin, pano. D-G sur la zone / à 47:16, retour à la séq. dans le cabinet du psychiatre (?) - 48:32 / Insert de la séq. avec une femme qui avale une pilule. GP, profil gauche de sa tête - 48:34 / Dans un cabinet, avec un psychiatre (?), suite du discours sur les différences d'acceptation et de perception de la pilule - 49:06
Taux d'efficacité, recherches en cours et à venir
Comm. voix off : importance du choix de la contraception, la plus efficace est la pilule : Dans la rue, des jeunes femmes sortent de cours. Pano. G-D sur un groupe de 3 jeunes femmes qui avancent dans la rue - 49:21 / Dans un laboratoire, plan sur des diaphragmes de différentes tailles - 49:25 / Dans un laboratoire, GP sur un stérilet - 49:29 / Pano. Haut bas sur un document qui recense des moyens de contraception et leurs taux d'efficacité - 49:47 / Insert de la séq. avec une femme allongée dans son lit, elle éteint la radio - 49:59
Cabinet du Pr Baulieu, sur une piste pour trouver mieux que la 'pilule actuelle' - 50:35 / Explication du cycle féminin par le Pr Baulieu au journaliste seul - 51:26 / CM du Pr Baulieu, sur la découverte de la prostaglandine, son action sur le corps jaune - 52:11 / Cabinet du Pr Baulieu, sur les études et expériences en cours, évolutions à venir dans ce domaine - 53:45 / Pilules produites par une machine - 53:48 / Cabinet du Pr Baulieu, sur la pilule pour hommes - 55:17 / Dans un laboratoire (l'itw continue en off), fioles sur des étagères et scientifiques qui travaillent dans le laboratoire - 55:39
Sexualité et procréation, contraception et problèmes démographiques
Cabinet du Pr Baulieu, sur les problèmes de démographie - 56:50 / (l'itw continue en off) Insert de séquences en noir et blanc, paysage rural africain : un enfant assis au pied de sa mère, du linge qui sèche, paysage désertique, enfant qui rigole... - 57:22 / Monique Lejeune lit un troisième extrait du livre des Docteurs Palmer et Dalsace, tant que l'amour et les actes sexuels ne restent que liés à la procréation, il restera des résistances - 59:12 / Dans la rue, des jeunes femmes sortent de cours - 59:17 / Générique de fin - 01:00:54
Notes complémentaires
N° de notice Ina : CPF86634799 Mots clefs : médecine, santé, contraception, sexualité, pilule
Références et documents externes
- Chanson Pig du groupe britannique Soft Machine (1969) - Ouvrage La Contraception : Problèmes biologiques et psychologiques, Presses universitaires de France (Paris), 2e édition de l'ouvrage parue en 1966, écrit par les docteurs Jean DALSACE et Raoul PALMER
Contributeurs
- Auteurs de la fiche : Caroline Sala

